L'Héritage Brisant, Un Amour Perdu
urd et d'un cri. Mon cœur s'est arrêté. J'ai lâché mon sac de courses, les oranges
be plâtrée, le visage pâle et crispé par la douleur. Il n'avait que seize ans, une passion pour
médecin. C'était Sophie, ma belle-fille, la mère de Léo. Elle n'étai
fils. Ses yeux se sont posés
de ta
it froide,
ler. Tu le laisses faire n'i
èvres : « Une vieille femme ne peut pas s
a tourné la tête vers le mur, honteux. La douleur de sa jambe
hée, son visage déf
de t'occuper de personne. M
iste peintre talentueux qui nous avait laissé cet atelier rempli de ses œ
éo depuis sa naissance, surtout après la mort de mon fils. J'ai tout sacrifié, ma retraite, mes éc
mpris. L'accident de Léo n'était qu'un prétexte. Ce qu'ils voulaient, c'était l'atelie
e acculée, de la mère qui protège ses petits. J'ai passé des années à
st
» ai-je dit, ma voix éto
semblé
is fatiguée. Je ne peux
né d'un triomphe malsain. Marc a
t toi sa mère. C'est à toi de
de conséquences. Léo a tourné la tête vers moi, ses
ami
l suppliant. Je ne p
Tu ne vas pas y rester seule, quan
ai-je répondu, chaque mot pesé. « C'est l'
bien, » a s
it-fils blessé et une guerre à mener. J'ai care
pas, mon chéri.
s m'avait confié avant de mourir. Un secret. Un carnet de croquis noir, caché quelque part dans l'atelier, qui contena