Catherine
ta
re de la médecine du travail et professionnelle d
-ce qui
! r
te connais trop bien, d
sont pas bonnes, je dois r
i avant d'avoir consulté ton
yer ses conclusions et les communiquer à notre gé
c'est fréquent que l'on ait
t vole de ses propres ailes. Nous avons donc le temps de prendre soin de nous, mainten
vaguement pour ne pas m'inquiéter moi aussi. Il me promet de me téléphoner s'il y a problème. Se
r le plus rapidement possible. Je ne fais qu'un bond et toute affaire cessante, je vais à son cabinet. Mon entreprise pe
. Je dois t'annoncer
fais pas
ait subir s'annoncent catastrophiques. Il te faut être courageux, Yvan ta
épidante qui ne laissait pas prévoir cet affaiblissement
lus quoi dire. Je ne peux pas comprendre. Ils sont sûrs ? Leu
e des thérapies. Yvan, elle nous développe une leucémie foudroyante. On ne peut rien à part faire en sorte qu'elle soit bien accompagnée pour ne pas trop souffrir. J
ire ? Nous avons les moyens et pour elle je
'au bout. Je vais lui parler mais sans lui révéler la totalité
Je vais laisser mon frère gérer l'entreprise en totalité, pour moi tout s'arrête aujourd'hui. Je vais lui offrir ce qu'elle a to
ami de longue date, que nous allions partir quelques jours. Isabelle est encore à son travail. J'ai décidé de lui accorder le meilleur. Nous allons faire ce voyage qu'elle aurait tant voulu à Venise. Le docteur est d'accord, nous devons être r
fou, qu'est-ce
rou dans mon planning, je veux faire ce tour qu'on espér
. Non écoute, on a attendu jusqu'à maintenant alors attendons encore
que dans trois mois. Pour les vêtements, demain matin nous allons commencer à faire l
is aller voi
. Il m'a dit que ce séjour te ferait du
tu as tout préparé ! Et pour
u moins un mois que c'était programmé. Même ton patron était dans la confidenc
prendras to
u restaurant. En passant, nous invite
ns. Je ne veux pas inquiéter Isabelle trop tôt et ne lui révéler l'état de santé de sa mère que plus tard. Elle a le temps de savoir,
prise et l'émotion de nous voir partir sans elle en voyage. Le soir, nous avons, après u
é la main sur la tête. Notre retour était aussi fou que le départ. Puisqu'il nous restait des jours de congé à prendre, je l'ai conduite à Lourdes. Elle est allée prier à la grotte et nous
u le maximum de choses dont nous avons rêvé. J'appelle notre médecin et ami. Il est venu la consulter à la maison. Il veut absolument qu'elle soit hospitalisée. À partir de ce moment-là, je ne peux plus, à notre fille, lui cacher la vérité. Je lui demande de venir, lui annonce la terrible nouvelle. Nous sommes allés à la clinique, ça faisait trois jours qu'elle y était. D
, est-ce que j
ondre. Je ne savais plus comment la regarder. Mais notre couple fait unique
Le médecin ne m'a rien dit. Simplement que tu allais avoir des moments
e notre fille. Je crois qu'elle est dans le tourment et qu'elle passe un moment difficile. Elle ne veut pas nous le
cabinet. Je ne l'avais jamais vue aussi fatiguée. Je me berçais de faux espoirs, c'étaient peut-être les médicament
passera pa
encore plein de choses à se dire. Moi non plus je ne l'avais jamais trompée. Notre fille est arrivée à ce moment-là, je l'ai prise dans m