Le cri strident qui a déchiré l'après-midi a marqué la fin de ma vie paisible. C'était Léo, mon petit-fils, victime d'un accident de scooter. À l'hôpital, le plus grand choc ne fut pas sa jambe brisée, mais le regard glacial de ma belle-fille Sophie, la mère de Léo, accompagnée de son nouveau compagnon Marc. « C'est de ta faute ! » a-t-elle craché, ses yeux pleins de reproches, accusant ma vieillesse et mon rôle de grand-mère aimante. Marc, lui, a ajouté, un sourire méprisant aux lèvres : « Une vieille femme ne peut pas s'occuper d'un adolescent. » Ma vie, mes sacrifices pour eux - élever ma belle-fille, puis Léo après la mort de mon fils, mon propre enfant - tout s'est effondré sous le poids de leurs accusations et de cette implacable injustice. Pourtant, j'ai compris leur véritable objectif : l'atelier de mon fils, un trésor convoité dans ce quartier en pleine gentrification. Face à leur avidité, une rage froide m'a envahie. J'ai répondu, ma voix étonnamment ferme : « Je suis vieille. Je suis fatiguée. Je ne peux plus m'occuper de Léo. Je te le rends. » J'ai ignoré le regard terrifié de Léo, mon cœur saignait, mais une bataille venait de commencer. Ce qu' ils ignoraient, c' est que j' étais prête à tout pour protéger l' héritage de mon fils, et cela incluait un secret que ce dernier m' avait confié avant de mourir, caché quelque part dans l' atelier.
Le cri strident qui a déchiré l'après-midi a marqué la fin de ma vie paisible. C'était Léo, mon petit-fils, victime d'un accident de scooter.
À l'hôpital, le plus grand choc ne fut pas sa jambe brisée, mais le regard glacial de ma belle-fille Sophie, la mère de Léo, accompagnée de son nouveau compagnon Marc.
« C\'est de ta faute ! » a-t-elle craché, ses yeux pleins de reproches, accusant ma vieillesse et mon rôle de grand-mère aimante. Marc, lui, a ajouté, un sourire méprisant aux lèvres : « Une vieille femme ne peut pas s\'occuper d\'un adolescent. »
Ma vie, mes sacrifices pour eux - élever ma belle-fille, puis Léo après la mort de mon fils, mon propre enfant - tout s'est effondré sous le poids de leurs accusations et de cette implacable injustice.
Pourtant, j'ai compris leur véritable objectif : l'atelier de mon fils, un trésor convoité dans ce quartier en pleine gentrification. Face à leur avidité, une rage froide m'a envahie. J'ai répondu, ma voix étonnamment ferme : « Je suis vieille. Je suis fatiguée. Je ne peux plus m\'occuper de Léo. Je te le rends. »
J'ai ignoré le regard terrifié de Léo, mon cœur saignait, mais une bataille venait de commencer. Ce qu' ils ignoraient, c' est que j' étais prête à tout pour protéger l' héritage de mon fils, et cela incluait un secret que ce dernier m' avait confié avant de mourir, caché quelque part dans l' atelier.
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