Contre vents & Marées
ter le nid familial. Je regagnais enfin mon foyer. J'avais tellement rêvé de cet instant. Je n'arrivais pas encore à réaliser que je partais chez moi, mieux chez nous. J'étais très consciente qu
vivre en Côte D'Iv
tiques de bijou. Mon père s'opposa violemment à mon désir d'épouser un ivoirien. Il désirait pour moi un homme de sa communauté. J'avais défié mon père pour m'unir à Ariel Mahan. Mon père approuva malgré lui ma relation. Ma mère tenta de le raisonner
n organe de presse. Et pourtant je l'aimais. J'étais prête à ouvrir un institut de beauté pour l'aider à prendre soin de nous. J'étais une passionnée de mode et maquillage. J'avais appris toute seule en
mière dauphine. En plus les filles métisses suscitaient assez d'engouement sur les réseaux sociaux lorsqu'elles se présentaient. J'étais
taines lectrices et pourquoi pas lecteurs me diront qu'ils n'oseront jamais prendre un tel risque pour un être humain. Ma famille m'avait mise en garde s
femme comblée. J'étais désormais Madame Mahan. Mahan Ariel correspondait à mes critères. Il avait tout ce que je recherchais
n que mal de reconquérir ma confiance. Il avait abusé à plusieurs reprises de ma confiance. Je l'aimais certes mais je n'étais pas dupe
e rôle d'une bonne épouse selon mes principes. La femme devait aider son mari à être meilleur. En tous cas, je croyais au changement de mon Mahan. J'espérais plus que tout un changement de sa personne. J'étais très en colère contre lui parfois
nt la tête vers moi. Il m'o
on épouse légitime,
on époux,
, s'il
tes de ta part. Nous sommes mariés ; cela suppose un chan
, s'il
pas envie de revenir
ait, pas ce soir. Je t'en prie.
le pardonne
dis pas cela, le jour où nous
hise ? En tous cas je te le dirai chaque fois que cela m'enc
rde-moi en face. Je t'en pr
? Parle-moi, je t'écoute ; je ne suis pas une sourde. Si j'ai été souriante devant ma fam
ment. Tu ne peux même pas imaginer. J'ai mal de te fair
ms que tu accordes à te
agères,
te fois où pour toutes les au
n. Tu es mon épouse légitime. En plus tu sais combien de fois nous rêvions de vivre ensemble. Nous n'allons pas gâcher
oi tu ne me res
? Franchement, pardonne-moi. J'ai été sous l'emprise du diable. J'ai regretté mon acte et je continue de regretter. Ma
Mahan Ariel d
sûr,
e infidélité et pourtant tu n'as pas cessé. Mahan, le
eux seulement, tu observeras
ncore une autre infidélité. Je me jetai dans ses bras. J'avais cette folle envie. Comment Mahan arrivait-il à me faire céder toujours face à ses nombreuses supplications ? Je ne savais pas. Je pouvais être en colère cont
our de vraie. J'avais des frissons à l'idée de savoir que j'étais devant le lieu qui sera ma demeure. Elle était immense. Mahan ouvrit sa portière. Avec empressement, il ouvrit la mienne comme à une déesse. Je d
est encore plus splendi
r de ma hanche. Il me fit un ba
le était une merveille. T
a nuit qui s'envolait dans le vent. Je respirai un grand coup et profondément. Je n'en revenais pas de l'immen
ntrons. Nous n'allons pas
j'aimerais à présent que nous fassions comme je
évu dans tes idées ou du m
s dans tes bras. Tu me portas jus
éri
se. Porte-moi dans tes bras
plus tu sais, ces histoires de romance, c'est pour les latinos dans les
, s'il
te nuit. J'espère que cel
, tu es
me porta comme une gamine. Nous marchions avec gaieté
re ? J'ai assez mal au
s encore à l'intérieur. Je
n bras. J'ai assez fait d'effort cet
tration. Je ne désirais pas des histoires en cette nuit. L'ascenseur dans la mais
informée qu'il y avait un a
a deux,
t trop
ième étage de la maison. Ariel Mahan sortit de l'ascenseur avant moi. Je le suivis de près. Il ouvrit lentement une p
chambre es
regarde l
n compte mon choix du
déjà dit que tes dés
tout à l'heure tu peinais
ue j'ai m
oujours t
irais la décoration. Ariel avait pris en compte mon plan de décoration. C'était tr
ari et femme Ar
t ! Pour la
tu m'appartiens dés
roit à un petit cadea
le pe
ûr, mada
s que je n'avais pas embrasser les tendres lèvres d'Ariel. J'avais peur de perdre
à un véritable baiser. D
ne le mér
is cela,
lure. Je mourais de désir. Je me jetai à l'eau la première. Je voulais me délivrer de mes envies. J'embrassai Ariel Mahan avec passion. En plus ses lèvres m'avaient manqué énormément. Les bai
baisers m'a
encore plus belle et rayonnante
sais. Je suis
ntre. J'expliquai à Mahan qu'il était préférable d'attendre la semaine prochaine pour les combats sexuels. Il serra sa mine. Il était tout excité. Je le savais mais il y allait de ma santé. Je devais me sentir en pleine forme pour jouir aussi des plaisirs de la chair. Ariel finit par me donner raison malgr
e que tu n'es pas en
e ne le
regarde
est c
ression que
alors pourquoi insister ? En plus nous avons
osa ses lèvres sur les mienn
belle. Nous le ferons qua
qu'il était fou de moi malgré ses infidélités. Je m'en voulais. J'étais peut-être la source de ses nombreux infidélités. C'était un homme après tout. Les rapports sexuels étaient importants dans un couple. J'avais exigé à Ariel une abstinence. Je devais avoir des rapports sexuels avec lui dans le mariage et non avant. C'était une de mes conditions. Je décida
obre19
os souvenirs gravés en DVD et photos. Le photographe me l'avait remis en main propre. J'attendis l'arrivée de mon Mahan afin que nous la visionnions ensemble. J'ai pleuré comme une gamine en savourant les instants de la cérémonie. Je restais encore toute tremblante lors de la bénédiction de mon père. Il priait Ariel Mahan de prendre soin de moi. Mon époux se mit à ses pieds lui promettant de m'aimer jusqu'à la
ciel. Il fallait des rapports sexuels pour en procréer. Je désirais des enfants. J'aimais, croyez-moi, mon Ariel plus que tout au monde. Cependant, je n'arrivais pas en deux mois de vie commune à aller plus loin que des flirts avec lui. Chaque fois que je voyais son érection, j'avais une peur. Mon époux était très membré. Cela aurait dû être normalement mon bonheur. Je le sais. Je l