Sa prisonnière
ette position. J'essaye de bouger un peu comme je le peux sans que ça ne me soulage. Je me tortille, remue de plus en plus sans qu'il n'y prête atten
e pas me relever et me dégourdir les jam
auffeur de
ssitôt avant de reven
ure est p
ne l'empêche pas de se lever tout en
u reste de l'après midi mais n
dans ce genre de situation, Julien le précède, il ne le laisse jamais seul, surveille ces arrières
dez vous pour la j
pour aujourd'hui
ons, dit-il en se mett
'aire libre. Tellement longtemps que je ne suis pas entrée dans une boutique, tellement longtemps que je ne me suis simplement pas amusée. Par moment, je me demande si Max va
n qui m'a vue grandir et qui maintenant c'est transformé en prison. Julien descend le premier r
t je risque bien d'en payer le prix fort. Un frisson me parcours alors qu'il se
et emmène le dans ma chambre,
st constamment remplie de monde qu'il faut bien nourrir. Océane, une femme qui était déjà présente durant le règne de mon père, me sour
basse alors que je commence à sortir les
nt bu pour s'endormir rapidem
lle en posant sa main sur la mienne. Garde espoi
arranger. Max est un monstre. Un monstre sans cœur, sans émotion. J'observe le couteau que j'ai dans les mains. Si seulement j'étais plus f
ue j'attrape à deux mains avant de soupirer. Océane pose alors sa main sur
regrette l'époque où ton père était à la tête de l'org
es avant de quitter la pièce pour me diriger vers sa chambre. Je
r, j'ai l'impression qu'il a
dre et entre dans la chambre pour le
attendre, dit
genoux avant de m'installer sur le sol. Il at
he. Pas besoin de te r
e ça n'est l'effet escompté. J'aimerais tellement qu'il s'endorme, qu'il me laisse quelques instant de paix, juste un peu. Mais visiblement, Julie
miné son repas et il a même eu le temps de se déshabiller. En le voyant ainsi, tout mon ê
t sur ces genoux pour me
re de malheur et m'installe sur ces genoux
dit-il en passant sa main sur
it avant de se relever et de m'observer un court instant. Mes mains cherchent déjà à agripper les draps et je ne remarque que trop tard qu'il a att
ui malheureusement lui procure suffisamment de plaisir pour qu'il recommence. Les coups pleuvent, de plus
e calvaire? Pourquoi moi, tout simplement? Mes cris résonnent dans toute la pièce alors que par instinct mon cor
retourne violemment avant de s'enfoncer en moi en grognant. Je m'accroche à ce que je peux mais rien n'y fait. La douleur est telle que chaque fois qu'il pose la mai
herche par tout les moyens à le faire sortir de moi mais il
n'imagines pas à quel point tu m'excites qu
u juste pour me faire réagir. Je sais déjà que je ne pourrais pas me lever demain. Que je serais incapable de faire le moindre pas. Il me retourne
ne cesse de pleurer. Il se laisse tomber sur le lit avant de me dégager sans ménagement en me faisant tomber s
retiens plus mes larmes, je les laisse couler en abondance jusqu'à ce que je sois incapable d'en produire d'avantage. Je ne peux plus vivre
maitriser comme je le peux et me traine jusqu'à la salle de bain afin de pas vomir dans la chambre. Je sais qu'il a suffisamment bu pour ne pas m'entendre. Il est par
, sur cette lame qui pourrait mettre un terme à mon calvaire et sans même m'en rendre réellement compte, je m'en saisis, casse le plastique alors que la lame tombe dans l'évier. Mes doigts tremblent quand je la récupère. Durant une fraction de secondes, je me contente de l'observer et f
ouchera plus. Il ne posera plus ces mains sur moi. Je regarde le sang maculer le sol. Comparé à tout ce qu'il m'a fait subir, ça n'a rien de