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Le choix du cƓur

Le choix du cƓur

Nateo

4.8
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826
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1
Chapitres

Elle avait tout pour ĂȘtre heureuse ; un chemin tout tracĂ©. Amoureuse depuis le lycĂ©e, son mariage approchait. Un cria conte de fĂ©e... Jusqu'Ă  ce qu'elle le rencontre

Chapitre 1 Tout à commencé...

Aujourd'hui, comme on dit, est le premier jour du reste de ma vie.

Cette journée avait commencé comme toutes les autres. Je me réveille au cÎté de mon futur mari. Je ne fais pas de bruit et le laisse profiter de son sommeil. Il est encore rentré tard hier. Restaurateur dans une ville trÚs touristique, mon futur époux rentre souvent au alentour des deux heures du matin.

Pour ma part j'allais prendre mon service dans la maison de retraite oĂč je travaille comme kinĂ©sithĂ©rapeute depuis maintenant un an. Ce soir encore, il sera absent. Mais ce soir, comme souvent, je sors. Ce soir, c'est le grand soir, oĂč je retrouve enfin ma meilleure amie d'enfance. Et ce soir, je vais enfin lui demandĂ© d'ĂȘtre mon tĂ©moin de mariage.

Isabelle et moi nous connaissons depuis le collĂšge. N'ayant pas frĂ©quentĂ© les mĂȘmes lycĂ©es et universitĂ©s, notre amitiĂ© a connu des '' virgules'' mais jamais de point final.

J'aime la retrouver. Elle est pétillante et c'est toujours comme ci on ne c' était jamais quittée.

Elle n'est pas du genre Ă  envoyer des tonnes de SMS, je ne lui en tient pas rigueur.

J'avale mon café, file à la douche et en route pour le boulot !

J'arrive comme toujours suffisamment en avance pour avoir le temps de saluer le groupe de l'unité dont j'ai la référence et prendre un café avec les résidents. Certains sont mes patients, d'autre non mais je les connais tous et j'aime profiter du matin pour discuter avec eux.

Leur anonymat est essentiel alors par habitude je les appellerai Mme B, Mme G...

Ce matin lĂ , Mme G nous raconte une fois encore le jour oĂč son mari a perdu les bagues de leurs mariages.

En l'écoutant, je nous vois déjà Arnaud et moi. Arnaud, c'est mon futur mari. Je me vois déjà avancer vers lui sur la musique que nous aurons choisit au milieu de toute les personnes qui compte pour nous.

Je suis vite rattraper par M. V qui attend sa séance. La journée s'est déroulée sans accort. J'ai enchaßné les séances et réunions, déjeuner avec mon unité et comme toujours échangé des SMS avec Arnaud dÚs son réveil.

Nous sommes vendredi, je ne le reverrai sûrement que dimanche soir. Lorsque je fini ma journée, il est 17h. Arnaud est déjà reparti travailler. Je prends une douche rapide et rejoins Isa à la piscine.

DrÎle de lieu de rendez-vous. En fait, elle y occupe un emploi saisonnier. Toujours étudiante pour devenir professeur des écoles, elle y travaille l'été. C'est un travail tranquille. Elle fait cela depuis 2 ans. D'habitude, elle est au vestiaire, mais cette année c'est elle la responsable de caisse.

J'aime la retrouver lĂ  bas. C'est toujours bonbe ambiance.

En début de saison nous installons au bureau un petit coin sympa et nous on profitons tout l'été.

Aujourd'hui, la piscine ouvert pour cette nouvelle saison. Le coffre chargé de gros coussins, de boissons et autres gourmandise. Je prends la route vers la piscine.

Je retrouve ma place habituelle, et soudain, elle est lĂ . Mon Isabelle.

- So! Te voilĂ  enfin !

- Is, lui répondis-je en lui sautant dans les bras ! Tu veux des tagadas ???

C'est notre truc ça, on s'offre des fraises tagada et on se fait des cùlins '' tape tape''.

Comme c'est bon de la revoir.

Une fois mon coffre déchargé et notre coin cosy installé, on s' affale comme deux gamines.

- Tu viens toujours Ă  la fĂȘte des lueurs ce soir ? Me demande t-elle

- Bien sûr ! Je t'ai dis que j'avais toute la nuit si tu le voulais !

- Parfait ! C'est Geo qui nous amĂšnera. Celia vient aussi.

Pendant un instant, je m'Ă©tonne : - Ah ! Celia je me souviens bien mais qui est Geo ?

Elle me répond : - C'est Geoffrey. Il était au lycée avec Celia et moi. Je pensais que tu le connaissais. Tu me dira il est rarement là l'été.

D'habitude il part 2 mois au Portugal.

- Non, de noms je ne pense pas le connaĂźtre. Mais pas de soucis... Tu me connais je suis sociable.

Continuer

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CƓur de Glace: Fragile EspĂ©rance

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5.0

Kalinda Mon cƓur est comme du verre cristallin trĂšs fragile. Il se briserait Ă  rien. Non. Je corrige! Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© brisĂ©. PiĂ©tinĂ© encore et encore par mes parents adoptifs et ma sƓur cadette. AussitĂŽt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sƓur adorĂ©e
 Je n'Ă©tais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intĂ©rĂȘt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptĂ©e, si c'Ă©tait pour m'abandonner, de mĂȘme que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me dĂ©fendre. Je ne dois mĂȘme jamais m'agiter
 plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cƓur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'ĂȘtre si durement traitĂ©e depuis l'enfance
 Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter
 ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermĂ© dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la dĂ©faite contre ma sƓur cadette encore et encore
 Acceptant l'Ă©loignement constant de mes parents, petit Ă  petit... jusqu'Ă  ĂȘtre reniĂ©e et chassĂ©e de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'Ă©taient si proches! Acceptant aussi tous mes rĂȘves brisĂ©s. Mais c'Ă©tait avant qu'il entre dans ma vie
 lui
 cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent Ă  Orlando qu'il a un cƓur de glace! Il est devenu ma rĂ©demption. Mon jardin secret. Ma fragile espĂ©rance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rĂȘve trĂšs vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve Ă  mon chevet Ă  mon rĂ©veil, dans cette chambre d'hĂŽpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissĂ© croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonnĂ© vie. Comment pourrais-je lui tĂ©moigner mon Ă©ternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libĂ©rateur. MĂȘme s'il dĂ©sirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hĂ©siter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruautĂ© que toutes ces femmes dĂ©crivent? Petit Ă  petit j'apprends Ă  dĂ©couvrir que derriĂšre cette façade trĂšs cruelle, se cache en fait un homme trĂšs tendre!

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