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Le mariage arrangé avec le fils de son patron

Le mariage arrangé avec le fils de son patron

Rose 588

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Chapitres

Cassandra Draper a Ă©tĂ© abandonnĂ©e par son pĂšre Ă  l'Ăąge de neuf ans. Pendant neuf ans, sa famille a luttĂ©, Tanner, son frĂšre, a Ă©tĂ© enlevĂ© et elle ne l'a pas vu depuis des annĂ©es. Sa mĂšre, sa sƓur et elle-mĂȘme vivent pauvrement et luttent chaque jour pour rester ensemble. Un jour, son soi-disant pĂšre se prĂ©sente et lui annonce qu'elle a un mariage arrangĂ© avec le fils de son patron. Cassandra n'a pas d'autre choix que d'aller rencontrer son futur mari, qui s'avĂšre ĂȘtre un gros con. Pensant que sa vie est totalement gĂąchĂ©e, elle perd espoir....jusqu'Ă  ce qu'elle rencontre l'homme de ses rĂȘves.

Chapitre 1 01

01

J'ai entendu un accident, je me suis retourné maman avait laissé tomber son seul vase, de l'eau et des fleurs mortes se sont écrasées sur le sol. « Maman, tu vas bien ! »J'ai laissé l'homme étrange avec mes yeux à la porte, en courant, j'ai eu un chiffon sous l'évier. J'ai commencé à nettoyer le verre, ainsi que le déversement d'eau, jetant des fleurs mortes à la poubelle au fur et à mesure.

Maman a marché autour de moi en oubliant apparemment qu'elle venait de laisser tomber quelque chose, « Félix, c'est toi ? »

« Oui, Darcy, c'est moi, » dit l'étranger.

Puis quelque chose de choquant s'est produit, rien de ce que j'attendais de ma mĂšre ; elle a giflĂ© l'homme en plein visage. « Comment oses-tu revenir ici aprĂšs neuf ans, sans mĂȘme un seul coup de tĂ©lĂ©phone ! »Maman a criĂ©.

Je me suis levĂ© de terre, neuf ans ? Attends, ce n'Ă©tait pas ça when...my l'estomac s'est effondrĂ©, ça ne pouvait pas ĂȘtre. J'ai regardĂ© Ă  nouveau il avait mes yeux, les cheveux noirs des tanneurs, a la peau claire comme le reste de la famille. La colĂšre s'est prĂ©cipitĂ©e Ă  travers moi ; cet homme Ă©tait mon pĂšre qui abandonnait. J'ai serrĂ© le poing en oubliant qu'il y avait du verre dedans, du sang coulait dans la paume de ma main, mais je m'en fichais mon cƓur battait vite de haine pure.

« Cassandra, tu saignes ! »Papa s'est exclamé.

J'ai baissé les yeux sur ma main, il n'avait pas le droit de s'en soucier.

Maman s'est retournée, « Cassandra donne-moi ce chiffon ! »Maman me l'a pris en jetant le verre à la poubelle, en courant vers l'évier et en le trempant dans de l'eau chaude. Rapidement, elle est venue, a retiré le verre de ma main et l'a frappé avec le chiffon chaud. « Ne me fais pas peur comme ça ! »Elle a dit. Je n'écoutais toujours pas. Devant moi se trouvait la seule personne qui avait apporté tant de tristesse à cette famille, et tout ce que je voulais faire, c'était le frapper comme maman l'a fait, mais plus fort. Je voulais parler mais aucun mot n'est sorti.

Papa est entrĂ© en fermant la porte derriĂšre lui, « Ça va Cassandra ? »

Au lieu de répondre, maman lui a dit : « Qui a dit que tu pouvais entrer ? »

Il a ignorĂ© maman, « Ça va Cassandra ? »

Mon dernier moment, le moment que j'attendais pour crier, et lui en vouloir de nous avoir quittés. Au lieu de cela, mon agressivité passive s'est manifestée : « Ouais, je vais bien. »Quoi ? Pourquoi j'ai dit ça ? Je détestais que parfois j'étais encore passif agressif, surtout envers les gens que je méprisais. Non, je n'allais pas lui faire ça du moins pas à lui, « Je...I..., « urg c'était frustrant.

« Parle fort Cassandra, j'écoute », a dit papa.

C'est ce qui l'a fait, « Non je ne vais pas bien en fait c'est le contraire de ce que je suis en ce moment ! »MĂȘme si je voulais continuer Ă  lui crier dessus, c'Ă©tait tout ce que je pouvais sortir. Les larmes me piquaient les yeux, non je ne suis pas faible, les larmes sont parties.

« Sors ! »Maman a crié. « Tu ne vois pas qu'elle est blessée ? »

« Oui Darcy je sais parce qu'il y a du sang sur le sol ! »Il a crié en retour. Apparemment, il ne savait pas quel genre de blessure maman voulait dire.

« Sors ! »Maman a encore crié.

« Non je ne sortirai pas ! Ce sont mes enfants autant qu'ils sont les vÎtres ! »Papa a crié.

Ça l'a fait, maman a vraiment Ă©tĂ© cochĂ©e, « Tu ne mĂ©rites mĂȘme pas de les appeler les tiens ! »Elle a poussĂ© papa dans la porte. Quand j'ai pensĂ© que les choses allaient empirer, une petite petite voix fragile s'est Ă©levĂ©e.

« Maman pourquoi as-tu poussé cet homme ? »Sophie a dit inquiÚte.

Le visage de maman s'est vidé au lieu d'un visage plein de colÚre rouge, elle avait plutÎt un visage pùle frappé. Maman se tourna vers Sophie, « Je suis désolée que tu aies vu cette chérie. J'étais juste en colÚre alors je l'ai poussé, ce qui n'est pas acceptable, » Maman a soufflé », je suis désolé. »

Whoa, avoir un petit enfant de onze ans dans la chambre vous fait vraiment changer votre façon de gérer les choses. « Sophie va choisir ton pyjama, » dis-je en prenant sa main à la peau claire.

Je ne pensais pas qu'aucun de nous ne devrait ĂȘtre lĂ  pendant que les deux parlaient (plutĂŽt criaient.) Nous sommes allĂ©s dans la chambre de maman et Sophie, et j'ai fermĂ© la porte. Aider Sophie Ă  choisir un pyjama a pris une Ă©ternitĂ© et elle n'en avait que deux paires. Ensuite, j'ai attrapĂ© la brosse sur le support et j'ai commencĂ© Ă  lui mettre deux tresses latĂ©rales dans les cheveux lorsqu'elle a posĂ© la question Ă  laquelle je ne voulais pas rĂ©pondre : « Qui est cet homme et pourquoi maman le dĂ©teste-t-elle ? »

J'ai soupirĂ© Sophie n'a jamais connu papa ni mĂȘme Ă  quoi il ressemblait (maman a cachĂ© toutes les photos de lui), « Sophie c'est un peu compliquĂ©. »

« Qu'est-ce qui est si compliqué que tu ne puisses pas me le dire ? »Demanda Sophie.

Pouah. Les petits enfants et leurs nombreuses questions sur la vie, autant lui dire la vérité qu'elle découvrira tÎt ou tard. J'ai terminé ses tresses, la tournant vers moi, j'ai dit : « Tu te souviens de quelque chose à propos de papa ? »

« Ouais maman a dit qu'il était mort en grand homme », a-t-elle dit.

Ah, mec maman pourquoi tu lui dirais ça ? Et quel mensonge complet il n'était pas un grand homme, pensais-je. « Sophie papa n'est pas morte, ce n'est pas un grand homme qu'il a quitté quand vous n'aviez que deux ans, et il ne nous a pas contactés jusqu'à présent. »

« Quoi ! » ? Dit Sophie exaspérée.

« Je suis désolé Sophie, il est parti il y a neuf ans et n'a jamais décidé de se présenter jusqu'à maintenant », ai-je tristement dit.

Ses yeux s'écarquillÚrent, « Tu veux dire qu'il est chez nous en ce moment ? »

« Ouais, » murmurai-je.

« Il t'a fait du mal ? »Demanda Sophie inquiÚte en regardant ma main coupée.

« Non, c'était moi, c'était un accident », je suis allé à la commode pour sortir des pansements, pour couvrir les coupures.

« Cassy, » dit Sophie inquiÚte, « J'ai peur, je ne sais pas quoi penser de ce soi-disant pÚre à nous. »

Je me suis approché de Sophie en lui tendant la main, « Oui, mais ce que je pense ne devrait pas affecter votre opinion sur lui. Je ne sais plus à quoi il ressemble, mais je sais que je ne le laisserai pas te faire de mal. »

Ensemble, nous avons marchĂ© main dans la main par la porte et dans notre petit espace de vie. Maman s'Ă©tait suffisamment calmĂ©e pour qu'elle ne frappe plus papa. Devrais-je mĂȘme l'appeler comme ça ? AprĂšs tout, cela fait neuf ans et tout ce qu'il est pour moi est un parfait inconnu.

« Tu ne peux pas me les enlever », a déclaré maman.

« Je ne les enlĂšve pas, je pensais juste que nous pourrions tous quitter cet endroit, je vais vous donner un nouveau style de vie plus en forme pour vivre, plus besoin d'ĂȘtre pauvre, de vivre dans une dĂ©charge, et vous pouvez retourner Ă  l'universitĂ© si vous le souhaitez, « papa marqua une pause, » Je suis sĂ»r que Cassandra aimerait aller Ă  l'universitĂ©. N'est-elle pas diplĂŽmĂ©e cette annĂ©e ? »

« Oui, je le suis », ai-je dit. « Pourquoi tu t'en soucies ? Ce n'est pas comme si tu étais jamais là. »

Son visage était frappé au dos, « Je sais que j'ai fait de mauvais choix, mais j'ai refait ma vie, et la seule chose qui manque, c'est vous trois. »

« Cassy, murmura Sophie, Il a oublié Tanner, Tanner est son fils unique. »

« Non, je n'ai pas oublié Tanner », sourit papa comme s'il avait quelque chose retroussé ses manches.

« Les tanneurs vivent avec moi depuis un an », annonça papa.

La piĂšce devint silencieuse, il n'y avait plus rien au monde que nous ferions juste pour revoir Tanner. Je n'arrive pas Ă  y croire ; deux ans qu'il a souffert, et son soi-disant pĂšre se prĂ©sente pour le sauver, mais pas nous ? Nous avons luttĂ© mĂȘme avec Tanner parti. Nous avons tous luttĂ©, nous avons tous souffert, nous avons tous souffert et avons eu de nombreuses afflictions. J'ai regardĂ© papa de haut en bas. Il Ă©tait habillĂ© comme s'il Ă©tait riche, comme s'il n'avait aucune douleur, comme s'il ne souffrait de rien. Je voulais lui faire du mal, mais quelqu'un a agi beaucoup plus tĂŽt que moi. Sophie une minute elle est Ă  mes cĂŽtĂ©s, puis la suivante elle crie et frappe papa. Ça n'a rien fait, mais je pouvais voir dans ses yeux qu'il s'y attendait. Rapidement, je me suis approchĂ©, ramassant une fille percutante de 4 pieds 3 pouces et 70 livres, et ce n'Ă©tait pas facile (elle Ă©tait peut-ĂȘtre lĂ©gĂšre mais je ne pouvais pas tenir les choses au-dessus de 50 livres), je l'ai balancĂ©e sur le cĂŽtĂ©, et elle a arrĂȘtĂ© de frapper et de crier qu'elle a juste commencĂ© Ă  sangloter dans mon Ă©paule. Quant Ă  maman, elle est restĂ©e lĂ  trop choquĂ©e pour parler, apparemment papa ne l'Ă©tait pas, « pouvons-nous tous parler s'il te plaĂźt ? »Il a pointĂ© du doigt le canapĂ©. Une partie de moi voulait faire comme Sophie, mais l'autre partie de moi (mon cĂŽtĂ© responsable ne se laissait pas faire) hocha la tĂȘte en allant vers le canapĂ©, assise, alors qu'un enfant trĂšs pĂąle et fragile Ă©tait sur mes genoux en train de pleurer. Maman s'assit lentement, papa tira une chaise assise en face de nous.

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