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Une fois en couple, le pire s'installe. Tu vas finir par entendre , la femme dire : << Si c'est pas Ă  cause de mes enfants, qu'est-ce que je serai entrain de faire ici, j'allais me divorcer de lui depuis des annĂ©es >> De l'autre cĂŽtĂ©, tu vas entendre l'homme dire : << Si ça ne plaĂźt pas , ramasse tes effets et va chez tes parents, j'en n'ai marre. >> Heey !!! Vraiment !! Hommes , femmes oĂč sont passĂ©s les << Je t'aime bb >> que vous chantez par tout dans le passĂ© ??? Vous voulez me dire que tout sa c'Ă©tait pour la forme ? Est-ce Ă  dire que vous avez fait un mauvais choix de rester ensemble ? Certainement , vous avez rater la base : LE CHOIX Bref, parlent du choix de qui fera sa femme ou son homme pour la vie, ici il est question d'un jeune homme nommĂ© Charms qui aprĂšs ces Ă©tudes dĂ©cide de se lancer dans la quĂȘte de sa dulcinĂ©e, sa cĂŽte, sa moitiĂ©, son Ăąme sƓur et la future mĂšre de ces enfants. C'est Ă  cette cause qu'il avait subir une dizaine de dĂ©ceptions car les femmes lui avaient montrĂ©e toutes les couleurs ce monde et de quoi elles sont capables Entre Amour, trahison, dĂ©sespoir, tentation et regrette, suivez dans les lignes Ă  suivre '' LE CHOIX ''

Chapitre 1 .

Salut Je m'appelle Charms. Un jeune homme de 24 ans en formation dans une organisation non gouvernementale. Je suis né dans une famille plus ou moins riche.

Depuis le collÚge, je ne me souci plus des filles. Puisqu'au depuis j'avais subir une déception. Ainsi, j'ai décidé de finir mes études avant de me relancer a nouveau dans cette histoire d'amour.

Alors, me voici j'ai fini mes études. J'ai de l'argent, des voitures, de maison et beaucoup d'autres bien matériels. Qu'est-ce qui me manque ? Ahhh oui... Je me sans toujours seul malgré ces bien matériels que je dispose.

Il me manque quelques choses. D'ailleurs ma mĂšre me dĂ©ranges depuis que j'ai fini mes Ă©tudes. Que quoi ? Elle veut avoir un petite fiston comme moi. Ahhh oui... Moi mĂȘme je suis conscient, il me manque une femme maintenant.

Voilà ma préoccupation, mon objectif : avoir une femme, ma cÎte , ma moitié, la future mÚre de mes enfants. C'est ainsi que j'ai rencontré Rose, un samedi en sortant d'une pharmacie. Rose est entrée dans la pharmacie toute affolée. DÚs son entrée, elle s'adressa à moi :

Rose : S'il vous plait, pourriez-vous me laisser prendre mes mĂ©dicaments en premier ? Je dois me dĂ©pĂȘcher, la vie de ma mĂšre est en danger, les minutes sont comptĂ©es. Le MĂ©decin a besoin de ces produits Ă  lui injecter.

Je suis plein de compassion pour cette jeune fille et naturellement, je lui cÚde ma place pour qu'elle présente l'ordonnance au pharmacien. Elle est servie et sort promptement de la pharmacie.

Je présente à mon tour mon ordonnance. J'étais venu prendre l'aspartame, un sucre spécial utilisé ma mÚre qui est diabétique. En effet, ma mÚre souffre du diabÚte, une maladie chronique qui ne se guérirait pas selon la médecine moderne, mais que l'on peut traiter et contrÎler. Des traitements traditionnels existeraient mais pour le moment, elle est obligée de faire attention à son alimentation.

Je prends le produit des mains du pharmacien puis je sors, entre dans ma voiture et démarre. Ayant roulé sur à peine, trois cent mÚtres, je vois la jeune fille de la pharmacie qui marche sur le trottoir. Je serre ma droite et je gare devant elle. Je baisse la vitre et je m'adresse à elle :

Moi : Mademoiselle, vous étiez si pressées tout à l'heure. Comment se fait-il que vous soyez encore là ?

Rose : Je peine Ă  trouver un taxi ; c'est toujours plein.

Moi : si cela ne vous gĂȘne pas, je peux vous dĂ©poser.

Comme si elle s'attendait Ă  cela, elle ouvre la portiĂšre et s'engouffre rapidement dans la voiture.

Je roule pendant quelques minutes avant de m'adresser Ă  elle :

Moi : Tu sembles bien préoccupée, Mademoiselle.

Elle poussa un soupir et répondit :

Sendrine : C'est ma mĂšre qui est malade et cela me chagrine.

Moi : Je te comprends, cela ne doit pas ĂȘtre facile. Beaucoup de courage.

Rose : Merci.

Nous gardons encore le silence jusqu'Ă  l'hĂŽpital. Elle descend. Je descends aussi et la suit. Elle remet les produits Ă  une infirmiĂšre puis se dirige dans la chambre de sa mĂšre. Quelques instants plus tard, un MĂ©decin entre. Il examine Ă  nouveau la malade et donne des consignes. L'infirmiĂšre administre les produits sous forme de perfusion. Je demande Ă  partir et elle me raccompagne jusqu'Ă  la voiture.

Sendrine : Merci beaucoup Monsieur pour m'avoir dépanné.

Moi : Je n'ai fait que t'assister. Mon nom est Charms.

Rose : Et moi Rose.

Moi : Je repasserai voir ta mĂšre demain si tu permets.

Sendrine : Merci d'avance.

Le lendemain, je repars Ă  nouveau Ă  l'hĂŽpital et je fais la mĂȘme chose pendant dix jours. Cela me permet de m'habituer Ă  Rose que je commençais vraiment Ă  apprĂ©cier. Nos Ă©changes portaient sur divers sujets.

Pendant tout le temps oĂč j'ai frĂ©quentĂ© Rose Ă  l'hĂŽpital, je n'ai croisĂ© que son frĂšre et quelques amies de sa mĂšre. Je me dĂ©cide Ă  lui poser des questions pour mieux la connaitre :

Moi : Dis-moi Rose, oĂč se trouve ton pĂšre ?

Rose : Il n'est plus avec ma mÚre, ils sont divorcés.

Moi : oui, mais ĂȘtre divorcĂ© ne signifie pas qu'ils sont des ennemis. Pourquoi n'est-il pas venu la voir ?

Rose : Il vit dans le pays voisin. Mais il nous a envoyé de l'argent pour les soins.

Moi : ok, je n'ai pas encore croisé ton fiancé non plus.

Rose : Je n'en ai pas.

A partir de ce jour, je commençais à voir Rose autrement. Sa mÚre guérit et sort de l'hÎpital quelques jours aprÚs.

Je deviens ami à Rose et aprÚs quelques semaines, je finis par lui parler d'amour. Elle n'hésita pas longtemps avant d'accepter ma proposition.

Rose n'aimait pas me rendre visite, elle est venue chez moi une seule fois. Elle n'avait pas accepté que la présente à ma famille. Elle me disait d'attendre un moment pour que nous soyons surs de nous.

Toutes nos rencontres se passaient chez elle. Un jour, ma mÚre insista pour que je lui présente Rose mais malgré tous mes efforts pour convaincre ma dulcinée, elle refusa, me disant que ce n'est pas encore le moment.

Moi : Rose, cela fera bientĂŽt six mois que nous sommes ensemble ; et tu ne veux toujours pas connaitre ma famille ?

Rose : Six mois, c'est quoi ? Six mois, c'est bien peu ; attendons encore un peu.

Cette attitude de Rose m'intriguait. C'est Ă©trange quand-mĂȘme ! D'habitude, les femmes exigent que les prĂ©sentations soient faites avec la future belle-famille le plus rapidement possible. Elles veulent par ce geste, se rassurer qu'aucune autre femme n'est en jeu. Elles sont Ă©galement intĂ©ressĂ©es Ă  savoir si la belle-famille les apprĂ©cierait. Les femmes aiment souvent passer du temps avec la future belle-famille. Ces moments passĂ©s avec la famille du fiancĂ© leur permettront de mieux les connaĂźtre et de crĂ©er un lien plus personnel qui les aidera Ă  prendre leur place auprĂšs d'elles. Mais aussi Ă©trange que cela puisse paraitre, Rose ne s'empressait pas pour cette rencontre.

Je finis par en parler Ă  ma sƓur ainĂ©e Dorcas qui elle non plus ne pouvait me donner une explication.

Dorcas : Charms, t'es-tu rassuré que tu es le seul homme dans sa vie ?

Moi : En tout cas, jusque-lĂ , il me semble que oui.

Dorcas : Je suggĂšre que tu en discutes avec sa mĂšre.

Elle au moins devrait ĂȘtre heureuse que sa fille ait trouvĂ© un homme sĂ©rieux. Elle va lui parler.

Moi : OK, je vais essayer cette approche.

AprĂšs ĂȘtre sorti du travail un soir, je me rends chez Rose. Comme d'habitude, je demande Ă  saluer sa mĂšre qui me rĂ©pond toujours avec courtoisie.

Moi : Maman Rose, je souhaiterais m'entretenir avec vous.

Rose se leva d'un bond et s'exclama :

Rose : Que veux-tu dire Ă  ma mĂšre, Charms ?

Moi : laisse-moi d'abord parler avec elle et ensuite elle te dira de quoi il s'agit, Rose.

Maman Rose me demande de la suivre dans la salle de séjour.

Maman : je t'Ă©coute Charms.

Moi : Voilà maman Rose, ce n'est rien de grave. C'est à propos de Rose ; je souhaiterais la présenter à ma famille mais elle refuse.

Maman : c'est tout ?

Moi : Oui, je voudrais que vous lui parliez.

Maman : Charms, si Rose ne veut pas connaitre ta famille, c'est qu'elle n'est certainement pas encore prĂȘte. Ne la force pas. Rose est ainsi. Elle ne se presse pas pour rien dans sa vie. Elle est pondĂ©rĂ©e.

Moi : Mais, trouvez-vous normal que ce soit toujours moi qui lui rende visite ? Cela m'ennuie de parler d'une fiancée imaginaire à ma famille.

Maman : Sois patient envers elle, Charms. Je vais lui parler mais tu dois faire preuve de patience.

Je la remercie et retourne sur la terrasse retrouver Rose. Mais elle n'y était pas. Je me dirige vers sa chambre. Je la trouve couchée. Elle lisait une histoire sur son téléphone portable.

Moi : Je constate que tu aimes beaucoup lire, Rose ; tu aurais dû faire de la littérature plutÎt que de choisir les finances ; alors qu'est-ce que tu lis ?

Rose : Une histoire sur Hinovel.

Moi : quel est le titre ?

Rose : UN HOMME NOIR ; NOIR DE CƒUR. de FANTA PLUME

Je me couche prĂšs d'elle en lui demandant :

Moi : De quoi ce roman parle ?

Rose : Ahhh... Vraiment, je n'ai pas encore finis la lecture. Je suis Ă  l'Ă©pisode 10.

Je prends le téléphone portable de ses mains pour voir le nom de l'auteur. Et je vois en noir : FANTA PLUME

Moi : Je constate que c'est le mĂȘme auteur qui a Ă©crit l'histoire que tu lisais la derniĂšre fois : LES FOLIES D'UNE FEMME.

Rose : Oui, j'aime bien ces histoires .

Moi : OK, pourrais-tu s'il te plait arrĂȘter ta lecture un moment pour t'occuper de moi ?

Rose : Non, tu ne le mérites pas Charms.

Moi : Rose, qu'est-ce que j'ai encore fait ?

Rose : Tu parles à ma mÚre sans me prévenir, Charms ?

Moi : Je n'agis que pour notre bien, Rose.

Rose : Ne sais-tu pas que l'on ne fait pas le bonheur de quelqu'un malgrĂ© lui ? J'ai entendu d'ici tout ce que vous vous ĂȘtes dit. Pourquoi veux-tu m'obliger Ă  rencontrer ta famille ?

Moi : Parce que je t'aime et je ne suis pas en train de m'amuser.

Rose : Si tu veux ĂȘtre avec moi Charms, ce sera Ă  mes conditions. C'est Ă  prendre ou Ă  laisser.

Cette façon de parler de Rose me choque mais je fais l'effort de ne rien laisser paraitre. Je reste encore un moment avec elle, puis je m'en vais.

En chemin, je repense à l'attitude de ma fiancée et je n'y comprends rien. On dit souvent que les femmes sont étranges. Je commence à croire que c'est vrai. Certes, ce n'est un secret pour personne que les hommes et les femmes sont bien différents. Nos réactions, nos envies, nos façons de voir les choses, l'expression de nos sentiments et bon nombre de choses nous opposent. Mais, j'ai l'impression que Rose est encore plus étrange que les autres femmes.

Serait-elle juste mĂ©fiante ou ne tiendrait-elle pas pour autant Ă  notre relation ? J'ai pourtant essayĂ© de comprendre, elle ne m'a rien expliquĂ©. Elle dĂ©bitait toujours le mĂȘme refrain : attendre d'ĂȘtre certaine que nous irons loin. Je me dis qu'elle me cache surement un passĂ©. Un homme l'a peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  déçu et elle veut s'entourer de prĂ©cautions avant de s'emballer Ă  nouveau. Et pourtant, en dehors de ce point de divergence, la relation est quand-mĂȘme normale. Nous nous embrassons quand nous nous voyons ; elle est douce, tendre et attentionnĂ©e. Seulement, elle ne veut pas connaitre les miens. Qu'Ă  cela ne tienne ! j'Ă©viterai pendant un moment d'aborder Ă  nouveau le sujet.

Effectivement, pendant les jours et les semaines qui ont suivi, j'Ă©vitais de revenir sur le sujet. Tout fonctionnait Ă  merveille. Je dĂ©cide en moi-mĂȘme d'attendre notre premier anniversaire avant d'aborder Ă  nouveau. Elle ne pourra plus alors me dire que c'est trop tĂŽt. Ma mĂšre continuait de me gĂȘner Ă  propos ; je lui demandais d'ĂȘtre patiente.

Aujourd'hui, c'est le jour de la Saint- Valentin ; tout comme le saint qui lui a donnĂ© son nom, l'origine de la Saint-Valentin demeure encore aujourd'hui un grand mystĂšre. St-Valentin, patron des amoureux, est en fait un prĂȘtre mort martyrisĂ©. Dans tous les cas, c'est la fĂȘte de l'amour et pour ce faire, je me rends chez Rose aprĂšs avoir fini le travail. Cette date coĂŻncidait avec neuf mois d'amitiĂ©. En effet, j'ai rencontrĂ© Rose un 14 juin.

Je lui ai acheté comme cadeau un téléphone ''Techno Carnon'' pour lui faire plaisir car elle se plaignait souvent de son téléphone Android '' Itel '' qui commençait à déconner vu qu'elle l'utilisait depuis quatre ans.

Une fois chez Rose, je ne trouvais personne. Tout Ă©tait fermĂ©. Je prends mon tĂ©lĂ©phone et je l'appelle mais c'est Ă©teint. Je reste un moment sur le portail ne sachant quoi faire. Je me dĂ©cide Ă  rentrer. A peine suis-je entrĂ© dans ma voiture, que je vois le petit frĂšre de Rose arriver. Il Ă©tait bien habillĂ© comme s'il quittait une fĂȘte. Je descends pour le saluer et lui demander s'il avait des nouvelles de Rose.

Moi : Je suis venu voir Rose ; je l'appelle mais c'est Ă©teint. Aurais-tu une idĂ©e de lĂ  oĂč elle se trouve ?

Le petit frĂšre visiblement gĂȘnĂ©, se gratta la tĂȘte puis finit par me rĂ©pondre.

Lui : Charms, autant que je te le dise, Rose se trouve présentement chez notre oncle paternel.

Moi : Il y a un problĂšme lĂ -bas ?

Lui : non, aucun problĂšme ; je suis dĂ©solĂ© d'avoir Ă  te le dire mais Rose est en train d'ĂȘtre dotĂ©e aujourd'hui.

Moi : Je n'ai pas bien entendu, pourrais-tu répéter ?

Lui : Rose reçoit la dot aujourd'hui.

J'ai l'impression que la terre se dérobe sous mes pieds mais je me garde mon calme et je questionne le petit frÚre.

Moi : A quel moment Rose a eu un fiancé que je n'ai jamais rencontré ici ?

Lui : il est en Europe ; cela fait quatre ans qu'il est parti. Il a toujours promis de l'Ă©pouser et il est juste en train de tenir sa promesse.

Moi : Et pourquoi ta sƓur ne m'a jamais informĂ© de son existence ?

Lui : Pour ce que je sais Charms, à un moment donné, le fiancé ne faisait plus signe de vie. Il a repris le contact il y a à peine trois mois, disant qu'il était en prison pour une affaire de détournement pendant une année alors qu'il était innocent.

Je ne savais quoi dire mais je fais l'effort de remercier le petit-frĂšre :

Moi : Merci pour ces informations.

Lui : Je suis vraiment navré, Charms. J'ai pensé qu'elle allait mettre fin à votre relation alors que la dot approchait. Excuse-moi, je suis venu chercher quelque chose et je dois y retourner au lieu de la cérémonie.

Moi : Ce cadeau Ă©tait pour elle ; remets-le-lui et dis-lui juste merci de ma part.

Je rentre dans ma voiture mais je ne me sens pas en état de conduire. Je reste là à réfléchir. Je me suis fait avoir. J'ai été manipulé. Rose m'a trompé par sa tendresse et sa douceur. Je venais de recevoir une douche froide, une belle leçon. Le traitre vous couvre de ses ailes pour mieux vous mordre de son bec. J'étais enragée.

La trahison est bien plus révoltante qu'une guerre ouverte. Qu'est-ce cela lui coutait de me dire « je ne veux plus de toi ? » Pensait-elle me le dire aprÚs la dot ? Ou alors, continuerait-elle à me tromper puis un beau matin, elle s'envolerait pour rejoindre son fiancé sans rien me dire ?

Et dire que sa mĂšre savait ! c'est pour cela qu'elle m'a demandĂ© de faire preuve de patience. C'est aussi la raison pour laquelle Rose n'a jamais voulu rencontrer mes parents. Je comprends tout maintenant. Elle voulait s'assurer que son fiancĂ© ne ferait plus signe avant de s'engager avec moi ? Elle aurait quand-mĂȘme pu me dire qu'elle Ă©tait fiancĂ©e et m'expliquer sa situation au lieu de me laisser compter sur elle !

Une larme s'Ă©chappe de mon Ɠil gauche et je l'essuie rapidement. Un homme ne pleure pas, encore moins pour une femme qui ne le mĂ©rite pas. Ce qui est certain, la vie se charge souvent de faire payer la facture Ă  ceux lui doivent.

J'appelle mon ami Emmanuel qui ne tarda Ă  venir. Il prend la clĂ© de ma voiture et me ramĂšne chez moi. Pendant tout le trajet, je ne prononce aucun mot, j'aurai le temps de lui raconter combien j'ai Ă©tĂ© incapable de comprendre que je n'Ă©tais qu'une roue de secours pour Rose au cas oĂč son pneu crĂšverait.

Ahhh... Vraiment quelle dĂ©ception ?!! Hoooo ! Rose pour quoi tu m'a fait sa ?? Mon cƓur seigne !

Continuer

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LE PRIX A PAYER

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Romance

4.8

Toute mĂ©daille a son revers, toute victoire a ses dĂ©faites, tout bonheur a un prix. Avoir la vie est une chose et mais comment y vivre pour trouver son bonheur est une autre chose. Personne ne souhaite ĂȘtre malheureux mais plutĂŽt heureux. Le chemin vers le bonheur n'est pas une balade de santĂ©, mais plutĂŽt une voie escarpĂ©e. Notre vision du bonheur est multiple. Mais un seul Ă©lĂ©ment est immuable : le prix Ă  payer pour y accĂ©der. Ainsi, il est question de l'histoire d'un jeune homme appelĂ© Kemal qui vivait en France dans la ville de Marseille. Trahir plusieurs fois, Kemal venait de sortir d'une rupture avec sa fiancĂ©e qui vivait en Italie dans la ville de Milan avec sa petite fille Bella. AprĂšs leur rupture, Kemal amena son enfant avec lui en France et pour des raisons d'indisponibilitĂ©, Ă  cause de son travail, il engagea Sandrine ; une Baby-sitter pour la garde de son enfant. Une Baby-sitter oĂč il tomba amoureux. En ce mĂȘme moment Yasmine viendra bouleverser cette histoire d'amour entre Kemal et sa Baby-sitter oĂč ils auront un prix Ă  payer pour cet amour. Contre vents et marĂ©es, Yasmine et l'ex du Baby-sitter s'associent et urseront de toute leurs forces pour sĂ©parer les deux amoureux car ils prĂ©tendaient regretter de leur rupture et aimer de nouveau chacun leur ex. Quelle sera le prix Ă  payer pour cet amour entre Sandrine et son patron Kemal ? Yasmine arrivera-t-elle Ă  sa fin ? Ou l'amour sera plus fort que tout ? Entre amour, intrigue, trahison, rupture, dĂ©ception, jalousie, vengeance et tragĂ©die suivez '' LE PRIX À PAYER '' dans les Ă©pisodes suivent....

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