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Le PDG au Charme Irrésistible

Le PDG au Charme Irrésistible

Fanta Plume

4.9
avis
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33
Chapitres

L'amour est un sentiment fort et positif de deux personnes qui s'aiment indĂ©pendamment de la situation ou des problĂšmes rencontrĂ©s mais le charme est le vainqueur irrĂ©sistible : il apparaĂźt, et le coeur s'ouvre; il nous frĂŽle, et tout vibre en nous; il nous regarde, et nous sommes Ă  lui. Le clair-obscur est la principale source du charme de l'illusion en peinture, et en amour. Les montagnes et les forĂȘts qui s'Ă©lĂšvent entre nous et un ĂȘtre chĂ©ri, les murs qui le renferment dans leur enceinte, ont pour nous un charme bien touchant, et se prĂ©sentent Ă  nos regards comme un voile sacrĂ© qui nous dĂ©robe l'avenir et le passĂ©. Bref, c'est l'histoire de Melissa, une jeune femme fiancĂ©e Ă  un jeune homme appelĂ© Brice. Elle et son amie Leila fiancĂ©e Ă  John, Ă©taient les Stars du LycĂ©e dans leur cursus scolaire au Etats-Unis dans la ville de Washington. AprĂšs les Ă©tudes au collĂšge, une fois dans la vie active, Melissa qui cherchait de travail pour joindre les deux bouts, fera la rencontre de Kemal, le PDG d'une entreprise oĂč elle venait dĂ©poser son dossier de recherche de travail. Malheureusement, Kemal le PDG de cette entreprise n'Ă©tait rien d'autre que l'un des camarades de classe de Melissa et Leila. Au collĂšge Melissa avait dĂ©jĂ  ridiculiser Kemal devant tout le monde lorsque ce dernier lui avait faire des avances. Melissa vivait l'amour parfait avec son fiancĂ© Brice jusqu'au jour oĂč elle avait fait la rencontre Kemal et tout basculent car elle tomba sous le charme irrĂ©sistible de Kemal, son patron. Cette rencontre entraĂźne son infidĂ©litĂ© et beaucoup d'autres dĂ©gĂąts dans ça vie oĂč elle sera responsable de plusieurs morts. Entre amour, dĂ©sir, trahison, rupture et meurtre, suivez '' Le PDG au charme IndĂ©niable '' dans les lignes Ă  suivre....

Chapitre 1 Partie 01

Je m'appelle Melissa, j'ai 26 ans. Une jeune fille de teint claire. Je vie au Etats-Unis précisément dans la ville de Washington. Depuis mon enfance ma beauté étonnait tout mes camarades de classe et mes professeurs. De plus j'étais intelligente et un peu brillante. J'ai aussi une meilleure amie appelée Leila depuis le collÚge.

Aujourd'hui nous avons fini avec l'histoire de l'école et nous sommes dans les parfums de la vie active. Je suis fiancée à un bel homme appelé Brice. Il est mon homme, il me faire tout ce que j'ai besoin... Bref il est mon '' seigneur '' comme ont le dire...

AprÚs les études c'est le boulot, le travail pour avoir le pain quotidien. Ainsi depuis un temps, je cherche de travail à faire pour ne pas devenir une charge pour mon fiancé chéri Brice.

Leila : Salut ma chérie, Quoi de neuf ?

Moi : Rien de spécial ma copine. Je suis toujours à la recherche de boulot. Ton type me lance déjà des regards interrogateurs à la maison du genre "celle-ci pense que c'est moi seul qui vais travailler ?"

Leila : Humm, mais il a raison non? Et puis ce n'est pas comme s'il te forçait, a ce que je sache t'as toujours voulu ĂȘtre indĂ©pendante non.

Moi : Oui bien-sûr. Je cherche mais c'est encore plus dur que ce que je pensais.

Leila : Mais au fait tu sais qui j'ai croisé il y a une semaine? Je maquillais sa femme pour leur mariage.

Moi : Qui ça?

Leila : Tu te rappelles de notre petit farfelu de classe qui devenait bĂšgue quand il te voyait lĂ  non? Celui qui t'avais Ă©crit une lettre d'amour que tu avais fait lire a toute la classe.

Moi : Ah bon j'ai fais ça ?? hahahaha... J'Ă©tais mĂ©chante. Bien sur que je me souviens, c'Ă©tait quoi son prĂ©nom dĂ©jĂ  mĂȘme?

Leila : Kemal. Je ne l'ai mĂȘme pas reconnu, c'est lui qui m'a spik. Tu sais qu'au lycĂ©e il Ă©tait un peu gringalet, je te dis qu'il a bien changĂ©.

Moi : Toi aussi démunie un peu. Il a Changé en quoi ?

Leila : Et bien figures toi qu'il Ă  sa propre boĂźte de marketing et ça doit bien marcher vu la voiture dans laquelle il roule. Tu devrais aller postuler lĂ -bas, il te mangeait dans la main peut ĂȘtre qu'il va t'embaucher.

Moi : Mais tu as dit qu'il se mariait non? Je ne pense pas qu'il me mange dans la main aujourd'hui encore.

Leila : Ohh toi laisse-moi ça. Un homme c'est un homme il t'a trop . Et puis tu ne perds rien à essayer. Je vais l'appeler pour lui en parler d'abord si tu préfÚres.

Moi : Hum, donc comme ça tu as mĂȘme son numĂ©ro.

Avec Leila j'ai passé la journée à papoter sans voir passer le temps comme d'habitude. Au moment de payer la serveuse nous annonce que la facture a été payée. On suit son regard vers un vieux pÚre ventru mais quoi ? Son argent n'est pas ventru non. On a dit merci en souriant et on est sorties en pressant le pas.

Peut ĂȘtre le pĂšre lĂ  pensait qu'on allait l'attendre il a eu honte. J'ai sautĂ© dans ma petite Toyota et nous sommes Parties. J'ai dĂ©posĂ© Leila chez elle et je suis rentrĂ©e chez moi, dans l'appartement que je partageais avec mon chĂ©ri Brice.

Cette idée ne me disait trop rien et je me rappelais vaguement de ce Kemal. Mon Dieu un garçon n'avait jamais autant perdu ses moyens face à moi. Ce Kemal était toujours parmi les trois 1ers de la classe mais chaque fois qu'il me parlait il bégayait, j'avais jamais vu ça. Il perdait tous ses moyens et ça m'arrangeait vu qu'il ne m'intéressait absolument pas. Il n'était pas du tout mon style.

Un jour il m'a Ă©crit une lettre dont je me rappelle vaguement qui disait un truc du genre : Je te vois quand je ferme les yeux, je te vois dans mon cahier de mathĂ©matique. Le truc bien ringard, je n'avais pu m'empĂȘcher de montrer ça Ă  Leila qui avait insistĂ© pour le montrer aux autres et c'est comme ça que toute la classe avait Ă©tĂ© au courant.

Je me rappelle qu'il n'Ă©tait pas venu Ă  l'Ă©cole le lendemain a cause de la honte, le pauvre. Aujourd'hui Leila veut que j'aille le voir pour lui demander du boulot? Mais bon j'ose croire qu'il a oubliĂ© parce que ça fait quand mĂȘme 12 ans et puisqu'il est maintenant mariĂ©.

Comme je vous l'ai su bien dire, je me demande si sa en vaut la peine d'aller voir ce Kemal aprĂšs tout je ne me plains pas. J'ai la belle vie, une voiture des tas de fringues Ă  la mode, un compte en banque pas mal rempli par mes multiples dragueurs. Mais tout çà je le dois aux hommes, je n'ai jamais vraiment rien eu par moi-mĂȘme.

Mais aujourd'hui j'ai besoin de m'accomplir, de m'épanouir en tant que femme diplÎmée, j'ai besoin de travailler. Je sors de ma voiture, il fait chaud comme d'habitude, la voiture de mon fiancé Brice n'est pas là. Il est 19h, il n'est sûrement pas encore rentré du boulot.

Je monte les escaliers en me disant faut que j'aille voir mon oncle a qui je n'ai jamais dis que je cherchais du boulot. Il me faut un boulot, aussi petit soit il. Dans la maison, je jette un coup d'Ɠil dans le frigo et constate que la mĂ©nagĂšre a prĂ©parĂ©. J'entends une clĂ© dans la serrure de la porte, c'est lui.

Brice : Bonsoir mon bébé

Moi : Bonsoir chéri.

Il me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement comme d'habitude. Il sent bon mĂȘme aprĂšs une journĂ©e de boulot.

Moi : Comment a été ta journée?

Brice : Fatigante comme d'habitude et toi tu as fait quoi de ta journée? Tes recherches avancent?

Je n'aimais pas trop qu'il me pose cette question, j'avais l'impression qu'il me mettait la pression mais avec juste raison.

Moi : Non pas vraiment mais demain j'irais chez mon oncle. Par contre j'ai vu Leila aujourd'hui, elle m'a parlĂ© d'un de nos anciens camarades de classe qui gĂšre sa sociĂ©tĂ© de communication. Je vais peut ĂȘtre aller lui rendre visite avec mon CV.

Brice : Bien tu as raison, il ne faut négliger aucune piste mais surtout ne te met pas la pression mon bb. J'aime bien rentrer et te retrouver à la maison, je peux encore m'occuper de nous deux.

Il me sourit, j'aimais cet homme, il était trÚs protecteur et rassurant. Je le débarrassai de sa mallette et lui enleva sa veste. On passa une belle soirée tranquille à manger et à regarder la télé dans les bras de l'un de l'autre avant d'aller à 22h nous coucher.

Le lendemain matin quand je me levai, Brice était déjà parti. J'ai fait un brin de toilette, pris mon petit déjeuner et je me suis habillée. J'ai mis une robe tailleur blanche, il fallait que je sois plus élégante que d'habitude. A ce moment mon téléphone a sonné, Leila.

Moi : Allo miss Leila?

Leila : oui ma chérie c'est comment?

Moi : Je suis lĂ  dis donc, me voici qui part au boulot.

Leila : Tu as raison hein, la recherche de boulot c'est un boulot aussi. Bon je t'appelais justement pour te dire que j'ai eu Kemal au téléphone pour lui parler de ta recherche de boulot et pour demander s'il recrutait.

Moi : D'accord et il a dit quoi ?

Leila : Bon il m'a dit qu'il ne recrutait pas en ce moment mais que tu pouvais passer le voir Ă  son bureau, qu'il allait voir ce qu'il pouvait faire.

Moi : Ce qu'il pouvait faire? Je ne demande pas la charité ma chÚre. En plus un ancien camarade de classe je ne veux pas les choses de la honte hein ma copine.

Leila : Melissa, toi aussi va seulement on ne sait jamais. Quand on cherche le boulot on cherche partout, il t'attend ce matin à 10h. Je t'envoie son numéro de téléphone et l'adresse par sms. Pardon ma chérie, sape toi bien hein, tu me mets les lolos là en valeur tu sais que çà marche à tous les coups.

On a éclaté de rire au téléphone.

Moi : Ok pour ça tu me connais non ? Envoie trucs là je verrais. Je dois passer voir mon oncle et merci encore avocate du diable.

Leila : De rien ma belle, insulte moi seulement mais tu me tiens au courant, on s'appelle dans l'aprùs midi. À toute.

Je raccrochai, je n'avais pas du tout envie d'aller voir ce Kemal Bankolé. Tu vois un peu quand tu as eu un camarade au lycée qui mourrait seulement derriÚre toi et toi tu l'ignorais et que des années plus tard tu viens le supplier pour un poste non?

Çà me mettrais mal Ă  l'aise mais Leila avait arrangĂ© le rendez-vous pour moi donc c'Ă©tait ingrate de ma part de ne pas y aller. Je mis ma paire de talons hauts noire prĂ©fĂ©rĂ©e et je descendis direction je vais voir mon oncle.

Sur le chemin je reçus le sms de Leila avec l'adresse et le numĂ©ro de ce fameux Kemal que je ne pris mĂȘme pas la peine d'enregistrer. Je garai devant de chez mon oncle que j'ai oubliĂ© d'appeler avant de venir j'aurais dĂ» lui passer un coup de fil.

Je pris mon téléphone pour lancer son numéro et aprÚs les salutations mon oncle me fait savoir qu'il n'est pas dans la ville mais il m'a promis de m'appeler dÚs son retour. Bon j'allais faire quoi maintenant ? J'étais bien sapée et tout.

Est ce qu'il fallait que j'aille chez Kemal? Oh aprĂšs tout qu'est ce que j'avais Ă  perdre. Je ne venais pas le supplier pour un boulot je postulais auprĂšs d'un Directeur d'entreprise c'est tout Ă  fait normal. En plus un ancien camarade de classe.

Je jette un coup d'Ɠil Ă  ma montre 10h20, Humm je suis en retard. C'est vrai que je n'avais pas vraiment prĂ©vu d'y aller. Bon je ne vais pas rentrer chez moi oi8maintenant je vais y aller. Je roule en essayant de me rappeler au maximum de lui, son visage, ses maniĂšres. C'est fou çà on est de la mĂȘme gĂ©nĂ©ration et lui il a dĂ©jĂ  une sociĂ©tĂ© florissante?

Vous voyez alors les adolescents au lycĂ©e qui se prennent souvent pour les plus beaux et les plus cools de la classe lĂ  c'est toujours eux qui finissent chĂŽmeurs professionnels. Mais les ringards lĂ , ceux qui Ă©taient toujours sales avec des rares chaussures aux pieds c'est eux qui demain deviennent des PDG. Comme quoi arrĂȘtons de croire que le lycĂ©e c'est la vraie vie, enfin bref.

J'arrive devant l'immeuble que Leila m'a indiquĂ© et je me gare. Je jette un coup d'Ɠil dans mon rĂ©troviseur avant et je me repoudre un peu. Je saisis mon attachĂ© case et descend de ma voiture pour entrer dans l'immeuble.

Je vais à l'accueil, des affiches publicitaires de différentes marques égaient la piÚce. Je reconnais plusieurs publicités et je découvre qu'elles ont été faites par cette boite. Je demande à voir monsieur Kemal Bankolé.

"Vous avez rendez vous?" me demande la dame Ă  l'accueil.

Moi : oui je suis mĂȘme en retard.

Elle passe un coup de fil rapide et me donne un passe 4Úme étage. Je la remercie et prend l'ascenseur, je commence à paniquer un peu, moi qui d'habitude si sûre de moi. Au 4Úme étage, à la sortie de l'ascenseur, je m'avance vers une autre dame qui a été visiblement prévenu de ma venue.

"Madame entrez, il vous attend" en m'indiquant une porte.

Je pousse cette porte et me retrouve dans un grand bureau trĂšs froid. Au fond de la piĂšce je vois un jeune homme assis sur une grande chaise bureau marron. Il n'a pas levĂ© la tĂȘte, j'ai tout de suite remarquĂ© qu'il est vĂȘtu d'une chemise lĂ©gĂšrement dĂ©boutonnĂ©e qui laisse voir un collier en or sur un dĂ©but de torse musclĂ©. Un charisme impressionnant se dĂ©gage de lui.

Enfin il lĂšve la tĂȘte vers moi et je perds tous mes moyens. Dieu qu'il est beau! Il se lĂšve, contourne son bureau et s'approche de moi. Il est trĂšs grand dans les 1m90 au moins et malgrĂ© mes talons hauts, je ne faisais pas sa taille. Il avance vers moi et me fait un sourire en me tendant la main.

Kemal : Bonjour Melissa.

Et me voilĂ  en face de lui avec une voix morte et crapuleuse.

Moi : Bon...bonjour Kemal.

A SUIVRE...... ( Partie 2 )

.

Continuer

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