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Catherine

Catherine

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1522    |    Mis à jour : 28/07/2023

her

lle. Elle adorait nager et courir. Nous laissions les intéressés par d'autres centres d'intérêt se défouler ailleurs. Nous étions loin des conversations, surtout politiques, celles-là nous les gardions secrètement pour nous. Cependant, nous avions entre nous des échanges sur la bonne marche de notre couple. Notre souci permanent, élever notre fille vers des valeurs très saines. Enfin, le bonheur tel que quelques années auparavant nous en avions rêvé. Aujourd'hui, je dirais presque de l'égoïsme pleinement vécu. Nos familles respectives ne se souciaient plus de nous. Ses parents, militaire de haut rang pour le papa, une maman digne dans ses relations, une sœur d'un an son aînée

a fille. Il aurait souhaité qu'il y ait une continuité dans l'armée. Je la chahutais quel

fait à ces loisirs de gens qui n'ont pas de soucis particuliers. Nous nous étions connus justement au cours de ces entrevues qui se produisaient pour la prospérité du club et souvent en tant que chef d'entreprise. La caserne était pour le

le vivant d'une façon très confortable. Le désir d'entreprendre, et chaque fois avec réussite, nous avait amenés avec mon frère à une condition de vie très confortable. Notre dernière entreprise nous avait invités à un investissement plus conséquent mais combien confortable dans nos projets de vie. Nous étions l'équipe gagnante au-delà de nos espérances. Mon frère, qui était vraiment mon binôme, s'entendait à merveille avec moi. Marié lui aussi, il avait le bonheur d'avoir deux enfants. Sa femme, comme Catherine, avait un emploi sécurisé dans le secteur scolaire. Professeurs toutes les deux, elles défendaient leur milieu éducatif avec des justificatifs amusants, mais souvent pertinents. Elles voulaient surtout participer avec la collectivité publique, organisant des rencontres fes

tions. Il démontre aussi une instabilité insouciante qui nous contrarie un peu. Catherine me fait remarquer que je paterne un peu trop. Ma fille, pour moi, est intouchable. Un jour, je la rencontre, elle avait son entreprise dans le Bordelais, nous allons au restaurant ensemble. J'adorais ces moments où nous pouvions nous retrouver. J'avais dû venir régler une affaire commerciale dans sa région. Je l'avais trouvée bizarre mais enfin je me suis raisonné. Je sais, on me reproche suffis

le tu va

cée, elle

n papa je n'ai p

ens bizarre depuis

e n'osais pas trop insister, je lui avais tendu la perche, elle pouvait l'attraper. Elle avait toujours eu le dr

le, ne t'inquiète pas. Tu as b

argent ? C'est souvent de l

is, je t'aime et je te parlerai de mon souci, tu peux rassurer maman aussi. Comme je te connais,

. Je n'étais pas rassuré pour autant, ce

s fins de semaine nous promenaient dans les clubs voisins pour disputer les matchs de la série. J'avais besoin de ce défi. J'avais toujours l'envie de prospérer. Il me fallait constamment me perfectionner. J'avais un désir de création qui était permanent. Avec mon frère, nous avions eu la chance d'avoir des éléments de départ conséquents. Nous étions devenus un gros pool d'entreprise av

artagions ces moments pour ne

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