Ndomè était considérée comme la fille la plus illettrée du quartier en plus d'être palabreuse, n'étant jamais allé a l'école, elle préférait rester au quartier a pratiquer des petits métiers tels que la couture, la coiffure, la baby-sitter et pleins d'autres petits job, n'ayant pas assez de revenu pour s'occuper de sa pauvre mère malade, elle décida dès lors de travailler a son propre compte, en ouvrant un petit kiosque sur la route ou elle vendait des sucreries, des petites friandises en plus de ça, elle faisait de la recharge de crédit, en d'autres termes elle était la call boxeuse du quartier, c'était un métier qu'elle aimait mine de rien car elle y trouvait son épanouissement en plus de ça elle pouvait désormais épargner de l'argent, et le gérer a sa guise, mais aussi c'était un réseau de commérage ou toutes les filles et femmes du quartier prenaient plaisir a venir s'installer et faire des racontages sur la vie des autres en sa compagnie, parfois dans le but d'obtenir un prêt d'argent ou de crédit téléphonique, parfois pour un simple loisir !!! Ndomè : vraiment Mado ce que tu fais là n'est pas bien, moi quand j'entend un japap ici je cours te dire, même quand tu dors parfois c'est moi qui viens te réveiller dans ta chambre pour t'afférer Weeeeerrr Ndomè, il y'a encore eu quel affairage je ne t'ai pas dis maa, n'est ce pas le dernier c'était la bagarre entre mami ndjansan et son chaud le boutiquier jusqu'à les machettes sont sorties, il y'a encore eu quel cette fois ? Humm celle de mami ndjansan là même hummm en tout cas j'arrive sur son cas après, je disais donc que tu n'es pas au courant que la fille de mami bouillon est enceinte, et c'est comme ça le 3e tour hein, la fille là veut seulement faire l'équipe de football ? Hein maman, ne me dit pas, tu l'as vu où ? Elle est passé ici avec son long ventre, j'étais entrain de ranger mon kiosque, il était peut être 21h comme ça, et c'était dans le noir elle croyait que je ne l'ai pas vu, elle passait elle trainait le ventre comme une vieille wolowoss, quand j'ai toussé, elle a même sursauté, vraiment les filles sont bêtes ici dehors, après les 2 enfants 2 pères qu'elle a déjà fait là... Voilà le 3e et je suis sûre que c'est un autre bandit, après faut voir comment sa mère villageoise là se vante au marché que oh ses filles ont le bac, l'autre a la licence, l'autre est ceci Yeuchhh Mama moi je n'ai même pas le Cep, mais je sais fermer mes cuisses, après on va accuser notre kounkouma, elle voulait même se cacher hein mais je lui ai bien vu Aka toi aussi Ndomè, je t'ai déjà dis quand il faut utiliser lui, la, le n'exagère pas avec ton français bancal là Tsuip regardez moi celle qui me parle, depuis que tu fréquentes là tu es où avec, on parle des gens comme ça toi-même tu n'es pas facile, ton enfant que tu as fais avec l'albinos là jusqu'à tu caches tu crois qu'on ne connait pas, on vous envoie a l'école vous partez écartez vos fesses avec les poiles dedans, tu connais seulement parler pour les autres, alors que toi-même tu es dedans Tsuip je sais même pas pourquoi je suis venu ici, pardon bye Oui lève toi tu pars, libère mon tabouret Je ne viens même plus ici, je vais voir qui va encore te dire les choses Que l'autre ci c'est toi qui m'avait d'abord dit, je suis votre carrefour, votre aéroport montez vous descendez vous allez toujours garer ici, est ce que je pars loin, c'est mon comptoir ici, on appel ça le secteur, est ce que je cours, et fais tu viens me donner mes 500 de crédit de la dernière fois, avec tes minces pieds, c'est vous qui parlez le gros français, mais si on ouvre vos dossiers ici on ne va pas finir de traiter tellement c'est a beaucoup malchance !! Ndomè était une jeune fille âgé de 25ans, qui vivait uniquement avec sa mère dont l'histoire relaterait que son père l'aurait abandonné a sa naissance soit disant qu'il n'était pas son géniteur, et donc sa mère étant toute seule au monde s'était battu pour l'élever toute seule, raison pour laquelle elle n'avait pas poussé dans les études pour manque de moyen par cette dernière !!!...c'était une fille appréciée par certains de part sa casquette de fille battante, qui savait d'où elle venait et faisait le nécessaire pour changer sa situation mais a la fois dénigré par d'autres de part son caractère de commère, d'illettrée, de palabreuse, et biens d'autres choses négatives qui la qualifiait et qui par moment faisaient fuir les hommes, mais dans le fond elle était quelqu'un de plutôt ouvert et sympathique mais seulement allait elle s'éternisé dans ce métier dans lequel elle y trouvait son compte où alors comptait elle voir plus loin que le bout de son nez ?
Ndomè était considérée comme la fille la plus illettrée du quartier en plus d'être palabreuse, n'étant jamais allé a l'école, elle préférait rester au quartier a pratiquer des petits métiers tels que la couture, la coiffure, la baby-sitter et pleins d'autres petits job, n'ayant pas assez de revenu pour s'occuper de sa pauvre mère malade, elle décida dès lors de travailler a son propre compte, en ouvrant un petit kiosque sur la route ou elle vendait des sucreries, des petites friandises en plus de ça, elle faisait de la recharge de crédit, en d'autres termes elle était la call boxeuse du quarti
er, c'était un métier qu'elle aimait mine de rien car elle y trouvait son épanouissement en plus de ça elle pouvait désormais épargner de l'argent, et le gérer a sa guise, mais aussi c'était un réseau de commérage ou toutes les filles et femmes du quartier prenaient plaisir a venir s'installer et faire des racontages sur la vie des autres en sa compagnie, parfois dans le but d'obtenir un prêt d'argent ou de crédit téléphonique, parfois pour un simple loisir !!!
Ndomè : vraiment Mado ce que tu fais là n'est pas bien, moi quand j'entend un japap ici je cours te dire, même quand tu
dors parfois c'est moi qui viens te réveiller dans ta chambre pour t'afférer
Weeeeerrr Ndomè, il y'a encore eu quel affairage je ne t'ai pas dis maa, n'est ce pas le dernier c'était la bagarre entre mami ndjansan et son chaud le boutiquier jusqu'à les machettes sont sorties, il y'a encore eu quel cette fois ?
Humm celle de mami ndjansan là même hummm en tout cas j'arrive sur son cas après, je disais donc que tu n'es pas au courant que la fille de mami bouillon est enceinte, et c'est comme ça le 3e tour hein, la fille là veut seulement faire l'équipe de football ?
Hein maman, ne me dit pas, tu l'as vu où ?
Elle est passé ici avec son long ventre, j'étais entrain de ranger mon kiosque, il était peut être 21h comme ça, et c'était dans le noir elle croyait que je ne l'ai pas vu, elle passait elle trainait le ventre comme une vieille wolowoss, quand j'ai toussé, elle a même sursauté, vraiment les filles sont bêtes ici dehors, après les 2 enfants 2 pères qu'elle a déjà fait là...
Voilà le 3e et je suis sûre que c'est un autre bandit, après faut voir comment sa mère villageoise là se vante au marché que oh ses filles ont le bac, l'autre a la licence, l'autre est ceci Yeuchhh
Mama moi je n'ai même pas le Cep, mais je sais fermer mes cuisses, après on va accuser notre kounkouma, elle voulait même se cacher hein mais je lui ai bien vu
Aka toi aussi Ndomè, je t'ai déjà dis quand il faut utiliser lui, la, le n'exagère pas avec ton français bancal là
Tsuip regardez moi celle qui me parle, depuis que tu fréquentes là tu es où avec, on parle des gens comme ça toi-même tu n'es pas facile, ton enfant que tu as fais avec l'albinos là jusqu'à tu caches tu crois qu'on ne connait pas, on vous envoie a l'école vous partez écartez vos fesses avec les poiles dedans, tu connais seulement parler pour les autres, alors que toi-même tu es dedans
Tsuip je sais même pas pourquoi je suis venu ici, pardon bye
Oui lève toi tu pars, libère mon tabouret
Je ne viens même plus ici, je vais voir qui va encore te dire les choses
Que l'autre ci c'est toi qui m'avait d'abord dit, je suis votre carrefour, votre aéroport montez vous descendez vous allez toujours garer ici, est ce que je pars loin, c'est mon comptoir ici, on appel ça le secteur, est ce que je cours, et fais tu viens me donner mes 500 de crédit de la dernière fois, avec tes minces pieds, c'est vous qui parlez le gros français, mais si on ouvre vos dossiers ici on ne va pas finir de traiter tellement c'est a beaucoup malchance !!
Ndomè était une jeune fille âgé de 25ans, qui vivait uniquement avec sa mère dont l'histoire relaterait que son père l'aurait abandonné a sa naissance soit disant qu'il n'était pas son géniteur, et donc sa mère étant toute seule au monde s'était battu pour l'élever toute seule, raison pour laquelle elle n'avait pas poussé dans les études pour manque de moyen par cette dernière !!!...c'était une fille appréciée par certains de part sa casquette de fille battante, qui savait d'où elle venait et faisait le nécessaire pour changer sa situation mais a la fois dénigré par d'autres de part son caractère de commère, d'illettrée, de palabreuse, et biens d'autres choses négatives qui la qualifiait et qui par moment faisaient fuir les hommes, mais dans le fond elle était quelqu'un de plutôt ouvert et sympathique mais seulement allait elle s'éternisé dans ce métier dans lequel elle y trouvait son compte où alors comptait elle voir plus loin que le bout de son nez ?
Mère Ndomè : Ndomè s'il te plaît dépêche toi il est déjà 10h tu es encore a la maison
Ndomè : weeeerrr j'ai presque fini, il faut que je t'arrange tout comme ça tu n'auras pas de problème quand je serai en route
Ne t'inquiète pas je vais me débrouiller
Aka maman toi aussi tu es là tu es malade tu marches a peine laisse moi prendre soin de toi, tu crois que tu as quelqu'un d'autre a part moi ? Bon j'ai fini voici 20000 si le bailleur vient tu lui donnes 15000 et tu gardes les 5000 comme d'habitude
Ok mon bébé, mais part part et s'il te plaît fais attention, quelqu'un te parle mal tu regardes seulement, pardon
Ndomè tu es tout ce que j'ai pitié, ne fais les problèmes avec personne là-bas au carrefour
J'ai compris maa, a tout a l'heure !
C'était son quotidien, s'occuper de sa mère tous les matins avant de sortir, cette dernière avait eu un accident très grave qui lui avait coûté sa jambe, mais grâce au traitement qu'elle suivait, elle se portait de mieux en mieux mais seulement elle ne pouvait plus marcher aussi facilement, raison pour laquelle elle passait ses journée a la maison a dormir ou a visionner !!
Ndomè pourquoi tu es arrivé tard aujourd'hui comme ça ? ( lui demanda sa voisine coiffeuse )
Je m'occupais d'abord de ma mère mama, tu ignores quoi ?
Ah oui c'est vrai hummm quand tu vas partir en mariage elle va faire comment ?
Je pars avec elle, est ce qu'il y'a un problème a ça ?
Tu me fais rire hein, tu crois que ton mari va accepter t'héberger et héberger ta mère ?
Il n'accepte pas pourquoi ? Regardez moi celle-ci et puis on t'a dit que ce sera le genre du viens on reste comme ce que tu fais là ? Vraiment Cindy dis moi une chose, tu es une belle fille tu as ton petit salon ou tu gagnes ton petit argent pourquoi aller t'installer chez un homme qui te maltraite ma soeur, le mariage là est forcé ?
Qui t'a dit que mon homme me maltraite ? Vraiment hein c'est tout ce que vous savez faire ici, médire sur les gens
Qui a médit sur toi ? Et puis est ce que ton gar ne te tape pas, tu oublies vite hein, c'est pas ici dans mon call box que tu avais appelé ta soeur de venir t'aider a porter tes choses ? Aujourd'hui le mariage est sucré tu le défends
Oui mais ça c'était depuis, il a changé hein, euil il a changé, maintenant je suis heureuse, on va même bientôt se marier et quitter le quartier si vous aimez trop le kongossa surtout toi
Mama c'est tout le bien que je te souhaite oh, tu n'es pas comme tes
soeurs là qui tombent enceinte n'importe comment
Avec quel genre d'homme même, les petits agresseurs du quartier, tu n'es même pas venu tôt c'était chaud ce matin entre la fille qui habite derrière ici noire comme ça, salle comme le porc
Euh Sabine, elle a aussi 4 enfants, son mari l'a chassé avec les enfants, elle-même d'abord est trop sale la fille là hein avec son teint là
Tu connais !!...apparemment il est donc venu là très tôt pour voir ses enfants mama, c'était la bagarre générale le quartier est sorti
Merde et j'étais où ? La fille de Sabine là d'abord a trop la bouche, comme son nom c'est sabine, mami sabitou, elle fait
toujours comme si elle connait tout je suis sûre que l'homme d'autrui l'a bien tapé
Jusqu'à blesser, fallait voir comment elle cherchait ses sans confiances en brousse
Vraiment vous les filles du quartier si où vous êtes pressé pour aller où oh, Ndomè ne sait pas, moi pour qu'un homme lève la main sur moi hein, il va beaucoup confirmer...
Pendant qu'elles étaient entrain de discuter, tellement elles étaient concentrées qu'une voiture avait garé devant le call box de Ndomè, il ne s'arrêtait pas de klaxonner mais elle n'entendait rien, il était obligé de descendre de son véhicule...
Lui : mais je dis hein, pourquoi vous les call boxeuses vous n'aimez pas rester a votre poste comme ça, je klaxonne vous êtes concentré dans les commentaires
Euil le père pardon désolé, bonjour, je n'ai pas entendu
Comment tu vas entendre, or c'est pas possible ça, fais moi le transfert de 5000
Mince le père pardon ne vous fâchez pas, c'est la fille là qui m'embrouillais, merde j'ai failli rater un dure pointage
La prochaine fois j'irai a côté, tiens et donne moi 5000
Weeeerrr je vais prendre 5000 où maintenant, le père pardon un instant je cherche la monnaie
Non non si c'est pour me perdre encore le temps là c'est bon, tu peux garder
Eweeeeee merci papa, que Dieu vous bénisse et vous donne encore beaucoup beaucoup d'argent, qu'il multiplie votre richesse au centuple
Le monsieur était déjà parti mais elle continuait de lui faire l'atalaku, y'avait des journées comme ça où elle gagnait beaucoup de pourboires, c'est ce qui lui plaisait le plus dans ce job, elle ne rendait compte a personne, elle était son propre chef, l'argent qu'elle gagnait était pour elle et sa mère, elle n'avait pas de copain, mais ça ne l'a dérangeait pas du tout car elle ne trouvait pas encore d'utilité a en avoir, car elle ne voulait pas finir comme les filles de son quartier avec des enfants en désordre sans situation fixe, par contre elle avait son pote Hermann avec qui elle s'entendait bien et qui
ne passait jamais une journée sans venir la voir en route !!
Lui : ma call boxeuse de luxe
Elle : toujours imité mais jamais égalé
(Eclatant de rire) vraiment Ndomè si je meur c'est que c'est toi, c'est comment la go ?
Ah je suis moi là non
Je suis sûre que là où tu es tu as déjà travaillé au moins 50000
Aka et pour toi 50000 c'est l'argent ?
Ce n'est pas l'argent que c'est quoi ?
J'ai au moins mon argent dehors 15000 parce que c'est chacun qui vient dire fais
moi le transfert je vais payer après, après là c'est moi qui court encore derrière les gens, vraiment le travail de call box si n'est pas facile
Tu vas faire comment, c'est ça que tu as choisis il faut bien que tu t'occupes de ta vieille
Ah oui oui, j'ai pas le choix, je n'ai pas moi quelqu'un sur qui m'appuyer comme certaines filles de ce quartier qui ont plusieurs chaud qui leur donne l'argent
Quel genre d'argent même, ne les vois pas comme ça hein ce sont les souffreteuses, les bonnes panthères et les vendeuses de piment tu ne dois même pas les envier
Qui ? Moi Ndomè !! Envier les bordelles là, c'est que je ne suis pas normale, faut
les voir comment elles montent et elles descendent, je suis seulement assise ici je les regarde, après c'est Ndomè donne moi un peu 100f, donne moi 200, 500, tout ça même d'abord c'est fini, je ne peux pas souffrir sous le soleil comme la pluie pour que les gens viennent me déranger, même mes 5f plus personne ne verra, même le crédit njoh là je ne donne plus et la personne qui va tenter de regimber je le remet a sa place
Yessooo ma call boxeuse de luxe, la seule fille qui se bat dans ce quartier, mais il faut souvent aussi bien t'habiller hein on ne connait pas où vient son bonheur, c'est quoi tous les jours avec les kaba, faut souvent mettre les jean, les jupes, les petites robes là, ton argent là te sert a quoi ?
A payer mes factures, les habillements et autre là je n'ai pas le temps, qui va me regarder pardon Herman excuse ma vie
Voilà alors ce qui est mauvais sur toi, tu ne sais pas que ta réussite peut provenir de cette route, tous les grands hommes véhiculés qui s'arrêtent pour faire le transfert là, acheter tes bananes et tout, l'un d'eux peut un jour te remarquer et c'est comme ça que ça commence
Pardon, j'en ai pas besoin, grands hommes mon oeil, pardon laisse moi tranquille !!
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