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Les cris de mon cƓur

Les cris de mon cƓur

Dieu est amour

4.6
avis
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Chapitres

On ne choisit pas de qui tomber amoureux, cela nous tombe dessus et lorsque cela arrive nous ne pouvons pas faire marche arriĂšre car ce n'est pas nous qui avons choisi ce chemin mais c'est le cƓur. Alors lorsqu'une personne tombe amoureuse Ă©vitons de juger son amoureux car on ne sait pas ce que la vie nous prĂ©pare demain. C'est le cas dans cette histoire...

Chapitre 1 1

LES CRIS DE MON CƒUR #chapitre1

On ne choisit pas de qui tomber amoureux, cela nous tombe dessus et lorsque cela arrive nous ne pouvons pas faire marche arriĂšre car ce n'est pas nous qui avons choisi ce chemin mais c'est le cƓur. Alors lorsqu'une personne tombe amoureuse Ă©vitons de juger son amoureux car on ne sait pas ce que la vie nous prĂ©pare demain. C'est le cas dans cette histoire...

Nous sommes en Inde, précisément à Bhopal, l'une des plus belles villes de ce pays. Dans une maison modeste, il y avait des gens qui faisaient des décorations c'était comme si il y avait un mariage. Tout le monde s'appliquait dans les taches, sauf une femme qui était assise gaillardement dans un fauteuil en sirotant un jus de cocktail. Une femme peu ùgée vient prÚs d'elle :

- non mais Kavita ne me dit pas que tu resteras clouĂ©e ici toute la journĂ©e ? Aujourd'hui c'est le mariage de ta belle-sƓur tu devrais aussi apporter ton aide tu sais combien elle avait rendu le tien inoubliable...

Kavita : mais belle-maman tu sais dans quelle situation je me trouve actuellement

Ashanka : écoute petite tu es enceinte de seulement deux mois alors tu peux bien faire des mouvements... Ne fais pas comme si c'était une grossesse de six ou sept mois ! En plus tu n'es pas la premiÚre femme au monde a porté une grosse (rappela la femme)

Kavita : (boude)

Ashanka : tient (tendant une guirlande) tu vas aller me fixer ceci à l'entrée et assure-toi que ce soit agréable à voir sinon... (S'en alla)

Kavita : comme toujours on ignore ma situation je n'ai mĂȘme pas droit Ă  un peu de tranquillitĂ© malgrĂ© mon Ă©tat... On verra bien qui est qui dans cette maison...

Elle s'en alla avec la guirlande. Dans une chambre, une fille Ă©tait assise devant un miroir et avait une mine triste c'Ă©tait comme si cet Ă©vĂšnement ne la rĂ©jouissait pas. Une autre fille qui se tenait juste derriĂšre, lui met un voile sur la tĂȘte :

– dis-moi sƓurette il me semble que tu n'es pas heureuse le jour de ton mariage...

– dis-moi Survi est-il obligĂ© qu'on se marie avec une personne qu'on n'aime pas ? Pourrions-nous rendre cette personne heureuse ?

Survi : euh Shivani... Je ne te comprends pas tu veux dire quoi par-lĂ  ? Que tu n'aimes pas Himran ?

Shivani : (se lÚve, et se retourne) oui Survi ! Je ne l'aime pas depuis l'officialisation de notre mariage je me suis forcé de l'aimer ne serait-ce qu'un morceau mais je n'y arrive pas c'est juste de l'admiration que j'éprouve en son égard

Survi : si tu ne l'aime alors pourquoi as-tu accepté le mariage alors ?

Shivani : (faisant les cents pas) crois-moi je voulais le refuser mais lorsque j'ai vu votre joie et votre humeur concernant le mariage je ne pouvais pas gĂącher votre joie si immense

Survi : je suis ta sƓur et je me prĂ©occupe aussi de ton bonheur si tu ne veux pas te marier je vais de ce part aller le dire aux parents car je ne veux pas que tu Ă©pouses un homme oĂč tu ne trouveras pas le bonheur (elle s'en allait)

Shivani : (l'arrĂȘte par le bras) non Survi tu ne devrais pas...

Survi : et pourquoi je ne devrais pas ? Je ne peux pas te laisser Ă©pouser un homme qui ne fera pas ton bonheur bien vrai que moi je ne crois pas en l'amour alors ce n'est pas pour autant que je laisserai souffrir une personne qui ne partage pas mon avis...

Shivani : (lui caresse la joue) Survi tu es ce genre de grande-sƓur que tout le monde rĂȘve d'avoir mais rĂ©flĂ©chir un instant si tu vas en bas et balancer tout aux parents comment ils se sentiront ? Tu y as pensĂ© ? Ils seront tristes et humiliĂ©s alors pour ne pas leur faire de la peine je pense qu'on devrait faire comme si de rien Ă©tait...

Survi : mais...

Shivani : non cava Survi oublie ça ! Allez vient là...

Elles se faisaient un cùlin mais ce qu'elles ignoraient c'est qu'une personne avait entendu leur conversation. Plus tard en bas, Kavita était en train de ranger les tables sur lesquelles on posera les cadeaux et il y avait un verre d'eau prÚs d'elle pendant qu'elle rangeait, un homme descendait les escaliers et elle l'avait vu. Kavita esquive un mince sourire « et suivez le spectacle » ... Elle verse un peu d'eau sur le sol et elle fait exprÚs de glisser là-dedans.

L'homme qui descendait l'escalier l'avait vu il crie fort « Kavita !!! » son cri alerta tout le monde, il court vite au secours de Kavita et arrive à temps pour la sauver :

- est-ce que cava Kavita ?

Kavita : oui Prasher...

Prasher : qu'est-ce que tu faisais ? RĂ©ponds-moi qu'est-ce que tu faisais ?

Kavita : euh rien de grave ! Maman a juste demandé...

Sans qu'elle ne termine, Prasher se met à hurler le nom de sa mÚre dans la maison. Tout le monde vient voir ce qui se passait sauf Shivani la future mariée :

Ashanka : oui mon fils pourquoi cris-tu ainsi mon nom ?

Prasher : (hystérique) dis-moi maman de quel droit oses-tu demander à Kavita de travailler malgré sa grossesse ?

Ashanka : mais mon fils...

Prasher : Ă©coute-moi maman plus jamais tu feras travailler Kavita dans cette maison elle n'est pas votre domestique ! Si vous cherchez quelqu'un pour travailler rendez-vous dans des agences pour vous procurer des domestiques...

Jatin : (hurle) Prasher !!!

C'était le chef de famille, il venait d'arriver. Tout le monde se retourne pour le voir, il se tenait sur le seuil de la maison. Jatin avançait à grand pas vers Prasher avec des yeux pleins de colÚre. Lorsqu'il arrive au niveau de Prasher, il le regardait droit dans les yeux et subitement deux claques retentissent dans la maison. Jatin venait de gifler son fils :

Kavita : (pense « l'emmerdeur vient de faire son entrée »)

Jatin : comment oses-tu parler ainsi à ta mÚre ? Qu'est-ce ça fais si elle travaille ? Je te signale que sa grossesse n'atteint que deux mois alors je te rappelle qu'elle peut encore exécuter quelques mouvements

Prasher : (tenait sa joue)

Jatin : aujourd'hui est le mariage de ta sƓur alors je ne veux pas dĂ©truire la joie de tous alors je vais fermer l'Ɠil sur cette bĂȘtise mais si tu reprends cela je me verrai dans l'obligation de prendre une dĂ©cision trĂšs dĂ©licate... Maintenant retournez tous Ă  vos tĂąches !

Tout le monde reprend ce qu'il faisait. Prasher sort de la maison dans une trĂšs grande colĂšre, sa femme Kavita le suit. Ils Ă©taient dans le jardin celui-ci se parlait Ă  lui-mĂȘme « pourquoi Ă  chaque fois que j'ouvre ma bouche dans cette maison on n'ait jamais d'accord avec moi ? Qui peut me donner la raison ? »

Kavita : moi je vais te la donner

Prasher : (se retourne) Kavita ?

Kavita : oui ! Tu sais pourquoi on n'est jamais d'accord avec toi et en particulier ton pĂšre ?

Prasher : non et c'est ce que j'essaie de savoir

Kavita : c'est parce qu'ils ne t'aiment pas ! On ne t'apprécie pas dans cette demeure...

Prasher : tu es folle Kavita ? Comment peux-tu dire une chose pareille ?

Kavita : cesse de te voiler la face mon chĂ©ri ! Ça se voit clairement que tes sƓurs t'ont volĂ©s la vedette... Regarde lorsque tu prononces un mot on te prend pour un enfant insensĂ© ! Tes sƓurs sont toujours aux petits soins... Elles ont le premier et le dernier mot et toi, est-ce qu'on te considĂšre ?

Prasher : (silence)

Kavita : tu peux certes le nier mais toi et moi savons que c'est la pure vĂ©ritĂ© ! Si je peux me permettre de te donner un conseil c'est de ne pas te laisser marcher dessus... Tiens tĂȘte Ă  tes parents et impose ton droit d'ainĂ© !

Prasher : (incompréhensif)

Kavita : je sais que tu ne me comprends pas alors je vais te donner des astuces aller approche-toi...

Elle disait des trucs à l'oreille de son époux et celui-ci souriait. Plus tard, la maison des Vandhara brillait de mille feux, les invités arrivaient à la cérémonie, c'était un mariage grandiose, la belle-famille était arrivée. La cérémonie commença. Le pandit demanda à Ashoka d'envoyer Shivani, celle-ci se rend dans la chambre de sa famille accompagnée de Kavita ainsi que Survi, elles entrent dans la chambre et grande fut la surprise pour elles lorsqu'elles constatent que Shivani n'était pas dans sa chambre. Ashoka, Kavita et Survi la cherchaient partout mais en vain. La nouvelle tomba dans les oreilles des sous et là les rumeurs commençaient à s'enchainer « Waouh c'est pour la premiÚre fois que je vois ça dans un mariage c'est vraiment honteux ! »... « Cette fille est vraiment une peste si elle ne voulait pas se marier alors pourquoi a-t-elle fuit au moment propice c'est vraiment une famille de merde ».

La famille Vandhara se sentait humiliĂ©e. Survi sort de la maison Ă  la recherche de sa sƓur. Elle allait dans tous les endroits qu'elle connaissait, Survi Ă©tait vraiment dĂ©sespĂ©rĂ©e car elle ne trouvait pas sa sƓur. Shivani Ă©tait dans un autre endroit en courant, Survi aussi courait quand soudain, une voiture frĂŽle Survi, celle-ci tomba au sol avec la face aussi au sol tandis-que Shivani s'Ă©tait faite frĂŽler par une moto. Elle Ă©tait aussi au sol. Le conducteur de la voiture descend et s'approche de Survi, le conducteur de la moto descend, enlĂšve son casque et s'approche de Shivani. La scĂšne qui se produisait chez Survi est la mĂȘme qui se produisait chez Shivani. Quatre Ăąmes venaient de se connecter, une connexion qui apportera des difficultĂ©s Ă  plusieurs vies.

A SUIVRE...

Alors pensez-vous que :

La famille de Shivani la pardonnera pour ce qu'elle a fait ?

Kavita est une bonne femme ? Qui l'aime déjà ?

Prasher va-t-il se fait manipuler ?

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Introduction... L'amour domine les cƓurs. Aucune personne sensĂ©e ou folle ne peut y rĂ©sister❀... Il n'est pas prĂ©occupĂ© par les problĂšmes ou les soucis 💔.. Il envahit la sĂ©rĂ©nitĂ© de la libertĂ©... Elle soupira lentement en se rappelant le jour oĂč elle avait vu Dagher pour la premiĂšre fois. Dalida s'Ă©tait disputĂ©e avec son oncle comme d'habitude, et quand la querelle Ă©clata entre eux, il lui ordonna, comme d'habitude, d'aller dans sa chambre et de ne pas lui montrer son visage jusqu'au lendemain. Elle Ă©tait alors assise Ă  regarder les Ă©toiles depuis le toit de la villa, mais pendant un moment. Elle ne s'ennuyait pas, ce qui lui faisait faire tourner le tĂ©lescope autour du quartier luxueux dans lequel elle habite, elle riait en regardant un chien poursuivant un chaton, mais le chat s'est arrĂȘtĂ© Ă  la fin, ou le chien a fait un bruit fĂ©roce, qui a fait le chien terrifiĂ© et s'est enfui devant lui.. Elle a continuĂ© sa recherche de quelque chose d'autre qui pourrait attirer son attention. elle de l'ennui et de l'apathie qu'elle ressent... En effet, je l'ai trouvĂ©. Quelqu'un a attirĂ© son attention, faisant du sport dans le jardin arriĂšre du palais, qui est Ă  plusieurs mĂštres de leurs villas. J'ai Ă©tĂ© Ă©tonnĂ© Ă  l'Ă©poque qui pratiquait fait du sport si tard dans la nuit. Je me suis approchĂ© de la lentille du tĂ©lescope pour qu'elle puisse bien le voir. ... Mais elle laissa Ă©chapper un fort soupir quand elle le vit clairement. Elle sentit son cƓur battre follement dans sa poitrine d'une maniĂšre Ă©trange pour la premiĂšre fois. Elle examina avec Ă©tonnement le haut du corps Ă  moitiĂ© nu qui Ă©tait couvert de sueur Ă  la suite de la sport dur qu'il pratiquait... Un corps grand, athlĂ©tique, solide, avec une magnifique chevelure anthracite courte qui coulait de plusieurs touffes humides au-dessus de son front, tandis qu'elle le regardait avec le souffle de son enfermement. sa place, faisant un pas, ignorant la douleur qui battait dans ses pieds depuis tout le temps qu'elle se tenait sur elle jusqu'Ă  ce qu'il finisse et entre dans le palais avec lui.Il essuie sa sueur avec une serviette autour du cou. AprĂšs cette journĂ©e, pour les sept prochains mois, Dalida a gardĂ© la mise en son alarme pour trois heures du matin jusqu'Ă  ce qu'elle se rĂ©veillait et ne pouvait le voir alors qu'il pratiquait son sport quotidien.. Est restĂ© trĂšs en essayant d' atteindre un morceau de l' information avec lui , mais n'ont pas pu atteindre quoi que ce soit le nom de Sawa Ă©crit au-dessus d'un petit panneau au-dessus d'un hĂŽtel particulier il a Ă©tĂ© Ă©crit par une ligne de luxe "Palace Douiri" AccĂšs dĂ©sespĂ©rĂ© Ă  son nom ou Ă  toute information le concernant jusqu'au jour oĂč il est venu Ă  sa connexion Son oncle, Mortada, lui a demandĂ© de porter ses vĂȘtements et de venir dans l'entreprise familiale... Au dĂ©but, elle a Ă©tĂ© trĂšs surprise par sa demande, d'autant plus qu'elle Ă©tait diplĂŽmĂ©e et lui avait demandĂ© de travailler avec lui dans l'entreprise, mais il a refusĂ©, non lui permettant mĂȘme de lui rendre visite avec elle... En effet , je suis allĂ© Ă  l' entreprise , mais dĂšs qu'ils entrent dans le bureau privĂ© de Boukhalha les pieds rivĂ©s la poĂ©tesse Baklbha saute presque de sa place lorsqu'on la voit assise pour quelqu'un avec son oncle Ă©tait son voisin qui Ahqth folie sans mĂȘme connaĂźtre son nom je me sentais au moment de la confusion et de la confusion mais plus vite oncle Ptarafhm l'un l'autre et ici Elle a finalement obtenu son nom "Dagher Al-Duwairi "... J'ai appris de leurs paroles qu'il est le partenaire de son frĂšre dans l'un des projets commerciaux. Elle Ă©tait assise en silence tout le temps regardant vers lui avec des yeux dĂ©bordant de passion.. Elle Ă©tait fascinĂ©e par sa beautĂ© supĂ©rieure. Profond et viril, il semblait avoir une forte personnalitĂ©.... Il lui a parlĂ© pendant un moment, l'interrogeant sur son domaine d'Ă©tude... et sa rĂ©ponse fut d'une voix basse et tremblante... et bien qu'ils ne parlĂšrent pas beaucoup, ce jour-lĂ  elle ressentit un bonheur comme elle n'en avait jamais ressenti auparavant. . Et aprĂšs son dĂ©part, son oncle est restĂ© assis tranquillement Ă  la regarder... et quand je lui ai demandĂ© pourquoi il lui avait demandĂ© de venir Ă  son bureau, il m'a rĂ©pondu qu'il voulait aller avec elle dĂ©jeuner dehors et passer la journĂ©e ensemble.. . ce qui la rendit encore plus surprise car il ne sortait pas avec elle. Avant nulle part... Et une semaine aprĂšs ce jour, son oncle vint lui dire que Dagher Al-Duwairi lui avait demandĂ© sa main en mariage... A ce moment, Dalida est restĂ©e silencieuse, sentant tous les sentiments qu'elle avait pour lui prendre d'assaut en elle... 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 j'en profite de ce moment pour te dire que j'allais tous faire pour sĂ©duire BELIVE. Je veux ĂȘtre sa femme et je l'aime contrairement Ă  toi. ca ne te dĂ©rangerait pas de partager le mĂȘme homme que moi? pourquoi cela me dĂ©rangerait combien de fois on a sĂ©duit le mĂȘme homme afin que la somme augmente ? - il s'agit de mariage lĂ  c'est diffĂ©rent. Bref fais ce que tu veux. Je sais que rien de ce que je pourrais te dire ne te fera changer d'avis. - tranquille! Souria Mado. Aussitot dit, aussitĂŽt fait. Mado Ă©tait dĂ©sormais la deuxiĂšme femme de BELIVE sans que ce dernier ne se doute absolument de rien du tout, bien qu'il l'ait dĂ©jĂ  vu a son mariage avec Marie nĂ©anmoins mĂȘme si elle Ă©tait la deuxiĂšme femme de son homme idĂ©al, BELIVE semblait dĂ©velopper plus d'affection envers sa meilleure amie. En rĂ©alitĂ© la jalousie ne faisait que s'empirer, elle n'en pouvait plus! -certes j'aime beaucoup Mado mais lĂ  elle me bloque, elle n'aime pas BELIVE alors que celui ci n'a d'yeux que pour elle. Ça m'Ă©nerve et je ne peux plus avoir d'enfants. - hum. d'ailleurs elle m'a elle mĂȘme avouer mot pour mot qui si elle ne vivait pas dans un luxe pareil avec autant d'argent, elle s'en irait. Alors je lui facilite simplement la tache. - est-ce que vous ĂȘtes sĂ»r de ce que vous faites ? Une fois que vous dites oui , il n'y aura plus de retour en arriĂšre. rĂ©pĂ©ta le marabout pour une deuxiĂšme fois. - qu'elle meurt! dit Mado sĂ»r d'elle. - est-ce que une soeur serait-elle capable de commettre une chose aussi dĂ©risoire ? - vous m'avez demandĂ© ma rĂ©ponse n'est-ce pas? - en effet! Affirma le marabout. - je veux qu'elle meurt. Je suis prĂȘte Ă  tout donner. Votre prix sera le mien. Une semaine plus tard, Mado tomba lentement malade. Une maladie qui ni les mĂ©decins ni les marabouts ne pouvaient soigner. Elle Ă©tait en rĂ©alitĂ© condamnĂ©, il n'y avait plus d'issus pour elle. Finalement, aprĂšs quelques jours de souffrance incurable, elle

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