Sa prisonnière

nants. Pourtant, en contemplant son visage sur mes cuisses, je ne peux réprimer un frisson qu'elle ressent immédiatement. Aussitôt, tout

ent pour ça maintenant. Je la sens trembler, prier pres

ebo

ndre la jupe qu'elle porte et qui est bien trop serrée pour pouvoir se déplacer correctement. Ces cuisses sont zébrées de marques, de cica

rrasse mon bureau

urne

i un peu plus le cuir de sa jupe afin de dévoiler la courbe de ces fesses. Par moment, j'en viens à me demande

ussi chaude, aussi douce, malgré les cicatrices qui la recouvre, elle reste parfaite, pour moi. Sans ajouter un mot de plus, je la b

t de retrouver cette chaleur, cette moiteur, cet étau de chaire qui ne cesse de vouloir me repousser et qui pour

plus j'aime ça. Elle est à moi, entièrement à moi et je compte bien en profiter autant que je le peux. Ces ongles griffes mon bureau. Je l'entends

putes qui peuvent défiler dans mon lit, aucune ne lui arrive à la cheville. Mes mouvements sont de plus en plus rapide, mes ges

e même à mes pieds, attendant que je l'utilise à nouveau. Elle ne prend même pas la peine de se rhabiller correctement, d'essuyer mon spe

portable sonne. En voyant qu'il s'agit de l'

on a un

ence comme ça. Des problèmes, c'est à

coute Ma

es loyers dans le quartier nord quan

r le jour et pour se faire, rien de tel que d'attaquer ceux déjà en place. Ils veulent montrer leurs fo

omb

ins, il est encore vivant pour le moment. On l

arge

ont to

r notre présence et rejoins moi ce midi au Dragon

cupe tout de

mbattre. C'est la deuxième fois qu'ils s'en prennent directement aux miens. Les flics sont déjà assez sur les dents comme ça sans ajouter des fusillades à chaque coin de rue. Un nouveau

verre, dis-j

tit cul dénudé sans la moindre gêne. Elle lutte pour se tenir droite. Elle lutte pour ne pas montrer qu'elle souf

a place au sol. Mon prochain rendez vous arrive avec un peu d'avance. Il entre dans mon bureau et s'installe devant moi en s

probl

s ont disparu

ent c'est possible?

ntées avec un client et pl

dentifié

des commerces à proximité. Des pros. On ne voit pas leur visage. Les

ons bloquées, des hommes de mains tués, du fric qui disparaît et maintenant des filles qui se vol

t suivit à chaque passe. Qu'importe où les clients les emmène. Ces putes rapportent s

en occupe, dit-il en se le

ement rêvé d'être à cette place, d'être à cette position mais j'avoue que je ne m'at

Boss. On peut y alle

dents. Hors de question de prendre le moindre risque. Le Dragon Rouge n'est qu'à quelques kilomètres. C'est un peu notre point de chute, de rendez vous pour décompresser où

nts arrivent un à un, des filles font leurs apparitions. Toutes aussi peu vêtues qu'Emma ce qui ravi mes hommes. Chacun e

Tout les autres prennent place et alors la réunion peut commencer. Bien entendu, le sujet principal reste cette orga

n a des in

rès les rumeurs, c'est lui le patron. Un jeune qui à les den

t d'où i

ne connais pas son origine. Visiblement, il terrifie s

cts, un business

. Il n'en n'est qu'à ces débuts mais je pense qu'il faut le

ant de ce qu'il se passe. Que chacun surveille ces arrières et notre business.

ur pour en arriver là, je ne laisserais pas un gamin sortie dont ne sait où prendre ma place. Ils attrapent tous leurs portables, contactent les

de nourriture et alors la pression retombe. Elles font ceux pourquoi elles sont payé

aise. Je la sens trembler contre moi alors que la pièce commence à se remplir de discussions plus légère, à se remplir de rires, du son des mains qui claquent sur un fessier r

mes. Personne ne pourra ignorer que cette ville est la mienne. Qu'elle est so