Le jour de la Saint-Valentin, qui était aussi l'anniversaire de mon fils Léo, ma vie a basculé.
Après cinq ans de mariage en tant qu'épouse "parfaite" d'Alan Palmer, héritier d'une prestigieuse dynastie viticole, ce dernier a sorti des papiers de divorce, annonçant que j'étais une simple remplaçante et qu'il n'avait plus besoin de moi.
Mon fils, Léo, m'a poignardée au cœur en souhaitant que son père et moi divorcions pour que "Tante Cécilia" devienne sa nouvelle maman.
Alan m'a congédiée avec dix millions d'euros et l'interdiction de jamais toucher à un verre de vin, tandis que la même Cécilia, ma propre sœur, affichait publiquement leur bonheur sur les réseaux sociaux.
Je me suis souvenue de tout ce que j'avais abandonné pour lui – ma carrière, mes rêves – sous la promesse d'une guérison par un mystérieux "Système", qui déclarait maintenant ma mission "échec".