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Le kidnappeur par le chef de la mafia

Le kidnappeur par le chef de la mafia

Rose 588

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Chapitres

« Es-tu vierge ? demande-t-il. Ses yeux semblent s'illuminer avec le besoin d'une réponse. « Oui, je le suis. Je réponds timidement. « Nous allons beaucoup nous amuser ensemble, chula ». Sa poitrine gronde de désir. - GeneviÚve est kidnappée par le chef de la mafia le plus impitoyable et le plus cruel que tout le monde connaßt sous le nom de la Faucheuse. Le faucheur est revenu pour se venger, il veut que GeneviÚve souffre pour tout ce que son pÚre lui a fait.

Chapitre 1 01

01

Le club était rempli de vieux hommes effrayants. Je veux dire, ça l'est toujours, mais aujourd'hui, c'est bien plus que d'habitude. Je devais travailler la scÚne aujourd'hui, donc je devais porter quelque chose de beaucoup plus révélateur, j'ai tiré mes leggings en dentelle sur mes longues jambes de miel. J'ai appliqué mon rouge à lÚvres rouge foncé et attrapé mon chapeau de cowboy. J'avais une mini-robe noire qui couvrait à peine quoi que ce soit avec un clip de shérif.

« Qu'est-ce que tu fais, GeneviÚve ?'

Chaque fois que je monte sur cette scÚne, je perds toujours un morceau de ma dignité, à ce stade, je n'en ai plus. Tu fais ça pour ta famille.

Je me suis débarrassé de ce sentiment avant de monter sur scÚne. Tous les hommes de cet endroit avaient les yeux rivés sur moi, j'étais le nouveau jouet brillant avec lequel tout le monde voulait jouer. Je me tenais derriÚre la scÚne, attendant mon tour. Mes mains ont commencé à transpirer comme des folles, j'ai continué à les essuyer contre ma robe.

« Présentation de Geneve Jade sur scÚne. »Le porte-parole crie à travers le micro. « Le shérif de ce club. »

J'ai expiré et inhalé profondément, essayant d'apaiser mon anxiété. Une chanson a commencé à jouer, la chanson sexuelle lente m'a tiré sur scÚne. Je me suis mis en position, debout à cÎté du poteau. Les lumiÚres se sont soudainement allumées, j'étais en plein écran. Tout le monde applaudissait, grognait, sifflait comme si j'étais une sorte de chien.

Je me suis agrippé au poteau, tirant ma jambe pour l'enrouler autour de lui, balançant tout mon corps, mes cheveux sont tombés doucement contre ma peau. Les lumiÚres clignotent du rouge au bleu foncé, du bleu foncé au rouge.

L'argent a commencĂ© Ă  ĂȘtre jetĂ© sur moi, je devrais ĂȘtre heureux de recevoir de l'argent pour payer toutes mes factures mais ça me fait juste me sentir sale.

L'huile sur mon corps rendait mes mains plus glissantes, ce qui rendait plus difficile de s'accrocher au poteau. J'ai retourné mes cheveux en faisant glisser mon doigt le long de mes lÚvres jusqu'à mon ventre. J'ai rampé sur le sol, enchantant les hommes crédules devant moi.

Quand je me suis levé, j'ai établi un contact visuel avec un autre type d'homme, il n'était ni laid ni vieux. Il s'est assis sur le chemin du retour, dans l'obscurité, mais j'ai pu bien le regarder. Cet inconnu tenait son verre d'alcool dans une main et dans l'autre était un gros cigare, j'ai commencé à me sentir séduit par lui.

« Abandonnez-le pour Geneve Jade. »Les haut-parleurs crient, me faisant savoir que j'ai terminé.

J'ai retiré mon glaçage de l'étranger et suis sorti de la scÚne en balançant mes hanches. Je respirais lourdement et j'avais désespérément besoin d'eau, je me suis dirigé vers le bar pour commander quelque chose à boire. Je me suis assuré de donner un petit spectacle en me penchant au-dessus du bar pour atteindre ma bouteille d'eau, mon patron serait contrarié si je buvais simplement de l'eau sans donner un spectacle à l'invité.

« GeneviÚve. »Teagan murmure à mon oreille, attirant mon attention.

« Quoi ? »Je rigole alors qu'elle respire me chatouille l'oreille, elle a l'air incroyable dans son uniforme d'Ă©coliĂšre mais je pouvais dire qu'aucune d'entre nous n'Ă©tait heureuse d'ĂȘtre ici.

« Un gars vraiment, vraiment, super riche vous veut dans la chambre 184. »Dit Teagan avec enthousiasme.

J'ai roulé des yeux, probablement un vieil homme gras à la recherche d'un bon moment.

« Je ne fais pas de chambres privées. »Je dis.

« D'accord, il ne veut pas de sexe mais veut plutÎt te parler », dit-elle.

« Non merci, c'est ce qu'ils disent tous. »

« Il vous paie un million juste pour aller dans la chambre, GĂ©nĂ©ral, nous avons besoin d'argent. »Teagan supplie avec ses mains. Elle a raison, on a besoin d'argent. Notre propriĂ©taire a dit que si nous ne pouvions pas payer dans les deux prochains jours, nous devions partir, nous n'avions personne d'autre que nous-mĂȘmes.

Mes parents me tueraient s'ils découvraient ce que je fais dans la vie, papa pense que je travaille pour une agence de mannequins, maman aussi. Je voulais vivre seule, expérimenter la vie et maintenant je le regrette mais je ne peux leur demander de l'aide, c'est embarrassant.

« Bien. »J'ai roulé des yeux vers elle de maniÚre ludique, elle saute de haut en bas avec enthousiasme. Je prends la bouteille de notre vin le plus cher et deux verres à vin.

S'il te plait, ne me demande pas de sexe, s'il te plait, ne me demande pas de sexe.

J'ai frappé à la porte, chambre 184. J'ai lentement ouvert la porte, il faisait noir à l'intérieur. Il n'est probablement pas encore là, j'ai fermé la porte avant d'allumer les lumiÚres. J'ai sauté une fois que je l'ai vu assis sur la chaise devant moi, ses jambes écartées et ses mains agrippées de chaque cÎté de la chaise avec un cigare lacé entre ses doigts.

J'ai été choqué de voir que c'était le gars qui me regardait plus tÎt sur la scÚne. De prÚs, il était encore plus chaud, Dieu a pris son temps sur celui-ci.

J'ai placé ma main sur ma poitrine. « Jésus, tu m'as fait peur. »Je marmonnais sous ma respiration.

Il prit une bouffée de son cigare, je le regardai lentement incliner le menton vers le haut libérant la fumée, la mùchoire fléchie. Ses manches étaient retroussées, diffusant ses tatouages. J'ai repéré le crùne presque immédiatement contre sa main. Je sais ce que ça veut dire, teschi neri, en anglais c'est crùnes noirs.

C'est une mafia, ma mĂšre m'a mis en garde contre les hommes avec des crĂąnes sur le corps. Papa est un agent de la CIA, donc on m'a toujours appris sur les mafias et les gangs quand j'Ă©tais jeune fille.

Essayez d'agir normalement, GĂ©n.

« J'ai oubliĂ© la glace. »J'ai dit, je me suis retournĂ© pour ouvrir la porte avant que quelque chose ne s'arrĂȘte.

« Je ne veux pas de glace. »Sa voix grondait dans sa poitrine, la rendant profonde et sombre. Mes épaules se sont tendues, mes mains ont commencé à transpirer.

Je me suis retourné lentement, j'ai évité à tout prix le contact visuel. J'ai gardé mon regard sur le sol.

« Karma est une garce. »Il dit de nulle part.

J'ai décidé d'établir un contact visuel avec lui, ses beaux yeux noisette étaient sans vie et méchants.

« Parfois, le karma n'a pas Ă  ĂȘtre payĂ©. »Les mots sont sortis de ma bouche avant mĂȘme que je puisse m'arrĂȘter.

Cela a attiré son attention, il s'est levé, faisant quelques pas plus prÚs de moi. Il était grand et musclé, il avait des cicatrices couvrant chaque centimÚtre que je pouvais voir de lui. Ses cheveux brun foncé étaient lissés en arriÚre, il avait une chaßne croisée autour du cou, sa mùchoire est acérée, sa peau était d'une belle couleur bronze ivoire.

J'ai essayé de faire quelques pas en arriÚre mais j'ai été accueilli par le mur dur, il m'a immédiatement coincé entre le mur et ses bras, j'ai avalé. Ses yeux m'étudiaient attentivement, c'est devenu trop je baissai les yeux, détournant les yeux de lui.

« GeneviĂšve, ton pĂšre a pris quelque chose de trĂšs important pour moi et maintenant. »Il a arrĂȘtĂ© de parler, apportant son doigt pour me caresser la joue. « Je prends quelque chose de lui. »Il murmura.

Mes yeux se sont Ă©carquillĂ©s une fois que j'ai rĂ©alisĂ© ce qu'il voulait dire, il voulait me prendre. J'ai essayĂ© de le repousser mais il a rĂ©ussi Ă  saisir mes deux poignets, les soulevant au-dessus de ma tĂȘte. Il secoua la tĂȘte d'un cĂŽtĂ© Ă  l'autre, claquant sa langue en mĂȘme temps.

« Mauvaise fille. »

« Laisse-moi partir. »Je crie en me tortillant. Il a soudainement attrapĂ© ma mĂąchoire, inclinant ma tĂȘte vers le haut alors qu'il baissait ses lĂšvres Ă  cĂŽtĂ© de mon oreille.

« Petite GeneviÚve, toute grande. »Il a grogné dans mon oreille.

« Est-ce que tu –«

Ma phrase a été interrompue par le bruit des coups de feu provenant du club. Teagan c'est tout ce à quoi j'ai pensé, mon corps a soudainement décidé d'utiliser toute sa force pour le repousser de moi, je lui ai donné un coup de pied droit dans les couilles, il a grogné et est tombé par terre. J'ai commencé à courir par la porte, j'ai poussé la foule paniquée.

D'autres coups de feu ont été tirés, je m'en fichais j'étais trop occupé à chercher Teagan. Le sol était couvert de sang, des gens étaient morts par terre. Je me suis retourné pour voir que les gens qui tiraient avaient des masques, l'un avec un masque de loup, un autre avec un masque de cochon et un masque de mouton. J'ai aperçu Teagan dans un coin en train de repousser un homme aux cheveux blonds, il essayait de l'emmener.

« Ne la touche pas, espĂšce de crĂ©tin. »J'ai sautĂ© sur le dos de l'homme, frappant sa tĂȘte avec mon talon. Teagan a commencĂ© Ă  le frapper avec son petit poing.

Tout s'est passé si vite, quelqu'un m'a attrapé par la taille. Quand je me suis retourné, j'ai remarqué que c'était le gars de la chambre privée, il m'a serré contre mes épaules. Teagan a été jetée par-dessus l'épaule des mecs blonds, elle a commencé à donner des coups de pied et à crier. Les gars masqués doivent travailler pour lui, ils semblaient nous ignorer.

« Théagan ! »Je crie en essayant de me jeter à travers la piÚce vers elle, mais plus je me battais, plus ses mains devenaient serrées.

« Nettoyez ce foutu bordel, idiots. »Le gars de la salle privĂ©e crie aux hommes masquĂ©s, ils hochent tous la tĂȘte.

Ses yeux se sont levĂ©s pour rencontrer les miens, j'ai essayĂ© de le repousser mais sa force n'Ă©tait pas Ă  la hauteur de la mienne. Il a forcĂ© un chiffon blanc contre mon nez, j'ai donnĂ© des coups de poing et des coups de pied. Mes yeux ont commencĂ© Ă  ĂȘtre lourds, mes bras sont devenus plus faibles, mes jambes aussi.

Il m'a ramassé quand mes jambes ont commencé à se sentir engourdies.

« Pourquoi fais-tu ça ? »J'ai marmonné trÚs vaguement alors que ma vue devenait floue.

« La vengeance, c'est pour se venger. »

Je tombe dans un profond sommeil.

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