L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Une danse avec trois princes
Les regrets de mon ex-mari
Son retour en grande pompe
Le retour de l'épouse indésirable
Cet homme appelait à la tentation charnelle.
Il était là, debout à seulement quelques mètres d'elle. Il discutait avec quelqu'un et semblait très captivé par la discussion. Elle ne pouvait en aucun cas dégager son regard sur lui. C'était comme si le reste du monde avait disparu, laissant seulement cet homme devant elle. Son allure dégageait un certain charisme magnétique. Ses traits soulignés par la lumière tamisée du bar, ses yeux pétillants d'une lueur mystérieuse captivaient chaque parcelle de son attention. Elle le dévorait du regard, absorbant chaque détail avec avidité. Son regard parcourait chaque ligne de son visage, chaque mouvement de ses mains, chaque infime expression sur son visage. Elle se sentait irrésistiblement attirée vers lui, comme un aimant, incapable de détourner son regard.
Des scénarios torrides affluaient désormais dans son esprit, provoquant en elle une chaleur irrésistible, difficile à apaiser. C'était plus fort qu'elle. Il était difficile de l'observer à cette distance sans savourer de plus près les contours parfaits de ses lèvres. Ce sourire ! Quel sourire ! Un sourire parfait qui avait le pouvoir de chavirer son cœur. Son pouls s'accélérait à mesure qu'elle le dévisageait avec voracité.
C'était de trop pour elle, lorsqu'avec élégance, il passa ses doigts dans sa chevelure, accompagnant son geste d'un regard intense. Elle sentit un désir brûlant monter en elle avec une intensité déchirante. Elle se surprit à rêver de l'approcher, de laisser ses doigts parcourir paresseusement le torse viril de cet homme, et de capturer avidement ses lèvres délicieusement tentantes. Quel effet cela lui ferait, de se perdre dans un tourbillon d'extase, accrochée désespérément à lui comme une feuille emportée par le vent ? Ce besoin viscéral de s'abandonner à cette passion brûlante la consumait sans fin. C'était décidé, elle ferait de cet homme son coup du soir, quel qu'en soit le prix.
C'est alors qu'elle remarqua qu'il était désormais seul, absorbé par son verre presque vide. Margot sortit rapidement un miroir et un gloss scintillant de sa pochette. Elle examina attentivement les détails de son visage à travers le miroir, prenant soin de rendre ses lèvres encore plus séduisantes. Elle aspergea ensuite délicatement son parfum fruité et doux, ce merveille qui ne quittait jamais son sac. Puis, elle vida cul sec son verre, comme pour s'insuffler un peu plus de courage.
Certes, c'était de la folie, mais elle n'allait pas se limiter à le regarder amoureusement. Elle voulait à tout prix se perdre dans ses bras, goûter à cette tentation qui la dévorait. Elle désirait le sentir en elle, crier de plaisir sans fin, car elle était convaincue que ce spécimen doté d'une beauté envoûtante pouvait sans aucun doute donner du plaisir à une femme.
Elle se leva de son siège et s'approcha d'un pas assuré vers lui tandis qu'elle réalisait que c'était pour la première fois elle tentait une approche aussi audacieuse. Elle était de nature, une femme réservée mais ce soir son audace et ce courage qu'elle arborait l'avaient irrémédiablement surpris. À présent à quelques centimètres de lui, le rythme cardiaque de son cœur s'accélérait davantage, mais elle refusait catégoriquement de laisser la peur prendre le dessus. Si ce n'était pas ce soir, ce ne serait pas un autre jour. Cet homme, elle allait le mettre dans son lit ce soir par tous les moyens. Il était temps pour elle de revivre ce plaisir chanel qu'elle n'avait plus vécu depuis des années et cet homme était pour elle un choix idéal pour redécouvrir cette sensation.
Arrivée à sa hauteur, elle posa une main légère sur son bras, décochant à cet homme un regard provocatrice. Elle était surprise de sa propre assurance alors qu'elle le fixait intensément dans les yeux tout en adoptant un air séducteur comme si c'était si naturel pour elle. Était-ce la brûlure de son désir qui lui procurait cette assurance soudaine ? Affichait-elle sur son visage son impérieuse envie de partager la nuit avec cet inconnu, sans aucune hésitation ?
— Et si on s'envoyait en l'air tous les deux ce soir, lâcha-t-elle abruptement, alors que les battements frénétiques de son cœur résonnaient nettement dans ses oreilles, semblables au son d'un tambour.
Elle laissa flotter en l'air cette proposition, attendant impatiemment la réaction de cet homme qui éveillait en elle, maintenant qu'elle était assez proche de lui, une sensation électrisante qui la faisait frissonner d'excitation. Si elle ne retirait pas immédiatement sa main de son bras, elle allait à coup sûr perdre son équilibre tellement ce simple contact la plongeait dans un tourbillon d'émotions enflammées.
Il la regardait avec un mélange d'étonnement et d'incompréhension. Elle s'attendait bien évidemment à cette expression sur ce visage si parfait aux traits bien définis, mais pas à ce qu'il retire négligemment sa main de son bras et la scrute d'un air déconcerté, comme s'il se retrouvait en face d'une folle qui aurait certainement bu quelques verres de trop.
— Je vous demande pardon ? s'exclama-t-il en la détaillant intensément.
À présent, elle commençait déjà à perdre cette assurance qui l'avait poussée à lui faire cette proposition intrépide. Elle se demandait également si elle n'était pas allée trop loin en se présentant à lui comme une femme assoiffée de sexe. Mais elle ne désirait qu'une seule chose après tout : avoir la chance de coucher avec cet homme, ce soir. Alors, elle répéta clairement, avec une voix déterminée, qu'elle voulait impérativement passer la nuit avec lui car il l'attirait beaucoup.
— Combien de verres avez-vous bu pour accumuler autant de courage et approcher un inconnu pour lui proposer un coup d'un soir ? demanda-t-il, arborant un air scandalisé qui ne quittait pas son visage.
— On le fait chez moi ? Ça vous va ? déclara-t-elle, ignorant subtilement la question précédente qui l'avait mise dans l'embarras.