L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Les regrets de mon ex-mari
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Une danse avec trois princes
Ex-mari, je ne t'aime plus
Le retour de l'épouse indésirable
Argument
Comme beaucoup d’autres avant moi, il y a longtemps que je me suis intéressé au personnage de Jésus de Nazareth, ainsi qu’aux diverses perceptions que l’on peut avoir de son histoire extraordinaire et des prolongements qu’elle a eue jusqu’à nos jours !
Cette recherche amène à se confronter à plusieurs opinions contradictoires qui vont du déni total ou de l’indifférence, à la foi « du charbonnier » ; opinions qui sont pour la plupart sincères, certes, mais aussi bien souvent aveugles et partisanes – en fait deux dogmatismes !
Pourtant, il est vrai qu’une vie humaine peut très bien se construire à partir de l’un ou de l’autre de ces dogmatismes et, quelle que soit la voie choisie, elles sont, sans aucun doute, toutes les deux honorables pourvu qu’elles soient assumées réellement (ce qui n’est pas toujours le cas hélas).
D’ailleurs, dans la quête de la vérité, toutes les opinions sont légitimes quand elles sont, si j’ose dire, de bonne foi !
Dans cette recherche, la méthode scientifique prônée par les uns nous laisse, malgré tout, de grands vides ; tandis que la voie spirituelle prônée par les autres et qui s’appuie, elle, sur les seuls textes des Évangiles Synoptiques, ou ceux des Actes « cimente » ces mêmes vides mais sans les combler non plus.
Bref, de grandes questions sur le personnage de Jésus – plus qu’aucun autre personnage – restent donc toujours sans réponse ;
D’où venait-il réellement ?
De quels moyens a bénéficié Paul de Tarse (Saül) pour l’édification du Christianisme tel que nous le connaissons aujourd’hui et dont il fut le vrai créateur même si la direction a été dévolue à Pierre ?
Et de quelle puissance politique ou autre, émanaient ces moyens ?
Judas était-il ce « vilain traître » que les textes nous présentent, ou comme son propre Évangile semble le suggérer « sa trahison relèverait-elle plutôt du service commandé » ? Et dans ce cas commandé par qui ?
Pourquoi est-ce Pierre qui a été choisi comme chef de l’Église nouvelle au lieu de Jacques qui semblait peut-être plus à même intellectuellement d’occuper la fonction ?
Sans doute parce que l’Église primitive appelée « l’Église de Jacques » était considérée comme étant trop « juive » et pas assez universelle pour représenter le futur Christianisme !
Mais qui avait cette volonté et ce pouvoir, de choisir l’une au lieu de l’autre ?
Pourquoi Ponce Pilate, peu convaincu, semble-t-il, de la culpabilité de Jésus, va-t-il abandonner celui-ci alors qu’il détenait, s’il l’avait voulu, la force politique et militaire pour lui éviter un sort cruel ?
Le Grand Prêtre ou le Sanhédrin avaient-ils un moyen de pression sur le Procurateur romain et si oui lequel ?
Etc., etc.
Ni la foi ni la science ne répondent vraiment à ces questions.
De plus, les Églises officielles, catholiques, orthodoxes, protestantes, islam… ne sont, selon moi, que des « machines » profanes exotériques ayant peu de rapport avec l’enseignement de Jésus ; elles sont pourtant partie prenante et responsables des soumissions négatives qui ont affectées par la suite, une grande partie de l’humanité.
À partir de là, tout ou presque reste ouvert et j’ai eu l’envie de présenter, dans ce livre, mes propres conclusions sur cette épopée et sur les suites qu’elle a eues jusqu’à notre époque même ; car la fascination pour Jésus est si grande, encore aujourd’hui, que l’on peut, je crois, s’autoriser à formuler, à son sujet, les hypothèses les plus folles.
Mais la folie n’est-elle pas le passage obligé pour atteindre la Sagesse ?
C’est ce que j’ai tenté de faire modestement dans cet ouvrage.
Et si les lecteurs m’ont bien lu : le croyant ou l’incroyant, y trouveront, peut-être, chacun, des motifs supplémentaires de réflexion.
C’est en tout cas, l’espoir qui a motivé « l’invention » de ce récit qui présente « cette autre hypothèse » et signale les éventuelles conséquences
qu’elle pourrait avoir sur notre présent et probablement aussi sur notre avenir.
SAX
À l’aube du troisième Millénaire…
Profession de foi
J’écris ce livre après 79 ans d’une vie qui s’est finalement révélée intéressante.
C’est-à-dire que j’écris avant de mourir ; avant de partir pour un monde que certains nous promettent, sans preuve, comme meilleur.
Je ne saurais dire si après ce passage ultime il y a une suite ou un ailleurs caché quelque part dans les galaxies ou même n’importe où.
La raison nous commande de considérer ce passage comme final, un néant définitif succédant sans doute à la vie comme lorsqu’on débranche une lampe.
D’un autre côté, j’ai peine à croire que le cosmos ne serait qu’un simple et grand poster sur lequel nous serions épinglés et qu’il n’y aurait aucun sens dans l’univers.
Cela voudrait dire que tout ce qui existe n’a aucun sens ! ce qui me paraît impensable ; tout cela s’éclaircira (ou pas) au moment de la mort que je souhaite le plus tard possible.
Mais en attendant ce moment, il reste que l’énigme concernant un éventuel « après » est la question fondamentale qui hante l’esprit et l’intelligence des hommes depuis des millénaires.
C’est pourquoi, par une prudence un peu lâche, j’en conviens, quand on me pose la question : êtes-vous croyant ? je réponds toujours : je suis athée, Dieu merci ! (On ne sait jamais !)
En route vers le 4eMillénaire que je ne connaîtrais pas, à moins d’un énorme miracle !
Récurrences
Moi, j’écris pour les archéologues du 4e Millénaire !
Car tous nos textes constitueront, pour eux, une grille de lecture qui leur permettra de mesurer très précisément la grandeur ou l’étroitesse de notre civilisation !
SAX
Même les hypothèses les plus incroyables doivent être prises en compte.
Ne serait-ce que parce qu’il est arrivé quelques fois dans l’histoire, que certaines d’entre elles soient, par la suite, validées scientifiquement !
SAX
Quelle que soit ma croyance ou mon incroyance, ma cosmologie ou mon pré carré, ma naissance ou ma fin, toutes ces définitions sont les deux faces opposées d’une même médaille : la mienne !
SAX
Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père
Parole attribuée à Jésus
Évangiles synoptiques
Jésus
Dis-moi !
Jésus, celui qui est venu