L'Art, Ma Liberté Volée

L'Art, Ma Liberté Volée

Gavin

5.0
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Ma passion pour l'art était ma bouffée d'oxygène, ma promesse d'une vie différente. Chaque jour passé à l'école était un pas de plus vers cette liberté tant désirée. Élodie Lefevre, mon amie, ma camarade de classe, m'a invitée à un mariage champêtre. Un geste d'amitié, pensais-je, une pause bienvenue avant les examens. Dans le train, elle m'a offert un de mes bonbons préférés, un "Grand Lapin Blanc". Une douce fatigue m'a envahie, je me suis endormie, bercée par le roulis du train. Mais quand je me suis réveillée, ce n'était pas le train, mais une pièce sombre, inconnue, sentant le moisi. Une femme robuste, au regard mauvais, m'a jeté : "La belle au bois dormant est enfin réveillée." Mon amie, mon Elodie, était partie avec l'argent, me vendant comme épouse à son fils. Les mots m'ont frappée comme un coup de poing : "Tu es sa femme maintenant. On a payé un bon prix pour toi." La panique a inondé mes veines, mes tentatives de fuite ont été brutalement réprimées. Puis, dehors, j'ai reconnu le chêne tordu, le clocher. C'était le village de mes grands-parents, là où mon grand-père était une figure respectée. La peur s'est muée en une colère froide, une rage pure. Ils ne savaient pas qui j'étais. Ils avaient kidnappé la mauvaise fille. Et le nom Dubois allait leur coûter cher.

Introduction

Ma passion pour l'art était ma bouffée d'oxygène, ma promesse d'une vie différente.

Chaque jour passé à l'école était un pas de plus vers cette liberté tant désirée.

Élodie Lefevre, mon amie, ma camarade de classe, m'a invitée à un mariage champêtre.

Un geste d'amitié, pensais-je, une pause bienvenue avant les examens.

Dans le train, elle m'a offert un de mes bonbons préférés, un "Grand Lapin Blanc".

Une douce fatigue m'a envahie, je me suis endormie, bercée par le roulis du train.

Mais quand je me suis réveillée, ce n'était pas le train, mais une pièce sombre, inconnue, sentant le moisi.

Une femme robuste, au regard mauvais, m'a jeté : "La belle au bois dormant est enfin réveillée."

Mon amie, mon Elodie, était partie avec l'argent, me vendant comme épouse à son fils.

Les mots m'ont frappée comme un coup de poing : "Tu es sa femme maintenant. On a payé un bon prix pour toi."

La panique a inondé mes veines, mes tentatives de fuite ont été brutalement réprimées.

Puis, dehors, j'ai reconnu le chêne tordu, le clocher.

C'était le village de mes grands-parents, là où mon grand-père était une figure respectée.

La peur s'est muée en une colère froide, une rage pure.

Ils ne savaient pas qui j'étais.

Ils avaient kidnappé la mauvaise fille.

Et le nom Dubois allait leur coûter cher.

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