Le fantôme de ma mère
amb
corps malmené par les ans qui déf
e pose à moi : « Quand vas-t
maman, sans comprendre pourquoi autant d
mains sur ma peau. Ma mémoire s'exile vers les profondeurs de l'oubli
it mon présent. J'ai b
es huit ans, il a stoppé sa course. J'ai cinquante-trois
n château de cartes : le terrain est mouvant. Tu n'es plu
isent. Je ne suis plus personne, juste une entité en mal de vivre. Ma vie devient une lutt
orique de mon malheur : ton
faut, sinon, je vais dépérir et chercher à te rejoindre. Je m'accroc
m'attache à dessiner