À la Croisée des Rêves

Cette histoire c’est l’histoire de ma vie, mes rêves, mes sentiments. Moi c’est caroline Peterson, une fille comme les autres ; qui a beaucoup de rêves, beaucoup de passions. Mes parents ont immigrés en Australie il y a de cela 25 ans pour une vie meilleur avec leur frère, Bernard .Malheureusement mes parents sont morts il y a de cela 9 ans quand j’avais encore 17 ans et depuis ce jour-là, je vivais avec mon oncle Bernard.

Cette histoire ne parle pas deux mais parle de lui et moi. Lui, Marcos Bertrand qui avait presque la même histoire que moi c’est-à-dire parents immigrants etc. mais à la seule différence que ses parents a lui étaient encore vivant. Il était mon soutient dans les moments les plus dure, mon confident quand j’avais besoin de parler. Je le considérais comme mon meilleur ami car on partage tout, nos secrets, nos désirs les plus fous. Cette amitié est née il Ya de cela 7 ans, lors de mon seizième anniversaire. En réalité, j’avais invite plusieurs de mes camarades de classe pour assister à ma fête d'anniversaire mais personne mais personne n’est venu car je n’étais pas populaire au lycée à cause de mes kilos en trop. Aucun n’est venu mais Marcos était bien là. Et depuis ce jour-là, lui et moi étions inséparable...

_Caro ! Caro ! Où est tu ?

_quel est même ce fou qui ne fait que crier mon nom a cette heure du matin ?

Je venais juste de me réveiller et je n’avais même pas encore pris mon bun.

_Caro viens vite j’ai une super nouvelle à t’annoncer .

_Oh ! C’est toi .Enfaite il n’a que toi qui puisse atterrir chez moi à sept heures de matin. Je ramassa un cousin qui était posé sur le canapé et je le lui visa en pleine figure.

_prends ça dans ta face ça t'apprendra à me réveiller si tôt.

_aïe ! Ça fait mal . En tout cas sache que je vais te rendre ça soit en sûr espèce de grosse dormeuse.

_ ok dit moi donc .

_ quoi ?

_dis moi pourquoi tu m'as réveillé Mr.

_ juste pour te dire mademoiselle Caroline que j'ai eu. J'ai eu ! j'ai eu

Il me secoua on dirait une peluche et son visage était rempli de bonheur comme celui d’un enfant qui avait reçu la visite du père noël et oublia même le coup de cousin au visage.

_Eut quoi ? Le prix Nobel des emmerdeurs ?

_Non j’ai eu le job … Celui dont je t’avais parlé.

_Celui de Toronto ?

_Oui celui la même. Tu as devant toi le nouveau chef du service comptable de Toronto Dominion bank banque . Ils m’ont contacté ce matin pour me dire que j’ai était retenu pour le poste et que je dois être présent dans une semaine pour la signature de certains contrats et le début du boulot. Imagine ma joie j'ai d'abord cru a un rêve mais lorsque ma mère a commencé à hurler mon nom

_C’est merveilleux Marcos, tu as enfin le job que tu as tellement voulu. On doit fêter ça attends je mets un Song qui déchire.

Je dansais, je sautais, je pleurais même mais peut être que ces larmes entaient juste la parce que mon ami devait s’en aller loin de moi. Je sais c’est égoïste de ma part mais je n’avais que lui comme ami et il devait partir …

Je l’encourageais beaucoup à poursuivre son rêve mais au fond de moi j’en étais attristée.

Des jours passèrent et le date de son départ approchait. Je ne savais pas quoi faire. Qui devait encore me soutenir, être avec moi, me réconforter ? Avec mon surpoids, je n’étais pas en relation avec beaucoup de monde car ces derniers me jugeaient à cause de mes kilogrammes en trop.

Le jour J arriva et Marcos vint me dire au-revoir a la maison.

_ tu vas me manquer.

_toi aussi mon ami tu sais que tu es le seul ami que j'ai nord ! J’étais si triste et j'avais même des lames aux yeux.

_ne t'en fais pas ma Caro toi et moi c'est pour la vie.

_Tu me le promets ?

_promis juré trachée .ne pense que tu vas te débarrasser de moi si facilement.

_ je n'ai même pas envie de le faire t'inquiète.

Puis il se rendit a l’aéroport de Kings Ford Smith situe à huit kilomètres au sud du centre-ville de Sydney ou il prendrait un vol en destination du canada. Il promit de m’appeler à chaque fin de semaine pour prendre de mes nouvelles et bien que cela ne me convenais pas, je n’avais pas d’autre choix que d’accepter …