L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Une danse avec trois princes
Les regrets de mon ex-mari
Son retour en grande pompe
Le retour de l'épouse indésirable
Yaoundé : quartier ….d'Odza,
Au lieu dit kowet city
Le 05juin 2011
Il était 09h00 du matin
Il existe des moments dans la vie ou l'être humain considère celle-ci comme un châtiment. Alors la seule solution qui s'impose à est la mort qui en cet instant précis paraît la plus douce et libératrice de notre enfer.Alain Bindi devina exactement à quel instant il devait décider d'y renoncer. En un éclaire, le nez déjà en sang et le corps endoloris, il revit son vol plané contre ce gros tronc d'arbre sortit de nulle part et qui s'était trouvé par chance sur sa trajectoire au moment ou sa voiture dont les freins avait cesser de réagir sans raison.
La souffrance, il la connaissait pour avoir vécu comme un moins que rien avant d’atteindre le stade actuel. Cet expression inconnu à certain il en savait quelque chose mais pas sous cet angle. Autour de lui, les éclaires zébraient dans le ciel ; les branches de certains arbres traîtresses qui semblaient le narguer virent atterrir à quelques centimètres de ses pieds. la blessure au milieu de sa tête n'était certainement pas belle à voir avec ce sang qui lui coulait de partout bougeant ses membres, il se dit sans aucun doute qu'il n'avait rien et qu'il ne pouvait pas tenir longtemps avec tout ce ruisseau fade au goût salé qui dégoulinait sans gène sur son corps meurtri. Il se rappela qu’il devait à tout prix finir l’affaire Damaris Tondi dont il était chargé de s’en occuper. Pour lui c’était une affaire de plus comme les autres qu’il avait eu à défendre depuis le début de sa gloire et il savait que la victime était innocente. Quoique les éléments présentés par le camps adverse étaient contre lui et si l'on en tenait simplement compte de ces détails sans preuves, il serait parti en prison depuis belle lurette. Il se devait d'aller au bout de l'affaire ou il perdrait gros dans celle-ci Mais à présent cela n'avait plus la moindre importance puisque, de toute façon il ne survivrait pas assez longtemps pour juger des conséquences. Cette pensée lui fit revenir quelques heures en arrières à son bureau.
A son arrivé, comme il avait coutume de le faire, il s'arrêtait quelques minutes pour discuter avec sa secrétaire du programme de la journée et de s'enquerir de ses rendez-vous. Le jeune homme fut Surpris à son entrée que Liliane est omis de lui dire qu'il avait des invités. Puis s'était dis que la secrétaire avait sûrement ouvert de son côté afin de faire entrer sans l'avertir, celui qui était confortablement installé. Il avait haussé les épaules et demander.
- tonton Ebanda tu es là depuis longtemps ?
- suffisamment pour constater que tu n'es jamais presser de gagner ton bureau. Lança amèrement le dénommé qui semblait être de mauvais humeur à en juger par sa réponse.
- Qui t'a fait entrer ma secrétaire ? s'enquit-il une manière de gagner du temps et s'assurer de son hypothèse.
- Peu importe comment je me retrouve ici fils mais je ne suis pas là par pure hasard. Sans lui laisser le temps de comprendre il lança toujours de façon posée sans empressement.
- Je suis venue te dire de laisser cette affaire petit ce n’est pas à ton niveau et en plus tu ne devrais pas accepter de défendre cet homme, tu risquerai de t’attirer des ennuis.
- Oncle Ebanda, c'est mon métier de prendre des risques et de risquer des ennuis à tout instant et en plus je n'ai pas peur des gens moi je fais mon boulot rien d’autre.
- Je suis venu ici aujourd'hui pour te demander de laisser cette affaire fils.
- Oui ton oncle à raison dit Akono un ami à son feu père qui venait d’entrer lui aussi en silence et se retrouvait assis à côté de son oncle.