icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

Le visa

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1806    |    Mis à jour : 23/10/2023

après

eait avec gourmandise et bonheur, de la feuille de manioc avec de la viande de bœuf, du gibier boucané mitonné avec de la pâte d’arachide. Toute cette mangeaille à gogo était toujours accompagnée par des assiettes sur lesquels trônaient majestueusement de grosses boules de gozo-manioc. Certaines personnes ne rentraient

les vivants. Imbibé d’éthanol, les gens s’agitaient au rythme des tam-tams qui fredonnaient le kpolingbo, le gbadouma a serré.

nt le départ sans retour de sa mère. C’était comme s’ils voulaient lui c

cadavér

ment triste

urs comme un voleur dans la nuit ? Quand il y pensait, le cœu

ue tu me fasses ça ? Hein, mortelle-mort ! Sais-tu qu’on n’a qu’une seule mère ? Et ma mère-là, elle est l’unique de sa mère tout comme moi je suis son unique garçon. Si seulement tu étais un vrai-vrai quelqu’un, j’allais te mettre au garde-à-vous devant moi pour que tu me dises à quatre-z’yeux pourquoi tu lui as fait a

ieu dans trois jours ou quatre… Il fallait conserver le corps de Nzékunzé qui n’était pas morte de sa belle mort. Afin qu’il reste en bonne santé en attendant les o

ur, pas comm

son âme. Les trois camps opposés s’invectivaient et voulaient même en arriver aux mains pour s’esquinter. Les vieux-vieux s’étaient donc réunis pour trancher. Et ils avaient tranché. Et le palabre était tranché. Parce que « même si la bouche du vieillard pue, les paroles

et sérigraphiés-gravurésavec finesse : « Nzékunzé nous ne t’oublierons jamais». Monzoko avait son uniforme à lui, on pouvait lire sur son tee-shirt : « Chère maman, je ne t’oublierais jamais ». Au fur et à mesure que le temps passait, les percussions redoublaient d’intensité. Les voisins transportèrent le cercueil sur leur tête. Monzoko leur emboîtait le pas. Tout le quartie

avait bea

à ses yeux. Il voulait les chasser de sa tête, de ses yeux, de ses oreilles. Histoire pour lui de

s du tout fac

qu’il avait passés en sa compagnie. Parce qu’elle avait été l

u chanter sa

ariage. Sans cesse, on l’invitait par ci et par là. Elle jouissait d’une grande popularité. Sa voix c

ou avait aim

ait souvent accomp

les médicaments des blancs et en plus avec les décoctions des nganga. Sans succès. Les parents ne savaient plus quoi faire. Nzékunzé avait rassemblé ces enfants sous un manguier. Puis, elle s’était mise à psalmodier longuem

arents qui l’aimaient beaucoup. Il était pour eux un bijou de petit-fils. Pour eux, c’est lui qui garderait leur vieillesse. Rien à faire. Personne ne pouvait leur enlever ça de la tête. Quand ils voyaient leur petit-fils, ils voyaient aussi Nzékunzé. Mais, lui Monzoko, quand il regardait profondément ses grands-parents de pied en cape, les y

onzoko l’écoutait religieusement, son cœur s’orageaitcontre son grand-père et même contre le monde entier. Tout simplement parce que l’ombre de sa mère était devenue son ombre. Tout simplement parce que toutes ces paroles ne rentraient pas trop bien ni dans sa tête ni dans ses oreilles. Tout simplement parce que même si elles rentraient dans le trou de son oreille gauche, elles sortaient directement de l’autre côté. Tout simplement parce que dans sa tête et dans ses oreilles, il ne comprenait pas le pourquoi du comment son grand-

après

ire la tristesse de la mort de son unique fille qui se lisait sur le visage de son petit-fils. Qu’il ne se lassait p

tne craint jamais le tombeau. Dieu a repris ta mère, ma fille. Si tu cont

blait ne ri

peut crier sur celui qui a fourragé sa queue leu spermatique avec sa grand-mère pour engendrer sa mère q

ontinuait sans j

s jours sur la terre récolt

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir