Amélie, discrètement issue d'une puissante famille lyonnaise, offre ses 10 000 euros à sa meilleure amie Chloé et à la cousine pâtissière Manon pour lancer leur boutique, "Le Sucré Cœur". Généreuse et voulant les aider, elle use de ses relations familiales pour leur dégoter un local de rêve à loyer dérisoire, un acte de bienveillance dont elles ignorent tout. Fidèle, Amélie devient la cliente numéro un, dépensant sans compter et recommandant la pâtisserie à tous ses collègues, persuadée d'un partenariat basé sur la confiance. Le choc survient lorsqu'une collègue radieuse exhibe une carte de fidélité ultra-avantageuse du "Sucré Cœur", incluant une pâtisserie gratuite et surtout, l'emballage cadeau offert. Amélie, qui y dépense des fortunes chaque semaine, n'a jamais vu cette carte et a toujours payé deux euros supplémentaires pour son emballage, encouragée par Manon. Son sourire se glace : il ne s'agit pas d'un oubli, mais d'une différenciation délibérée, une arnaque où l'investisseuse et meilleure cliente est traitée comme une "vache à lait". L'humiliation atteint son paroxysme lorsque Léo, le fils de Manon, l'accuse publiquement devant la pâtisserie, révélant que « Tatie Chloé dit toujours que comme tu es riche, c'est normal que tu paies plus pour nous aider ! ». Le sang quitte le visage d'Amélie : non seulement trahie, mais moquée pour sa générosité et sa discrétion, sa confiance s'est transformée en une fureur glaciale. Comment son "amie" a-t-elle osé orchestrer une telle manipulation, transformant la bienveillance en un piège cynique pour l'exploiter ? Elles pensaient qu'Amélie, "la riche héritière", céderait par honte. Elles se sont lourdement trompées. Car celle qui leur a offert les murs à prix d'or va désormais leur montrer que sa fortune cachée n'est pas une faiblesse, mais une arme redoutable. Dans ce jeu de dupes, la guerre est déclarée, et Amélie, forte d'un empire immobilier et d'une détermination sans faille, compte bien la gagner.
Amélie, discrètement issue d'une puissante famille lyonnaise, offre ses 10 000 euros à sa meilleure amie Chloé et à la cousine pâtissière Manon pour lancer leur boutique, "Le Sucré Cœur".
Généreuse et voulant les aider, elle use de ses relations familiales pour leur dégoter un local de rêve à loyer dérisoire, un acte de bienveillance dont elles ignorent tout.
Fidèle, Amélie devient la cliente numéro un, dépensant sans compter et recommandant la pâtisserie à tous ses collègues, persuadée d'un partenariat basé sur la confiance.
Le choc survient lorsqu'une collègue radieuse exhibe une carte de fidélité ultra-avantageuse du "Sucré Cœur", incluant une pâtisserie gratuite et surtout, l'emballage cadeau offert.
Amélie, qui y dépense des fortunes chaque semaine, n'a jamais vu cette carte et a toujours payé deux euros supplémentaires pour son emballage, encouragée par Manon.
Son sourire se glace : il ne s'agit pas d'un oubli, mais d'une différenciation délibérée, une arnaque où l'investisseuse et meilleure cliente est traitée comme une "vache à lait".
L'humiliation atteint son paroxysme lorsque Léo, le fils de Manon, l'accuse publiquement devant la pâtisserie, révélant que « Tatie Chloé dit toujours que comme tu es riche, c'est normal que tu paies plus pour nous aider ! ».
Le sang quitte le visage d'Amélie : non seulement trahie, mais moquée pour sa générosité et sa discrétion, sa confiance s'est transformée en une fureur glaciale.
Comment son "amie" a-t-elle osé orchestrer une telle manipulation, transformant la bienveillance en un piège cynique pour l'exploiter ?
Elles pensaient qu'Amélie, "la riche héritière", céderait par honte.
Elles se sont lourdement trompées.
Car celle qui leur a offert les murs à prix d'or va désormais leur montrer que sa fortune cachée n'est pas une faiblesse, mais une arme redoutable.
Dans ce jeu de dupes, la guerre est déclarée, et Amélie, forte d'un empire immobilier et d'une détermination sans faille, compte bien la gagner.
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