L'Art, Ma Liberté Volée
rre et des traditions. C'était la deuxième année après la réouverture des écol
ie. Elle était toujours souriante, toujours prête à partager ses notes ou son
enue me voir, les yeux
ec moi, ça te changera les idées avant les examens.
J'avais beauc
le train demain matin. Ce sera une p
cepter. J'avais besoin d'une pause, et l'idée de déc
die sortit un bonbon de son sac. C'était un bonbon "Grand Lapin
pour la
oût sucré et lacté m'a réconfortée. Peu de temps après, une d
un peu, » ai-je
m'a s
, Jeanne. R
ère chose dont
re remplissait mes narines. J'étais allongée sur un lit dur, dans une pièce sombre et inco
s'est ouverte avec un grincement, laissant entrer une lumière crue et la silhouette d
bois dormant est
it rauque,
Elodie ? » ai-je demandé, ma p
ané. Un son se
nt. Elle nous a bien dit que tu serais une
veines. L'argent ? Épouse ? L
? C'est une erreur. Je dois r
, ce sera de savoir comment traire les vaches et faire la cuisine pour
g. La trahison d'Elodie, le bonbon, le sommeil... ce n'ét
é du lit, malgré ma faiblesse, et j
tir ! Vous n'avez
ée par le bras avec
ite salope de la ville.
istait. Elle m'a secouée violemment, me forçant à retourner sur le lit. Me
r les cheveux, tiran
commandons. Tu vas faire ce qu'on te
Des larmes de rage et d'impuissance
ant une issue. « Ma famille a de l'argent. Beaucoup plus que ce q
Mon grand-père. Ma grand-
la pièce, ont échangé un regard puis ont éclaté de rire.
« On n'a pas besoin de ton argent. On a besoin d'une femme pour notre f
a femme m'a poussée dehors, dans la cour de la ferme. La lumière
maison en pierre, une grange délabrée, des champs qui s'é
s cet arbre. J'avais joué sous ses branches quand j'étais enfant. Plus loin, je pouvais vo
ances d'été, les courses dans les champs, la
as n'importe
s. Le village où mon grand-père avait é
une colère froide et pure. Ils avaient fait une ter
es. Ils croyaient m'avoir brisée, mai
m de f