Le téléphone a sonné au milieu de la nuit, une alarme stridente dans le silence de ma villa. C'était Juliette, ma compagne, au summum de son insouciance: "Je pars au Brésil avec Marc !". Mon sang n'a fait qu'un tour en comprenant l' ampleur de la trahison, mais j'étais loin d'imaginer l'horreur qui m'attendait. Quelques instants plus tard, une nouvelle onde de choc : la Porsche Cayenne que je lui avais offerte venait d'être impliquée dans un grave accident, laissant deux blessés. L'inquiétude a laissé place à la sidération quand, à l'hôpital, j'ai reconnu les victimes : mes beaux-parents, les parents de Juliette, gisant entre la vie et la mort. Des machines sinistres rythmaient leurs dernières heures. Le chirurgien attendait mon autorisation pour opérer, mais juridiquement, je n'étais rien pour eux. Désespéré, j'ai rappelé Juliette, lui hurlant la vérité sur ses parents. Mais elle, obnubilée par son amant, a éclaté de rire, me traitant de jaloux et de pathétique. "C'est la meilleure que tu aies trouvée pour m'empêcher de partir avec Marc ?!" a-t-elle lancé, avant que Marc n'intervienne, cynique : "Occupe-toi de faire réparer la Porsche, mon pote." La sonnerie des moniteurs s'est tue. Les mots du chirurgien m'ont frappé comme un coup de poignard : "Nous avons fait tout notre possible. Je suis désolé." Mon monde s'est effondré avec mon cœur, un gouffre béant, irréel. Puis, la colère, froide et pure, a remplacé le chagrin. Juliette n'avait pas juste menti, elle avait volé 50 000 euros de mon entreprise pour couvrir le crime de Marc, un crime qui avait tué ses propres parents. J'ai repensé à toutes les humiliations subies, les signes ignorés. L'homme patient et tolérant était mort cette nuit. Un nouvel Alexandre allait naître de ses cendres, assoiffé de justice.
Le téléphone a sonné au milieu de la nuit, une alarme stridente dans le silence de ma villa. C'était Juliette, ma compagne, au summum de son insouciance: "Je pars au Brésil avec Marc !". Mon sang n'a fait qu'un tour en comprenant l' ampleur de la trahison, mais j'étais loin d'imaginer l'horreur qui m'attendait.
Quelques instants plus tard, une nouvelle onde de choc : la Porsche Cayenne que je lui avais offerte venait d'être impliquée dans un grave accident, laissant deux blessés. L'inquiétude a laissé place à la sidération quand, à l'hôpital, j'ai reconnu les victimes : mes beaux-parents, les parents de Juliette, gisant entre la vie et la mort.
Des machines sinistres rythmaient leurs dernières heures. Le chirurgien attendait mon autorisation pour opérer, mais juridiquement, je n'étais rien pour eux. Désespéré, j'ai rappelé Juliette, lui hurlant la vérité sur ses parents. Mais elle, obnubilée par son amant, a éclaté de rire, me traitant de jaloux et de pathétique. "C'est la meilleure que tu aies trouvée pour m'empêcher de partir avec Marc ?!" a-t-elle lancé, avant que Marc n'intervienne, cynique : "Occupe-toi de faire réparer la Porsche, mon pote."
La sonnerie des moniteurs s'est tue. Les mots du chirurgien m'ont frappé comme un coup de poignard : "Nous avons fait tout notre possible. Je suis désolé." Mon monde s'est effondré avec mon cœur, un gouffre béant, irréel.
Puis, la colère, froide et pure, a remplacé le chagrin. Juliette n'avait pas juste menti, elle avait volé 50 000 euros de mon entreprise pour couvrir le crime de Marc, un crime qui avait tué ses propres parents. J'ai repensé à toutes les humiliations subies, les signes ignorés. L'homme patient et tolérant était mort cette nuit. Un nouvel Alexandre allait naître de ses cendres, assoiffé de justice.
Introduction
Ce jour16:24
Chapitre 1
Ce jour16:24
Chapitre 2
Ce jour16:24
Chapitre 3
Ce jour16:24
Chapitre 4
Ce jour16:24
Chapitre 5
Ce jour16:24
Chapitre 6
Ce jour16:24
Chapitre 7
Ce jour16:24
Chapitre 8
Ce jour16:24
Chapitre 9
Ce jour16:24
Chapitre 10
Ce jour16:24
Autres livres par Gavin
Voir plus