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L'humaine et l'alpha possessif

L'humaine et l'alpha possessif

Dieu est amour

4.5
avis
48.1K
Vues
52
Chapitres

Dans un monde ou les loups-garous ont le pouvoir... Un alpha méchant, possessif, dominant,...craint par tout ses ennemies, le plus fort. Rien pour lui est plus important que sa meute. Tout le monde le respecte du moins s'ils veulent rester en vie. Il a tout ce qu'il veut, sauf une chose... elle. Elle, une humaine timide toujours la pour les autres. Une beauté hors du commun. Se fâche rarement, toujours joyeuse et surtout naïve.... Et si leurs destins était liées à jamais? - Tu es à moi! Tu m'entends? Tu es mienne! lui dit t-il. - Tu n'es qu'un égoïste! Et si je ne voulais pas de toi? lui demanda t-elle. - Tu mourras...

Chapitre 1 1

~ Tant de mains pour transformer ce monde, et si peu de regards pour le contempler ~

C'est en soupirant que j'ouvre mes yeux, la voix aiguë de ma belle-mère remplissant la maison. Ne pourrait-elle pas se taire pour une fois ? Je déteste me réveiller de cette manière-ci.

Après avoir longuement bâillé, je finis par me lever à contrecœur. Je me traîne de force jusqu'à la salle de bain. Je déteste les matins. Je me lave et me prépare pour l'école. Je suis sure que si je n'avais pas le rêve d'aller à l'université pour quitter cette maison, j'aurais déjà arrêté l'école.

J'applique un peu d'anticernes et mon mascara. Je n'aime pas me maquiller, mais il vaut mieux être présentable. Personne ne voudrait voir mes cernes.

Je reste debout devant ma garde-robe. Il serait peut-être temps de faire mon linge. Je n'ai plus grand-chose à mettre. J'opte pour mon dernier jean noir et un haut blanc. J'attrape mon sac et quitte l'étage.

Mon père est assis au bout de la table avec le journal de ce matin en main, comme toujours.

- Tu as pris ton temps, se fâche ma belle-mère en s'adossant contre le plan de travail, tu dois apprendre à te lever plus tôt et à te préparer plus vite. C'est toujours le même cinéma chaque matin.

Je ne prends pas la peine de répondre et m'assois à ma place, en face de mon père. J'étale le dû chocolat sur mon pain et croque dedans. Je ne suis pas d'humeur à me disputer avec elle.

- La moindre des choses aurait été de s'excuser, crache-t-elle.

- C'est moi qui serai en retard et pas toi, la rappelais-je tranquillement, et je ne le suis jamais.

- Tu vas arrêter de faire ta maligne. Tu as vu ça ? demande-t-elle à mon père en se tournant vers lui. Ça commence dès le matin !

- Que puis-je faire si ma fille n'a pas d'éducation ?

Je lâche un soupire en même temps que mon pain. Mes yeux fixent un point derrière lui pour éviter de pleurer. Comment te dire que c'était ton rôle en fait ?

Je me lève et sors en prenant soin de claquer la porte. Le vent me frappe en plein visage, m'obligeant à fermer la tirette de ma veste.

Chaque matin, c'est la même chose. Ma belle-mère qui trouve une raison pour me critiquer et mon père qui lui donne raison sans même prendre la peine de donner son avis.

Depuis la mort de ma mère, rien n'a été pareil. Mon père s'est remarié deux mois après son décès avec cette femme affreuse. Je n'ai jamais compris pourquoi elle me détestait tant. Peut-être est-ce parce que je suis le seul souvenir qu'à mon père de ma mère ? Je n'en sais rien. Je sais seulement que j'attends d'aller à l'université, loin d'ici.

Arrivée à l'école, je recherche Julia des yeux. C'est sans surprises que je la retrouve devant la porte des toilettes. Une habitude que je n'ai jamais compris. Elle m'attend toujours près des toilettes.

- Salut.

- Rose ! Je veux la vérité !

- Tu es belle Julia, rigolais-je.

- Non, non. Cette fois c'est du sérieux, mon maquillage est-il bon ?

Je l'observe attentivement. Fard à paupières brun foncé, eyeliner, une grosse couche de mascara, un trait de crayon sous ses yeux et un rouge à lèvre beige. Elle est beaucoup plus maquillée que d'habitude, mais ce n'est pas moche pour autant. Je ne comprendrais jamais pourquoi elle fait autant d'effort chaque matin pour venir à l'école.

- Tu trouves que c'est beaucoup ? me questionne-t-elle devant mon silence.

- C'est très beau, mais...on est à l'école pas dans un mariage.

- On s'en fout ! C'est un jour sacré !

Devant mon regard perplexe, elle m'explique :

- Un alpha va arriver d'une minute à l'autre.

Je hoche la tête, c'est plus logique. Chaque mois, un alpha arrive accompagner de quelques personnes de sa meute pour trouver son âme sœur. Tout le monde se prépare comme s'il s'agissait de l'évènement de l'année. Ce qui est absurde parce qu'aucun alpha n'a jamais trouvé son âme sœur dans notre petite ville.

- Tu ne comprends pas, continue-t-elle en voyant mon expression blasée. Ce n'est pas n'importe quel alpha. C'est l'alpha ! Personne ne lui arrive à la cheville. Il est le plus fort et le plus cruel qui existe. Imagine être son âme sœur ? C'est simplement génial !

- Tu voudrais être l'âme sœur d'un alpha cruel ? demandais-je incrédule.

- Oui, j'aime trop les psychopathes !

J'éclate de rire. Cette fille est folle. Il n'y a pas d'autre explication possible !

La cloche sonne et nous nous dirigeons vers la classe. Les cours passent à une lenteur époustouflante. Je me contente de fixer la forêt par la fenêtre. J'ai tellement hâte d'aller à l'université. De commencer à vivre pour de vrai. Je souris en me voyant devenir une grande architecte. C'est mon rêve le plus cher.

Soudainement, l'alarme que je déteste tant sonne. Je me lève en soupirant. On se dirige tous vers la cour pour se mettre en rang. Je rigole en voyant James pousser une fille pour être plus près de la porte.

Comme à mon habitude, je me dirige vers la fin. Ce que j'aime le plus pendant ces visites ? Ce sont les regards désespérer des alphas.

- Je sens que cette fois-ci, c'est le bon. Chuchote Julia contre mon oreille.

- Si tu le dis.

- Oh, mon dieu, ils sont magnifiques !

Je tourne la tête vers la porte. Deux hommes rentrent dans la cour par le portail. L'un est blond et plutôt mince tandis que l'autre a les cheveux noirs et est plus large. Je les observe brièvement jusqu'à ce qu'un troisième arrive et se mette entre les deux. L'alpha.

Je reste surprise devant tant de beauté. Julia avait raison, il est à couper le souffle. Une carrure imposante. Sa chemise blanche, déboutonnée du haut, laisse apercevoir les muscles qui se cachent derrière le tissu. Des cheveux châtains bien coiffés. Une démarche assurée. Il transpira la domination.

Mon regard croise celui du bêta aux cheveux noirs, il m'offre un large sourire. Je détourne les yeux et fixe mes chaussures. J'ai un mauvais pressentiment.

Ils chuchotent quelque chose que je ne comprends pas avant que l'alpha ne se mette à examiner chaque personne un par un. Je jette un coup d'œil à Julia qui arrange son décolleté. Je souris en secouant la tête.

Mon regard reste posé sur mes chaussures. Je n'avais pas remarqué j'avais mal lacé mes lacets. C'est ce qui arrive lorsqu'on sort rapidement de chez soi.

J'entends quelques filles le supplier de les regarder à nouveau. Je me retiens de rire en m'abaissant pour refaire mes lacets. Ces filles ne peuvent pas tomber encore plus bas.

Lorsque je finis mon nœud, j'aperçois des chaussures d'hommes devant moi. Oh.

- Regarde-moi, ordonne-t-il de sa voix grave.

Je me mords la lèvre en me levant. Ce n'est que lorsque je suis complètement debout que je me permets de lever la tête.

Mon corps entier reste bloquer, comme s'il venait de me clouer au sol. Je n'avais encore jamais vu des yeux aussi verts. Ils sont d'une intensité...magnifique. Absolument magnifique. J'ai m'impression qu'il me suffirait d'un pas pour tomber dedans et me laisser emporter par...

- oh mon dieu.

La voix de Julia me ramène à la réalité. Je cligne plusieurs fois des yeux en examinant l'alpha, perplexe. Et lorsqu'il prononce ces trois mots, je comprends tout :

- Tu es mienne.

Prise de panique, je tourne la tête vers Julia. Elle hausse les épaules. Ça ne peut pas être vrai ? Je fais un pas en arrière en regardant partout sauf lui. Sans que je m'en aperçoive, mes jambes se mettent à courir. Je cours tout droit jusqu'à arriver vers la forêt.

Je m'arrête un instant pour faire demi-tour et aller dans une autre direction. Quelle idée de rentrer en pleine forêt pour s'échapper à des loups ! Mais je les vois arriver et continue ma course.

Je cours autant que mes jambes le permettent. Mon cœur semble me supplier de m'arrêter, mais ce n'est pas possible ! Je ne peux pas m'arrêter !

Je finis par m'arrêter quelques minutes plus tard. Je me penche en avant contre un arbre, prenant appui sur mes genoux et essai de calmer ma respiration. Je crois les avoir semés.

Mais lorsque j'ouvre les yeux, ses bêtas sont adossés contre les deux arbres en face. Je sens une présence derrière moi et ça m'effraie. Je n'ose pas me retourner.

- Tu as fini ? demande-t-il agacé.

- Je...je ne peux pas, arrivais-je à articuler en fixant l'arbre devant moi, je ne peux pas venir avec vous.

- C'est dommage que personne n'ait demandé ton avis dans ce cas.

Je me retourne et lui fais face. Il a croisé les bras et me regarde de toute sa hauteur.

- Tu ne peux pas me ramener de force.

- Et qui va m'en empêcher ?

Il a raison. Qui osera dire quelque chose face à cet homme à moitié humain ? Personne.

En pensant que je vais être captive, ne pas aller à l'université, je refuse de coopérer. Je ne peux pas abandonner mes rêves si facilement !

- J'ai une famille, essayais-je gentiment, je vais toujours à l'école. Je ne peux pas tout abandonner et venir avec toi sur un claquement de doigts.

Il hoche la tête. Ah, ce n'est pas si dur finalement. Il semble comprendre. Alors je continue :

- C'est ma dernière année avant l'université. Je planifie de partir loin d'ici. On pourrait peut-être se mettre d'accord sur l'université ? Je serais prête à aller dans un établissement pas loin de ta ville. Et puis, je ne suis pas toujours facile à vivre.

Il me fixe toujours sans rien ajouter. Je crois qu'il va accepter. Il semble être quelqu'un de raisonnable. On ne se connaît même pas. Alors pourquoi voudrait-il que j'aille avec eux ? C'est absurde quand même ?

- Si tu as fini, j'ai hâte de quitter ce village.

- Oui, bien sûr. M'empressais-je de dire content.

- Avec toi, ajoute-t-il.

Ça aurait été trop beau pour être vrai.

- Et si je refuse ?

- Ce n'est pas un problème, j'ai mes méthodes.

- Tu ne peux pas forcer quelqu'un à venir avec toi.

Cette fois, c'est lui qui soupire bruyamment. Il avance d'un pas et je recule. Il ne peut pas me forcer ! Ce n'est pas possible ! Il est hors de question que je parte dans un endroit inconnu avec cet inconnu.

- Je serais toi, j'éviterais de l'énerver. Me conseille un de ses bêtas derrière moi.

Mon cœur bat plus vite. Je regarde partout pour trouver une issue, mais où pourrais-je m'enfuir dans une forêt ? Et avec trois loups en supplément ? Je suis cuite. Je refuse de céder à cet homme qui se croit tout permis !

Il avance et m'attrape le bras. Je me débats pour qu'il me relâche, mais en vain. Il ne bouge même pas en recevant mes coups. On se dirige vers la fin de la forêt.

Des larmes d'impuissance remplissent mes yeux. Je ne peux pas le laisser m'emporter loin de mon monde ! Loin de mes rêves. Loin de Julia !

- C'est assez ! rugit-il en me soulevant.

Mes pleurs augmentent lorsque je me retrouve sur son épaule. Je le frappe dans le dos, criant pour qu'il me lâche. Me débattant autant que je le peux. Il n'a aucun droit de faire ça !

Une fois devant l'école, il me dépose au sol et me bloque entre la voiture et son torse puissant. Je lui donne des coups en hurlant:

- JE NE VAIS PAS VENIR AVEC TOI! ESPÈCE D'ABRUTIS MAL ÉLEVÉE ! AIDEZ-MOI !

Je sens une douleur dans mon bras. En voulant tourner la tête pour voir d'où me vient une telle douleur, je croise le regard de Julia. Ses yeux bleus me regardent tristement. Je lis un « adieu » sur ses lèvres. Non...

Ma tête tourne. Je n'aperçois plus rien. Tout semble bouger autour de moi. Mes paupières deviennent plus lourdes.

Non, je ne veux pas abandonner tout ce qu'il me reste...

Continuer

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