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L'Héritière Oubliée : Le Réveil du Duc

L'Héritière Oubliée : Le Réveil du Duc

Gavin

5.0
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23
Chapitres

À la vie, je devais épouser un homme mourant pour sauver l'honneur de ma famille ruinée et la santé fragile de ma mère. Pourtant, mon cœur battait secrètement pour Julien, mon chauffeur, un homme aussi froid que distant. Mais mon monde s'est effondré quand j'ai découvert son secret : Julien n'était pas un simple chauffeur, mais le duc de Rochefort, un homme de pouvoir, qui n'était là que pour ma demi-sœur, Charlotte, qu'il vénérait aveuglément, me considérant comme un vulgaire obstacle. Sous mes yeux, il lui a offert une dévotion sans bornes, allant jusqu'à m'humilier publiquement à l'Opéra, me laissant seule face à un lustre qui s'effondrait pour la protéger. Son regard de haine après que Charlotte se soit jetée sur la cravache que je lui avais tendue, son tatouage gravé d'un 'C', tout criait son obsession pour elle et mon insignifiance. Le coup de grâce ? Charlotte, ma demi-sœur "innocente", m'a murmuré qu'elle avait orchestré l'accident qui avait brisé la santé de ma mère. Comment l'homme que j'aimais avait-il pu être si aveugle ? Si cruel ? Pourquoi m'avait-il infligé tant de souffrance pour un monstre ? Qui était le véritable bourreau et qui la victime innocente dans ce jeu tordu ? Brisée, mais le cœur transformé en pierre, j'ai décidé de fuir ce passé toxique et de me reconstruire à Lyon, loin de Paris, loin de lui. Mais alors que j'étais sur le point de sceller mon nouveau destin avec un homme bon, l'ombre du "duc fou" a ressurgi, menaçant de tout détruire.

Introduction

À la vie, je devais épouser un homme mourant pour sauver l'honneur de ma famille ruinée et la santé fragile de ma mère.

Pourtant, mon cœur battait secrètement pour Julien, mon chauffeur, un homme aussi froid que distant.

Mais mon monde s'est effondré quand j'ai découvert son secret : Julien n'était pas un simple chauffeur, mais le duc de Rochefort, un homme de pouvoir, qui n'était là que pour ma demi-sœur, Charlotte, qu'il vénérait aveuglément, me considérant comme un vulgaire obstacle.

Sous mes yeux, il lui a offert une dévotion sans bornes, allant jusqu'à m'humilier publiquement à l'Opéra, me laissant seule face à un lustre qui s'effondrait pour la protéger.

Son regard de haine après que Charlotte se soit jetée sur la cravache que je lui avais tendue, son tatouage gravé d'un 'C', tout criait son obsession pour elle et mon insignifiance.

Le coup de grâce ? Charlotte, ma demi-sœur "innocente", m'a murmuré qu'elle avait orchestré l'accident qui avait brisé la santé de ma mère.

Comment l'homme que j'aimais avait-il pu être si aveugle ?

Si cruel ? Pourquoi m'avait-il infligé tant de souffrance pour un monstre ?

Qui était le véritable bourreau et qui la victime innocente dans ce jeu tordu ?

Brisée, mais le cœur transformé en pierre, j'ai décidé de fuir ce passé toxique et de me reconstruire à Lyon, loin de Paris, loin de lui.

Mais alors que j'étais sur le point de sceller mon nouveau destin avec un homme bon, l'ombre du "duc fou" a ressurgi, menaçant de tout détruire.

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Le rapport médical dans ma main tremblait légèrement. Les mots noirs dansaient devant mes yeux : une maladie sexuellement transmissible, incurable, agressive. Le nom de Jean-Luc Moreau, mon fiancé, était là, en haut, mais je savais, avec une certitude terrifiante, que ce poison venait de Sophie Laurent, ma meilleure amie. J'étais devant la porte de l'appartement que Jean-Luc et moi devions partager. Des rires, des murmures, des soupirs qui n'étaient pas les miens. Dans ma vie précédente, j'aurais défoncé cette porte, brandi ce rapport. J' aurais crié ma trahison au monde. Et je l'avais fait. Le souvenir était une cicatrice brûlante. Sophie, humiliée, avait fui, heurtée de plein fouet par une voiture. Morte sur le coup. Jean-Luc ne m'avait jamais pardonné. À ses yeux, j'étais une meurtrière. Son amour pour Sophie s'était transformé en haine. Il avait maintenu notre mariage, un piège cruel. Le jour de nos noces, dans la chambre d'hôtel, il m'avait livrée à une bande d'hommes, filmant tout, un sourire de vengeance sur son visage. La torture avait duré des jours. Mais le destin m'avait donné une seconde chance. Je m'étais réveillée quelques mois plus tôt, le jour même où je devais recevoir les résultats de l'enquête que j'avais commandée sur Jean-Luc, soupçonnant déjà son infidélité. Cette fois, je ne défoncerai pas la porte. Je ne crierai pas. Je ne sauverai personne de son propre poison. Ma main, ne tremblant plus, tourna doucement la clé. La porte s'entrouvrit sans un bruit. Sur le canapé, Jean-Luc et Sophie étaient enlacés. « Tu es sûr que ça va ? » demanda Jean-Luc, sa voix pleine d'une tendresse que je ne lui avais jamais connue. « Tu as l'air si fatiguée ces derniers temps. » Sophie se blottit. « Ce n'est rien, mon amour. » « Juste un petit virus, le médecin a dit que ça passerait avec du repos. » Un petit virus. Mon regard dériva vers le croquis de ma robe de mariée sur la table basse. La nausée m'envahit. Je reculai doucement, refermant la porte avec une précision de chirurgien. Puis, mon père. Il me serra dans ses bras. « Papa, » ai-je sangloté. « C'est fini. » « Je ne l'épouserai pas. » « Je sais, Amélie. » « Comment... ? » « Moi aussi, Amélie. » « Je me souviens de tout. » Le sol se déroba. Ce n'était plus ma vengeance. C'était la nôtre. Une nouvelle force, froide et puissante, s'installa en moi.

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À vingt ans, le poids des dettes familiales m'étouffait, me poussant vers un mariage arrangé censé nous sauver de la ruine. J'ai choisi son nom, Antoine Lefèvre, l'homme que j'aimais éperdument, mais notre mariage est devenu mon pire cauchemar. Enceinte, à l'agonie sur ma couche, j'ai vu Antoine éventrer mon ventre, écraser notre nouveau-né, avant de siffler : "Tout ça, c'est de ta faute. Colette ne se serait jamais réfugiée à la campagne. Des vagabonds l'ont agressée là-bas. C'est toi qui l'as mise en danger !" Quatre heures d'horreur, trahie, agonisant seule, tandis qu'il préparait les funérailles grandioses de sa maîtresse, me jetant, moi, à la fosse commune, oubliée de tous, sauf d'un homme. Cet homme, Henri de Montaigne, a recueilli mon corps, a vengé ma mort avant de se donner la sienne sur ma tombe ; aujourd'hui, j'ai rouvert les yeux, et cette fois, le sort n'aura pas le dernier mot. Cette fois, je ne manipulerai pas le tirage au sort, je ne ferai pas le même choix. Cette fois, je m'agenouille devant mon père et je n'ai qu'une seule demande : "Père, je vous en supplie, arrangez mon mariage avec Henri de Montaigne." Alors que je pensais mon destin enfin scellé, le passé m'attendait au détour d'une ruelle, Antoine et Colette. Elle s'effondre, simule, m'accuse d'avoir brisé la jambe de son frère, tout en me dénigrant à voix haute : "Madame, si je vous ai offensée en quoi que ce soit, vous pouvez me frapper, m'insulter... mais pourquoi ? Pourquoi avez-vous fait briser la jambe de mon frère ?" Antoine, protecteur, me toise de son mépris : "Je te croyais plus digne que ça. Tu as déjà supplié ta famille d'arranger un mariage ! Écoute-moi bien, Adeline. Si tu ne t'agenouilles pas immédiatement pour t'excuser auprès de Colette, je te jure que même si je dois défier les ordres de nos familles, tu ne mettras jamais un pied dans la mienne !" Ma servante, Marie, les gifle chacun à tour de rôle, défiant leur arrogance. Mon rire sec fuse : "Le gendre ? Tu penses vraiment que le document de mariage que mon père m'a donné porte ton nom ?" Il persiste, aveuglé par sa vanité : "Évidemment. Tu m'aimes de façon si éhontée depuis des années. Tu as attendu jusqu'à devenir une vieille fille juste pour moi. Si ce n'est pas mon nom, ce serait celui de qui ?" "Arrête de rêver", lui dis-je, avant d'ordonner aux gardes d'éloigner Antoine. Le lendemain, mon sanctuaire, la source thermale où je prépare les remèdes pour Henri, est profané. Antoine s'y prélasse, avec Colette et son frère infirme, qui se sert de ma source pour son "bain". "Quand elle m'épousera", ricane Antoine, "toutes les propriétés de sa famille seront à moi. Absolument tout. Alors, quel mal y a-t-il à ce que ton frère se baigne dans ma source ? Oserait-elle me dire non ?" Mes propres gardes, corrompus par ses mensonges, me méprisent. La rage me submerge. Je dégaine mon couteau et égorge les deux gardes qui m'ont manqué de respect. Cette fois, personne n'hésite. Antoine, fou de rage, me pousse dans la source, me laissant me noyer. Un homme masqué me tire hors de l'eau, sa voix rauque me dit : "Madame, je suis arrivé en retard." C'est Henri. "Je sais que Madame n'a demandé à épouser votre humble serviteur que pour provoquer Monsieur Antoine. Demain, j'irai moi-même voir votre père pour rompre les fiançailles. Je ne veux pas vous mettre dans l'embarras." Je le retiens, ma voix nouvelle, mes mots clairs : "Il n'y a personne d'autre. Depuis le début, la seule personne que je voulais épouser, c'était toi." Ses oreilles rougissent. De retour chez moi, le valet d'Antoine exige deux sages-femmes pour Colette, enceinte. Je le fais battre. Antoine et Colette débarquent, il me gifle, m'humilie devant toute la maison. Mais cette fois, je me relève, mon âme libérée : "Antoine Lefèvre, Cette gifle efface tout ce qu'il y a eu entre nous. Nous sommes quittes." Des gardes armés entrent, ma voix porte ma décision : "Antoine Lefèvre a tenté de tuer la fille du boulanger du duc. Traînez-le dehors et battez-le à mort." Sa mère le sauve de justesse, me soumettant à de nouvelles humiliations, tentant même de me faire violer par son fils, avant que Henri ne m'arrache à ses griffes. "Dans trois jours, le jour de ton mariage, tu épouseras un coq !" lance-t-elle, au comble de sa fureur. Le jour du mariage, un coq est là, Henri le décapite d'un coup d'épée. Antoine arrive, incrédule, pour s'apercevoir que le destin a changé. Mon document de mariage, bien en vue, ne porte que nos noms, Henri et le mien. "Impossible ! C'est impossible ! Tu m'as toujours aimé !" "Assez !" La foule murmure l'humiliation du jeune homme. Colette, traînée par Marie, pâle et terrifiée, le ventre arrondi, confirme mes dires. La famille Lefèvre est ruinée, Antoine ligoté et traîné dehors. Mon cœur est empli de paix, et je jure fidélité à Henri. 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Le téléphone a sonné, strident, brisant le silence pesant de mon appartement. Jeanne Dubois, architecte paysagiste de renom. C'était moi, avant. Maintenant, j'étais juste la sœur de Paul. La sœur d'un criminel, selon eux. Mon petit frère, Paul, dix-neuf ans, broyé et jeté en prison pour une fraude financière qu'il n'avait pas commise. « Mademoiselle Dubois. » La voix du père d'Alexandre de Varenne, l'homme dont le fils avait détruit le mien, résonnait, lourde d'une autorité qui ne tolérait aucune discussion. « Votre frère est jeune, il a fait une erreur. Mon fils aussi. Retirez votre plainte. Faites en sorte que votre frère admette sa seule culpabilité. En échange, je pourrai user de mon influence pour que sa peine soit... clémente. » Une erreur. Il appelait ça une erreur. J'ai crié, supplié, frappé à toutes les portes. La justice m'avait glacée, les avocats s'étaient désistés, j'avais été menacée, mon appartement "visité". Ils m'avaient humiliée, isolée, poussée au bord du gouffre. J'avais échoué. J'étais seule. Puis, une image s'est imposée. Mon père, le jour de son départ pour sa dernière mission. « Prends soin de Paul, Jeanne. Et n'oublie jamais, même dans la nuit la plus noire, une seule petite lumière peut tout changer. » Mes yeux se sont posés sur une vieille malle en bois, celle de mon père, jamais ouverte depuis sa mort. Une nouvelle force, froide et tranchante, a surgi en moi. Ce n'était plus du désespoir. C'était de la rage. Une rage pure. « Allez au diable. » J'ai raccroché. J'ai ouvert la malle de mon père. À l'intérieur, sous des vêtements et des souvenirs, il y avait ce que je cherchais. Un carnet de bord et un paquet de lettres. L'écriture de mon père, des noms, des dates, des lieux. Trafic d'armes, détournements de fonds. Et parmi les noms, celui de la famille de Varenne. Alexandre n'était pas juste un jeune délinquant. Il était l'héritier d'un empire bâti sur la misère et la mort. Mon père n'était pas seulement un médecin. Il était un témoin. Il avait collecté des preuves pendant des années, des preuves capables de faire s'effondrer des fortunes. Sa mort, officiellement un "accident", prenait soudain un sens terrible. Ils ne l'avaient pas seulement tué. Ils avaient essayé de faire taire la vérité avec lui. Mais ils avaient oublié une chose. Ils avaient oublié sa fille. La rage avait laissé place à une détermination glaciale. Ils voulaient une guerre ? Ils allaient l'avoir. Mais pas sur leur terrain.

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Pendant huit longues années, ma vie tournait autour d'Antoine de Valois. J'étais son ombre discrète, son assistante dévouée, anticipant chacun de ses désirs, et secrètement, son amante clandestine depuis quatre ans. Notre arrangement était basé sur un amour fou et insensé de ma part, et une froide commodité de la sienne. Puis, Camille de Rohan, son amour de jeunesse, est revenue. Antoine, sans aucune considération pour mes sentiments, l'a affichée publiquement, la déclarant l'unique femme de sa vie. Mon monde s'est effondré. Ce n'était que le début de mon calvaire. Aveuglée par la jalousie et forte de la cécité d'Antoine, Camille a entrepris de me détruire. Elle m'a délibérément humiliée : j'ai dû ramasser sa traîne de robe comme une servante, elle a versé du café brûlant sur moi, et m'a accusée publiquement de vol lors d'une soirée mondaine. L'apogée de sa cruauté fut quand Antoine lui-même, sur ses ordres, m'a forcée à m'agenouiller sur le trottoir glacé de l'avenue Montaigne, exposée à la honte devant tous les passants. Mon cœur, naguère si plein d'amour, s'est brisé en mille morceaux. Comment l'homme que j'aimais, à qui j'avais tout donné, pouvait-il me réduire à cela ? N'étais-je rien d'autre qu'un objet, « personne d'important » pour lui ? J'ai subi cette trahison et cette humiliation avec une dignité mourante. Mais cet acte de barbarie m'a libérée. Ce jour-là, j'ai su que l'amour que je lui portais était mort. J'ai tout quitté, Paris, lui, notre passé. J'ai choisi de me reconstruire, loin de cette folie. Et même quand Antoine, face au chaos qu'il avait créé, a finalement ouvert les yeux et s'est mis à me supplier de revenir, il était trop tard. Mon cœur est resté muet. L'amour était mort, pour toujours.

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