Les scandaleuses
arriver là. Expulser, de France ! Ils ont réussi à trouver une petite faille dans mon dossier. J'ai réellement honte, comment expliquer cela à mes parents ? Je ne suis pas encore
i car c'est la scolarité de sa fille après tout ! | Émile Kouamé | Je rentre du travail et regagne ma maison. Comme je le souhaite c'est ma femme Haby qui m'accueille chaleureusement. Il me suffit juste de me changer dans ma chambre et revenir dans le salon pour qu'elle me serve mon dîner. - Merci, c'était délicieux. Je débarrasse pour la soulager étant enceinte. J'ai eu beaucoup de mal à ce qu'on arrive là. Haby garde ses manières d'européenne féministe. Avant quand j'arrivais c'était juste un bonjour, le dîner c'était quand madame le voulait ou par tour. Maintenant elle se plie à son vrai devoir d'épouse, celle qui gère le foyer et s'occupe de son mari comme moi je m'occupe d'elle, mais d'une autre manière. Haby doit comprendre que prôner l'égalité dans un couple est inutile. Nous arriverons jamais à cela. Une femme et un homme sont complémentaires et c'est l'équité qui rend fort notre mariage ! Épuisé de ma journée, je prends tout de même la peine de retrouver Haby dans la cuisine à faire la vaisselle. Haby *crissant de douleurs* - J'en peux vraiment plus... Je m'approche d'elle et lui caresse son ventre. - Encore trois petits mois. *glissé-je en l'embrassant le cou* Haby - Émile, le lave-vaisselle c'est pour quand ? Ici l'eau coupe souvent et je ne peux pas m'amuser à faire la vaisselle à la plonge dans la cour ! - Je dois faire venir un plombier mais c'est difficile d'en trouver surtout pour ce genre d'installation. Haby - Tu me dis tout le temps ça ! Même pour la machine à laver c'est à la main ! Tu crois que je peux m'assoir au soleil pendant une heure à laver à la main nos vêtements puis les faire sécher ? Le quartier est bon mais les infrastructures c'est 0 ! - On ne vit pas à l'européenne ici. Qu'elle délaisse un peu tout le confort de France, ce n'est pas pareil partout. Haby - Je peux comprendre ça mais tu peux aussi me soulager ! Quand tu dis que tu vas faire quelque chose fais le. Au pire ce plombier je vais le trouver, même s'il faut que je parle aux voisins. - Tu m'as demandé de changer de machine à laver car il n'y avait pas toutes les options, j'ai fait. Tu m'as demandé de changer la cuisinière car tu ne sais qu'utiliser à induction ou je ne sais quoi, j'ai fait. J'ai même fait appel à un électricien. Je fais tes requêtes mais je te demande juste d'attendre quelques jours encore pour la semaine et tu bronches ? Haby - Je vis une grossesse difficile, tu le sais. Je roule des yeux, comme si c'était la seule femme enceinte au monde qui fait la vaisselle à la main. Maman a eu 7 enfants ! 7 pourtant je la voyais se baisser pour balayer le sol ! Haby - Ta soeur revient bientôt non ? Je lui dirai de passer un coup de balai dans la cour. Les feuilles et poussières s'accumulent. Même ça, elle peut pas faire ! *agacé* - Oui oui... Elle est juste enceinte pas malade enfin ! Depuis notre mariage, je sens qu'il existe un fossé entre Haby et moi. J'ai grandi en suivant les traditions africaines, où le rôle de la femme est généralement défini comme celui d'une épouse et d'une mère au foyer, prenant soin de son mari et de la famille. C'est ce que j'ai toujours connu et ce que j'attendais inconsciemment de ma femme. Cependant, Haby a grandi en France, où les normes sociales et les attentes sont différentes. Elle a été élevée dans un environnement plus ouvert, où les femmes sont encouragées à poursuivre leurs propres aspirations et à être indépendantes. Elle refuse catégoriquement de se soumettre à un rôle traditionnel qui ne correspond pas à ses aspirations personnelles. Cela crée une tension entre nous. Je me sens parfois déconcerté et même frustré de voir Haby rejeter les valeurs auxquelles je tiens tant. J'ai du mal à comprendre pourquoi elle ne veut pas se conformer à mes attentes. Peut être qu'aurais-je attendre de mieux la connaître avant de me précipiter pour la marier. J'avais cependant si peur de la perdre. Je ne voulais pas qu'elle m'échappe. Alors lorsqu'elle m'a annoncé son départ de Côte d'Ivoire j'ai pris un billet pour me rendre chez ses parents et lui demander sa main. Je sais que chez eux les fiançailles n'existent pas. Le mariage début dès la demande de la main ! La nuit tombée Haby et moi décidons de nous mettre ensemble au lit. Mes ardeurs prennent le dessus et je ne peux m'empêcher malgré l'état d'Haby de prendre possession d'elle. Haby - Deux minutes... J'étais déjà en train de lui dévorer la poitrine. Elle se relève simplement et enlève sa robe de nuit avant de regagner le lit. Une fois nus, je la place sur le côté de sorte à ce que la position soit la plus confortable possible. Je me positionne alors tout excité derrière Haby, relève sa jambe puis prend mon engin pour me glisser lentement en elle. Un long râle s'échappe de ma bouche et je m'active en elle. C'est doux, chaud et encore serrée. C'est comme si son intérieur s'imprégner de ma partie. Il s'enferme autour me procurant un immense plaisir que je ne saurais décrire. Haby est souvent réfractaire. Je peux comprendre. Je suis son premier et j'espère rester l'unique homme. J'ai un sentiment de satisfaction à savoir qu'elle et son intérieur m'appartient. Qu'aucun homme n'a vu ou goûté Haby. Que ce plaisir n'est réservé qu'à moi. Pourtant avec Haby, ça n'a pas toujours été facile au lit. *8 mois auparavant* Il y'a quelques heures encore nous étions en train de fêter notre mariage civile. Nous voilà déjà à n
e que les choses évolueront en notre faveur. Je jette un œil à Émile qui dort paisiblement. À la fois, je réfléchi à ce que je vais faire. Peut être la scolarisé dans un collège français d'ici, ma famille n'est pas pauvre. J'emprunterai en faisant la promesse de rembourser avec l'argent de mon nouveau travail si j'en trouve un. Émile le fera peut être aussi car c'est la scolarité de sa fille après tout ! | Émile Kouamé | Je rentre du travail et regagne ma maison. Comme je le souhaite c'est ma femme Haby qui m'accueille chaleureusement. Il me suffit juste de me changer dans ma chambre et revenir dans le salon pour qu'elle me serve mon dîner. - Merci, c'était délicieux. Je débarrasse pour la soulager étant enceinte. J'ai eu beaucoup de mal à ce qu'on arrive là. Haby garde ses manières d'européenne féministe. Avant quand j'arrivais c'était juste un bonjour, le dîner c'était quand madame le voulait ou par tour. Maintenant elle se plie à son vrai devoir d'épouse, celle qui gère le foyer et s'occupe de son mari comme moi je m'occupe d'elle, mais d'une autre manière. Haby doit comprendre que prôner l'égalité dans un couple est inutile. Nous arriverons jamais à cela. Une femme et un homme sont complémentaires et c'est l'équité qui rend fort notre mariage ! Épuisé de ma journée, je prends tout de même la peine de retrouver Haby dans la cuisine à faire la vaisselle. Haby *crissant de douleurs* - J'en peux vraiment plus... Je m'approche d'elle et lui caresse son ventre. - Encore trois petits mois. *glissé-je en l'embrassant le cou* Haby - Émile, le lave-vaisselle c'est pour quand ? Ici l'eau coupe souvent et je ne peux pas m'amuser à faire la vaisselle à la plonge dans la cour ! - Je dois faire venir un plombier mais c'est difficile d'en trouver surtout pour ce genre d'installation. Haby - Tu me dis tout le temps ça ! Même pour la machine à laver c'est à la main ! Tu crois que je peux m'assoir au soleil pendant une heure à laver à la main nos vêtements puis les faire sécher ? Le quartier est bon mais les infrastructures c'est 0 ! - On ne vit pas à l'européenne ici. Qu'elle délaisse un peu tout le confort de France, ce n'est pas pareil partout. Haby - Je peux comprendre ça mais tu peux aussi me soulager ! Quand tu dis que tu vas faire quelque chose fais le. Au pire ce plombier je vais le trouver, même s'il faut que je parle aux voisins. - Tu m'as demandé de changer de machine à laver car il n'y avait pas toutes les options, j'ai fait. Tu m'as demandé de changer la cuisinière car tu ne sais qu'utiliser à induction ou je ne sais quoi, j'ai fait. J'ai même fait appel à un électricien. Je fais tes requêtes mais je te demande juste d'attendre quelques jours encore pour la semaine et tu bronches ? Haby - Je vis une grossesse difficile, tu le sais. Je roule des yeux, comme si c'était la seule femme enceinte au monde qui fait la vaisselle à la main. Maman a eu 7 enfants ! 7 pourtant je la voyais se baisser pour balayer le sol ! Haby - Ta soeur revient bientôt non ? Je lui dirai de passer un coup de balai dans la cour. Les feuilles et poussières s'accumulent. Même ça, elle peut pas faire ! *agacé* - Oui oui... Elle est juste enceinte pas malade enfin ! Depuis notre mariage, je sens qu'il existe un fossé entre Haby et moi. J'ai grandi en suivant les traditions africaines, où le rôle de la femme est généralement défini comme celui d'une épouse et d'une mère au foyer, prenant soin de son mari et de la famille. C'est ce que j'ai toujours connu et ce que j'attendais inconsciemment de ma femme. Cependant, Haby a grandi en France, où les normes sociales et les attentes sont différentes. Elle a été élevée dans un environnement plus ouvert, où les femmes sont encouragées à poursuivre leurs propres aspirations et à être indépendantes. Elle refuse catégoriquement de se soumettre à un rôle traditionnel qui ne correspond pas à ses aspirations personnelles. Cela crée une tension entre nous. Je me sens parfois déconcerté et même frustré de voir Haby rejeter les valeurs auxquelles je tiens tant. J'ai du mal à comprendre pourquoi elle ne veut pas se conformer à mes attentes. Peut être qu'aurais-je attendre de mieux la connaître avant de me précipiter pour la marier. J'avais cependant si peur de la perdre. Je ne voulais pas qu'elle m'échappe. Alors lorsqu'elle m'a annoncé son départ de Côte d'Ivoire j'ai pris un billet pour me rendre chez ses parents et lui demander sa main. Je sais que chez eux les fiançailles n'existent pas. Le mariage début dès la demande de la main ! La nuit tombée Haby et moi décidons de nous mettre ensemble au lit. Mes ardeurs prennent le dessus et je ne peux m'empêcher malgré l'état d'Haby de prendre possession d'elle. Haby - Deux minutes... J'étais déjà en train de lui dévorer la poitrine. Elle se relève simplement et enlève sa robe de nuit avant de regagner le lit. Une fois nus, je la place sur le côté de sorte à ce que la position soit la plus confortable possible. Je me positionne alors tout excité derrière Haby, relève sa jambe puis prend mon engin pour me glisser lentement en elle. Un long râle s'échappe de ma bouche et je m'active en elle. C'est doux, chaud et encore serrée. C'est comme si son intérieur s'imprégner de ma partie. Il s'enferme autour me procurant un immense plaisir que je ne saurais décrire. Haby est souvent réfractaire. Je peux comprendre. Je suis son premier et j'espère rester l'unique homme. J'ai un sentiment de satisfaction à savoir qu'elle et son intérieur m'appartient. Qu'aucun homme n'a vu ou goûté Haby. Que ce plaisir n'est réservé qu'à moi. Pou