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Le visa

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1345    |    Mis à jour : 23/10/2023

. Mais l’école c’est bien quand on a quelques moyens aussi. Le fils unique de feue Nzékunzé abandonna vite la parole des professeurs. Il choisit de rester dan

de la concession, il ouvrait toujours grand ses oreilles qui se laissaient bercer par toutes les nouv

t vrai

’est qui

ne autre

El

i, e

abr

le Fab

man d’Hasnae, que des voix-gorg

! Se

ndant à l’argent

ache

Ou

c’est

mou

st-ce que les yeux de ta

ux yeux. Oui. Je prends

i en

joude Fabrice Guégbélet-

quand

semaine,

vont passer pour le oui-oui d

Fa ! Avec un moundjou! Celle-là ! Quoi qu’on en dise, deux ans et demi plus tô

e que ses lèvres qualifient d’évènement

s savez ce

-ce qui

té la semain

elle

re fille de JDD Guég

, Jean de Dieu !

le d’un

mou

Ou

qu’il vient

travaille à Ban

-ce qu’il a

ngassou. C’est là qu’il serait tombé

cœur ne tardent ne peuvent résister devant le c

pliquer ça,

t ce qu’ils sont. Comme si leur cœur n’a jamais de frein mais seulem

h,

ir en fracas pour laisser entrer tout et ri

. Vraiment. Alors, cette chose incroyable ou presque ar

tu animes la c

dot d

-être même chantes-tu aussi bien que ta mère défunte. Il faut venir. Il faut ch

nta et toutes les oreilles des mille paires d’yeux étaient accrochées à ses lèvres. Les oreilles de ces têtes l’éc

bla

les bords de l’Oubangui avant de venir doter Fa ici à Ban

le moment, il apprécia Monzoko. Comme piqué par un kpalakongo-le scorpion, il se leva d’un bond, se poi

on. Tiens bon. Tu finiras chan

de rossignol ? C’était bien ça. C’est peut-être un peu à cause de ce nouveau nom que Monzoko décida de devenir grand artiste. Aussi grand que ceux des clips de Mory Kanté, Salif Keit

n blanc et que Monzoko chantait du matin au soir en scul

nc une réalité réelle. Et si c’est comme ça là-bas les pays neigeux, pourquoi pas ici les tropiques ! Les rich

us étaient catégoriques, même les femmes qui s’invitaient dans les causeries ! Et les uns ou les autres affirmaient que la queue du gorille n’est pas à caresser deux fois, qu’on ne peut pas gifler un enfant et l’empêcher de pleurer. Ils ne le disaient pas pour rien. Parce qu’ils avaient toujours été floués par des promesses à la poudre de perlimpinpin. Qu’ils devaient ma

au son des pickups pétaradants, des pickups bariolés aux couleurs des candidats aux élections législatives et présidentielles. Alors il y eut des meetings politiqu

s’ajoutaien

sango tènè sango» de Judes Bondeze. Et les conversations allaient bon train autour des

t ci, et ça

les hommes folitiquesd’hier étaient foutus, que les beaux parlementeursvoleurs d’i

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