Sa prisonnière
V
lieutenants de Max décompressent, s'amusent en faisant passer les filles sur leurs genoux. L'alcoo
Il ne cesse de caresser mes cheveux, de passer sa main sur ma tête comme si j'étais un vulgaire animal de compagnie. Je garde les yeux f
ns ce genre de lieu. Si lui aussi s'amusait à faire défiler les putes sur ces genoux. J'en viens à me dire que c'est pour cette raison q
comme Max, mon père s'occupait du même type d'affaires, proxénétismes, trafic de drogue, trafic d'armes. Peut-être qu'à cette époque, ça m'arrangeait de fermer les yeux, peut-être que c'était plus simpl
s pourquoi. Mais à l'époque, je dois avouer que j'aimais l'attention qu'il me portait. J'aimais savoir que je lui plaisais, il faut dire qu'il cache à merveille
tre les cuisses d'un homme, leur sexe entre leur lèvre afin de les satisfaire. Voilà ce que nous sommes pour eux, de simple objets de plaisir, de consommation, qu'ils utilisen
x, dit-il en claquant
abituée. Je m'exécute. Passe à califourchon sur ces genoux tout en fuyant son regard. Je sens qu'il est déjà dur et il n'hésite pas à me faire ressentir un pe
nt mes fesses suffisamment fort pour
fait subir, je reste protégée car je lui appartient mais si je lui désobéis, si je résiste alors il n
faisant frissonner de dégout ce qui b
vas faire comme si tu aimais ça. Je veux t'entendre gémir.
ituation, il m'arrive de ressentir quelque chose. Mon corps me trahit, m'abandonne et même si il ne s'en prend pas physiquement à moi, c'est encore pire que tout le reste, à chaque fo
vite à son goût, il claque à nouv
trapant mon visage pour me forcer à le
mes et je porte ma main à ma bouche pour l'humidifier avant de saisir son sexe et de m'empaler sur lui
utours de ma taille. Maintenant fais moi j
re rapidement ce soutien gorge en cuir et se saisit de ma poitrine fermement. Il attrape mes tétons entre ces doigts qu'il pince sans chercher à me faire mal. Décidément, je ne com
lui répond, je me sens m'humidifier tout en continuan
ire semblant, dit-il en lâchant un de mes seins pour ti
ut en continuant mes mouvements. Je me sens frissonner, trembler même sans que je ne puisse rien y faire. Comment est ce possible, après toutes les horreurs qu'il me fait vivre, après toute la douleur qu'il m'inflige, comm
oi mais en tout cas, ça semble plaire à ces hommes qui grognent à leur tour alors qu'ils les baisent à même la table. M
veux te sentir jouir sans que
ngle, cherchent soudain plus de contact avec lui alors que je ne peux réprimer un gémissement. Je le sens sourire contre mes
Petit à petit, j'accélère, je me laisse gagner par ce frisson, je me laisse gagner par ce que je re
dans un grognemen
e m'asservir un peu plus. Alors je me laisse aller, gémis sans véritable retenue, me déhanche avec plus de vigueur jusqu'à ce que le plaisir explose et que je
les autres autours de nous. La majeure partie des femmes sont dans la même position que moi, sauf qu'elles sont meilleures actrices que mo
on corps et m'ordon
n retirant définitivement sa chem
vain. Il est trop fort pour moi et je n'ai aucun moyen de lutter. Ces mains passent sur moi, me caressent avec une douceur
plus. Il grogne, gémit, à dans le regard cette étincelle qui me prouve sa domination. Je ne peux rien faire, je ne pe
x de me jeter sur le sol comme il le fait en générale, il reste à m'observer, à me contempler jusqu'à mon sexe d'où s'écoule sa s
er ma juste place à ces yeux, à ces pieds, sur le sol, attendant juste qu'il ait à nouveau besoin de moi. Alors les larmes co