searchIcon closeIcon
Annuler
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Mariage avec un zillionnaire secret

Mariage avec un zillionnaire secret

Elle a tout pris, même mon cœur

Elle a tout pris, même mon cœur

Retour de l'héritière de la mafia

Retour de l'héritière de la mafia

Le Prince est une fille : Esclave captive d'un roi vicieux

Le Prince est une fille : Esclave captive d'un roi vicieux

Reviens mon amour

Reviens mon amour

Les regrets de mon ex-mari

Les regrets de mon ex-mari

Divorcée et mariée à un chef de guerre

Divorcée et mariée à un chef de guerre

L'héritière de génie brille après le divorce

L'héritière de génie brille après le divorce

L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne

L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne

Ex-mari, je ne t'aime plus

Ex-mari, je ne t'aime plus

Abattre la bête pdf

Renaissance : J'ai épousé l'ennemi de mon ex-mari

Renaissance : J'ai épousé l'ennemi de mon ex-mari

PR
Lucia Balstone pensait avoir choisi le bon homme avec qui passer le reste de sa vie, mais c'est lui qui a mis fin à ses jours. Leur mariage de dix ans a semblé être une blague lorsque son mari l'a poignardée avec un poignard. Heureusement, Dieu n'est jamais aveugle aux larmes des gens. Lucie a eu une seconde chance. Elle renaît à l'âge de 22 ans, avant que toutes les choses terribles ne se produisent. Cette fois, elle était déterminée à se venger et à laisser payer ceux qui lui faisaient du mal ! Elle a fait une liste détaillée de ses objectifs, et la première chose sur sa liste était d'épouser l'ennemi de son ex-mari, Alonso Callen !
Milliardaire
Téléchargez le livre sur l'appli

Mes six ans et quelques mois d’amours clandestines avec Samuel Eto'o m’ont ouvert les portes d’une vie de confort et de luxe. Voyages en jets, suites présidentielles, shopping illimité... On pourra me juger futile, vénale ou cupide. Mais ces temps de faste n’effaceront pas une enfance de dénuement. Je suis née au Cameroun, en 1987 à la clinique Sende de Yaoundé. Jusqu’à mes trois ans, j’ai vécu à Kribi, une ville côtière du Sud du pays aux plages paradisiaques, avant de revenir dans la capitale. Ma mère, Marie-Jeanne, était femme au foyer et mon père, Félix, homme d’affaires.

Je suis l’aînée de leurs quatre enfants. Mon père était un Bassa, une ethnie bantoue originaire d’Égypte ancienne, où les croyances en la sorcellerie et les forces occultes restent très fortes. Nous étions une famille modeste, comme le Cameroun en connaît des centaines de milliers. Mais chez nous, ce statut ne revêt pas la même réalité qu’en France: nous avions un toit, et de quoi manger à notre faim. Rien de plus. Nous ne pouvions prétendre ni aux loisirs ni aux vacances. Pas de quoi me plaindre. En Afrique, la subsistance n’est pas le point de départ d’une vie heureuse. Elle en est souvent l’accomplissement. J’étais une enfant timide, réservée, et une très bonne élève. À l’école élémentaire, j’enchaînais félicitations et tableaux d’honneur. Le week-end, mes parents me confiaient à ma marraine, Hélène, qui vivait dans la banlieue de Yaoundé. C’était une très belle femme, indépendante, dotée d’une personnalité forte. Un soir, alors que je dormais chez elle, j’ai été réveillée par des bruits dans la maison. C’était la police. L’ex-compagnon d’Hélène, un homme jaloux qu’elle venait de quitter, l’avait tuée par balle dans son sommeil. Au Cameroun, l’indépendance et la liberté d’esprit peuvent coûter la vie aux femmes. Ce premier traumatisme n’en est pas vraiment un, car je n’ai gardé que peu de souvenirs de ma marraine et de cette nuit tragique. Mais je crois avoir hérité d’une bonne partie de son caractère. Et des ennuis qui vont avec. Je n’ai jamais vraiment su dans quelles affaires baignait mon père. Je sais simplement qu’il avait des activités liées aux marchés publics. Alors que je venais de fêter mes cinq ans, il a été arrêté par la police et placé en détention. Il est resté en prison pendant un an. Aujourd’hui encore, j’ignore la nature précise de ce qu’on lui a reproché. Du jour au lendemain, nous n’avions plus assez d’argent pour nous loger. Nous sommes partis vivre chez ma grand-mère à Obala, un village situé à une cinquantaine de kilomètres de Yaoundé. Ce déménagement forcé et les mois qui ont suivi constituent une période sombre de mon enfance. Ma timidité s’est transformée en une solitude noire. Je m’enfermais des heures durant dans la chambre de ma grand-mère. Je me souviens des remontrances de ma mère après qu’elle m’a surprise en train de déchirer des draps avec un couteau. J’avais en moi une colère que personne ne s’expliquait, et que je n’arrivais pas à extérioriser autrement que par la violence. Un an plus tard, mon père est sorti de prison. Il n’avait plus de travail. Nous sommes allés vivre chez un ami de mes parents dans une grande maison d’Efoulan, un quartier pavillonnaire plutôt chic de la capitale. Vivre au milieu d’une famille de nouveau réunie a vite fait d’apaiser mes angoisses naissantes. Malgré ses efforts, mon père n’a pas tout de suite réussi à retrouver un emploi stable. Son oisiveté a fini par le rendre susceptible et colérique envers ma mère. Leurs disputes se faisaient chaque jour plus intenses. Mes frères et moi étions épargnés par les cris, mais nous en étions les témoins horrifiés. De mon côté, mon statut de sœur aînée m’a rapidement transformée en garçon manqué. D’élève studieuse et réservée, je suis devenue une redoutable bagarreuse de cour d’école, surtout si l’honneur de mes

petits frères était en jeu. Je ne supportais pas qu’on leur fasse du mal. Je crois qu’au fond je craignais de les perdre. La mort de ma marraine et l’incarcération de mon père m’ont insufflé une peur panique de l’abandon, qui perdure aujourd’hui. En rentrant de l’école, la teigne de récré que j’étais se transformait en agneau. Je me souviens de ces après-midi entières passées à aider ma mère à cuisiner, ou à enlever les peaux mortes des pieds de mon père après sa sieste. Je jouais à la dînette comme à la carabine avec mes frères, que je déguisais en filles à l’occasion pour compenser ma frustration de ne pas avoir de petite sœur. Ces instants de complicité familiale restent parmi les plus beaux souvenirs de mon enfance.

Ces temps heureux n’ont pas duré. À la fin de l’année 1996, alors que mon père commençait à retrouver une activité stable dans la construction de routes, mes parents ont organisé un dîner réunissant l’ensemble de ma famille paternelle. Les nombreux frères de mon père étaient

naturellement invités, bien que ma mère n’ait pas vu leur présence d’un très bon œil. Mes oncles ont toujours vivoté, et même si mon père n’était pas Crésus, il était jalousé. Mon oncle Michel était le plus envieux, doublé d’un alcoolique notoire. Au début du dîner, mais déjà ivre, il s’est mis en

tête de porter un toast. Après les remerciements d’usage, le ton a changé. « Toi, tu as une bonne étoile, alors que nous n’avons rien », a-t‐il lancé à l’adresse de mon père. « Pourquoi n’avons-nous pas réussi dans la vie comme tu as réussi ? Les gens du village t’en veulent. Tu ne verras pas la

nouvelle année. » Cette dernière phrase n’était pas une menace physique directe, mais plutôt la promesse d’un sort malveillant qui lui serait jeté. Ma mère est sortie de ses gonds. « Comment peux-tu dire ça ? Comment peux-tu dire que tu vas manigancer pour que ton frère meure ? » Mon

père a tenté de calmer le jeu. « Il a trop bu », a-t‐il simplement commenté. La soirée s’est poursuivie presque comme si de rien n’était. Je ressentais la peur et l’impuissance de ma mère. Je la partageais sans vraiment comprendre ce qui se tramait. Quelques jours plus tard, mon père est allé rendre

visite à ses frères au village. En revenant, il nous a raconté que personne n’avait voulu lui serrer la main, sauf un inconnu, qui a insisté pour le saluer longuement. Une semaine après, il a ressenti une vive douleur au bras. Ce mal inconnu s’est bientôt généralisé. Il est décédé deux semaines

plus tard. Je n’ai jamais vraiment cru au pouvoir de la sorcellerie mais je n’ai, à ce jour, pas d’explication plus rationnelle pour expliquer sa mort brutale. La disparition de mon père nous a fait passer d’une vie modeste à la pauvreté. Obligée de travailler dans l’urgence, ma mère a ouvert un stand de brochettes de bœuf dans un centre commercial tout en s’inscrivant à une formation

Lire
REVENGE PORN

REVENGE PORN

Natkoah
75.1k 6
Foot, sexe, argent : l'ex de Samuel Eto'o se livre Nathalie Koah est une belle jeune femme camerounaise née dans une famille pauvre et nombreuse de Yaoundé. Orpheline de père à l'âge 10 ans, élève turbulente, elle est promise à une vie peu réjouissante. Jusqu'à sa rencontre fortuite en 2008 avec la
Romance
Téléchargez le livre sur l'appli
La contre-attaque du milliardaire déguisé

La contre-attaque du milliardaire déguisé

Rickie Appiah
21.4M 2450
Ma famille se situait au seuil de pauvreté et n'avait plus aucun moyen de payer ma facture de scolarité. Je devais travailler à temps partiel tous les jours pour joindre les deux bouts et payer mes études. C'est alors que je l'ai rencontrée - la jolie fille de ma classe avec qui tous les garçons rêv
Moderne ModerneFausse identitéIdentités multiplesDiscrète
Téléchargez le livre sur l'appli
Abattre la bête pdf livre pdfAbattre la bête pdf pdf gratuitAbattre la bête pdf pdf ekladataAbattre la bête pdf amazonAbattre la bête pdf
Lisez-le sur Kifflire !
Ouvrir
close button

Abattre la bête pdf

Découvrez des livres en rapport avec Abattre la bête pdf sur Kifflire. Lisez plus de livres gratuits avec Abattre la bête pdf livre pdf,Abattre la bête pdf pdf gratuit,Abattre la bête pdf pdf ekladata.