Sa prisonnière
V
l te suffit de les affronter un par un. Il croyait en ces mots mais ça ne l'a pas protégé, ça ne l'
constamment. Je croyais que ces hommes de mains le protégeraient, qu'ils donneraient leurs vies pour lui mais l'avidité, le besoin d
ion le corps sans vie de mon père. C'est à ce moment là que tout a basculé, à ce moment là que je suis passée de la fille du chef
e que je découvre la réponse. Je pensais qu'il allait me tuer moi aussi, j'aurais préféré qu'il le fasse mais il avait d'autres projets.
libre de faire quoi que ce soit et ça, depuis bien trop longtemps. Afin de prouver à tous que je suis son esclave, il m'a posé un collier en c
revienne. Car il reviendra, il le fait toujours, tout les soirs, encore et encore sans ce soucier de la douleur qu'il m'inflige, sans s'inquiéter de savoir s
eil sans rêves mais chaque nuit, mon esprit me fait revivre encore et encore ce qu'il me fait subir la journée. Le son de l
rnée. Je peux le savoir rien qu'en l'entendant approcher. La porte de la chambre s'ouvre alors, brusquement. Même si il est e
nt précis où la peur revient, où ce sentiment me paralyse tout en me faisant trembler de la tête au pied. Il s'arrête près de moi et avant même de prononcer le moindre mot, son pied heu
ebo
e contrarier. Encaisser. Attendre que l'orage passe. C'est tout ce que je peux
habil
as ce qu'il veut. Je ne recommencerais pas, il a tout fait pour que j'apprenne cette leçon. Mes vêtements tombent sur le so
l a lui même créé. Un frisson de dégoût me traverse sans que je ne puisse le cont
s ce que
de la lui retirer et répète les même mouvements pour détacher son pantalon. Aussitôt, l'odeur de son se
lors qu'il perçois sans doute m
au creux de mon ventre, grandir alors que les larmes menacent déjà de couler. Je dois me contenir, lui donner ce qu'il veut da
mprendre, comment peut-il prendre du plaisir alors que je le hais de tout mon être. Mais ça ne change
puis un peu plus vite. Avec un peu de chance, il s'arrêtera à ça. Je l'espère.
compte pas en fin
ire le vide dans mon esprit, pour me réfugier mentalement dans une sorte de bulle qui tente vainement de
il en rejetant ma
si il est capable de ressentir quelque chose. Je me relève et m'allonge sur le ventre. Je sais ce qu'il at
erce alors que ma respiration se bloque dans ma poitrine. Mon corps se tend, se crispe mais ça ne l'arrête pas car il reprend sa prise sur mes cheveux avant de se déhancher de toutes ces forces. Je sens quelque chose de chaud couler entre mes cuisses, sûrement du sang ce qui ne va sûrement pas le stopper,
me poussant avec son pied. J'ai trop mal pour me relever mais je sais que je ne peux pas rester là sans risquer de le mettre plus en colère et rampe jusqu'à ma couche, à cette couverture qui me sert de lit. Tremblante, je m'allonge comme
r devenir folle, par perdre le peu de lucidité qu'il me reste encore. Je retiens un sanglot comme je le peux
nde. Je ferme les yeux en me concentrant sur ça. Tant qu'il
i cette fois atteint mes jambes. Je grimace en ouvrant les
n petit déjeuner. Tu vas
lors que la douleur se fait plus vive et aussitôt, un coup de ceinture vient fouetter mon dos. Aussitôt, je me redresse, serrant les dents, luttant contre les larmes qui re
que je devais porter enfin, si je peux appeler ça une tenue. Une jupe qui ressemble plus à un bandeau de cuir qu'autre chose ainsi q
ent où je m'apprête à quitter la pièce, il attrape mon bras pour me retenir. Visiblement, la te
es toi
me mettre à genoux tant bien que mal, décidé