Contre vents & Marées
ements. Mon téléphone sonna. Je le pris avec précip
ma grand
ela fait s
ine 1 semaine que nous n
t assez. Tu vas bien
de sœur. Grâce à Dieu, tout va s
ais. Je n'ai pas encore changé. Raconte-moi
au juste ? Ma vie de couple est pareil à tous les j
enne de tes nouvelles. Tu sais que tu peux te confier à moi sans craindre. D'ailleurs c
nt opportun tu verras de tes yeux.
nt les débuts qui sont intenses
e sava
je t'i
eras Tata très bientôt. N
etite sœur. Ta voix cache un souci. Tu as quoi au juste ? J'es
ent c'est enco
pas encore pris ce plaisir de la chair ave
l'avo
te cro
logue. Tu es ma grande sœur. Je ne suis plus une gamine. Je ne suis pas censée te parler de ma sexuali
mariage. Comment priver ton époux des rapports durant deux mois. Tu exagères. Tout se surmonte dans un couple par la communication, la confiance. Je peux comprendre tes peurs dans un début. Tu devras affronter tes peurs pour être une maman. Maintenant, si tu as
sais,
t. Si tu le sais, dans ce cas qu'es
telleme
ster vierge éternellement. Tu es une femme mariée. C'est ton rôle d
mpris tes
omment il vit
. Il a hâte d'être père. En p
Tu connais le nombre de femmes qui désirent être dans un foyer ? Tu sais combien de femmes désirent avoir un homme comme ton Ariel ? Tu as assez de chance.
e. J'ai de la visite. Je te
n assise dans ta chambre, tu me
e. La sonnerie de la porte ne fait
rie. Mais ne prive pas
mets mes salutations aux p
e me promis de ne plus jamais lui parler de ma sexualité. Je savais qu'elle avait raison. Je devais franchir le pas avec Ariel. Deux mois, c'était assez sans se connaître de manière intime. Je décidai q
mon amo
s bien,
is très bie
vais
descendras ce so
réunion imprévue à 19 heures. Je crois que si tout va b
concentrer sur ta réunion. Ne tarde pas
es surprise
tenant alors cela ne s
une piste ou
vailler. Je t'aime
e filai me préparer. J'étais prête. Je reçus des forces positives après l'appel de m
étais moi-même activée à piler le foutou malgré l'insistante de ma gouvernante Affoué. Je pris mon bain. Je portai une lingerie blanche. Je filai mes talons les plus aigus. Je l'attendais dans la chambre. La ménagère me prévint
dans la grande glace de la douche
ffets dans le grand divan du deuxième salon. Mahan Ariel m'aperçut dans les escaliers. Je m'arrêtai un instant. J'avais la main sur la hanche comme une Miss. Je voulais qu'il savoure cet instant qu'il attendait tant. Ariel Mahan m'offrit son p
tu n'es pas t
nt pareil ? Jamais ! Tourne
mordillements de ses lèvres. Ariel s'approcha de moi. Il me prit dans ses bras. Son parfum était agréable. Il me regarda comme si c'était la prem
i. Tu me tro
même pas imaginer com
e. L'unique chose qui lui importait, faire un avec ma chair. Je le savais. Dans mon for intérieur, j'avais mes peurs sur les rapports sexuels. Je tenais compagnie à mon époux. Il mangea rapidement. Ariel me prit dans ses bras. Cette nuit, sans mon invitation, il était acteur de télénovelas. Ah les hommes et pourtant l'autre fois il me trouvait si lourde. Il me posa sur le lit. J'avais pris mon bain. Il courut
tu me trou
soir. Regarde les effets que tu me fais. J
s dans la serviette. Ariel Mahan ne se fit pas prier pour pavaner ses mains tout au long de mon corps. J'avais l'impression d'être en face d'un acheteur
e beauté pou
pour toi seul, Mon
e Maeva, t
igea vers le lit. Ariel me posa au centre du lit. Il alluma la veilleuse comme d'accoutumé. Il parcourait mon corps avec sa langue
s sûre que cette nui
me sens prête. Cette
ne. Quelques instants il
'aimerais pas que tu le fasses pour assouvir me
s cet instant si précieux ave
es mots doux. Cette nuit fut si longue et spéciale. Après deux mois de mariage et de vie commune, je découvrais l
vait l'apparence d'un ange lorsqu'il dormait profondément. Je ne pus m'empêcher de lui donner un baiser. Je retirai lentement ses mains qui m'enlaçaient. Je descendis sur la pointe des pieds du lit. Je m'étirai longuement. J
times avec Ariel. Je n'étais pas une adepte de la cuisine. Je devais me débrouiller sans Affoué. J'étais en pleine séance de cuisine libanaise lorsqu'une main m'enlaça. Je sursautai immédiatement. Je pris peur. Je m'y attendais. Ariel m'avait f
la nuitée d'hier fut merveilleuse. Je n'avais pas besoin de sa réponse. Ses mouvements exprimaient sa grande joie de m'avoir possédée. Je me retournai face à lui. Je lui souris. Je posai mes deux mains sur son cou. Ariel me
de sortir de son somme
moqueur. Ariel m'embrassa comme réponse à ma question. Ses lèvres emprisonnaien
mes forces. Je suis présent
était prêt. Je posai le petit déjeuner sur la table. Je m'attelais à servir mon époux. Je n'avais plus l'appétit tout un coup. Je
? Je vois que tu as dressé
portant c'est toi. En plus cela me plait
ues par des mots que t
cette expre
Je crois que c'est une expre
lle e
l'ethnie de ta mère. Chez vous les b
le sav
e parles pas ta
ec tes histoires de langue maternelle
e que tu es ivoirienne
je suis même f
lébré très bientôt rendre
voyage. J'avoue que j'ai
ci en Afrique. Nous ne
n petit déjeuner, je vais prend