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Kidnappé par mon compagnon

Kidnappé par mon compagnon

Yasmin69e

5.0
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Chapitres

J'ai haletĂ© de douleur lorsque mon dos a heurtĂ© le sol, ma tĂȘte rebondissant sur le sol juste aprĂšs. La porte s'est refermĂ©e et des pas ont rĂ©sonnĂ© dans la piĂšce en direction de l'endroit oĂč j'Ă©tais allongĂ©. Une fois que les points lumineux ont quittĂ© mes yeux, j'ai vu le plafond, mais ce n'Ă©tait pas celui de la piĂšce dans laquelle je me trouvais normalement, celui-ci n'Ă©tait pas texturĂ© comme l'autre. J'ai senti ses mains saisir mes bras et me tirer vers le haut. Je fermai les yeux lorsqu'il me plaqua contre le mur. J'ai commencĂ© Ă  trembler, effrayĂ©e par ce qu'il allait faire. « Tu as essayĂ© de partir. » ~~ Cheyenne est une Ă©tudiante de 21 ans qui travaille Ă  temps partiel comme barmaid. Markus, 23 ans, est l'Alpha de la meute Shadow Moon. Que se passe-t-il lorsque Cheyenne, Ă©galement connue sous le nom de Chey, rencontre Markus, qui se trouve ĂȘtre son compagnon ? Quittera-t-elle son petit ami actuel pour ĂȘtre avec lui ou Markus devra-t-il aller jusqu'Ă  l'extrĂȘme pour trouver son Ăąme sƓur ?

Chapitre 1 01

01

Cheyennes

J'ai soupiré de soulagement en sortant du campus, enfilant mes lunettes de soleil et tirant mes cheveux de leur tresse. AprÚs avoir passé mes doigts dans mes cheveux, j'ai ajusté mon messager en arriÚre et je me suis assis sur un banc.

Je me suis penché en arriÚre et me suis fendu le dos, attendant que mon petit ami, Owen, vienne me chercher. Je suis sorti tÎt aujourd'hui, donc ça prendrait au moins dix minutes avant qu'il soit là.

J'ai entendu quelqu'un d'autre s'asseoir Ă  cĂŽtĂ© de moi alors j'ai jetĂ© un coup d'Ɠil vers eux. C'est un gars qui me regarde attentivement et c'est vraiment effrayant.

J'ai enlevé mes lunettes de soleil et l'ai regardé, « Pourquoi me regardes-tu comme ça ? »

Il regarda quelque chose de confus avant d'éclater en un sourire. On aurait dit qu'il allait essayer de me serrer dans ses bras mais je me suis levé avant qu'il ne le puisse et je me suis éloigné du banc.

Il s'arrĂȘta, l'air concentrĂ© jusqu'Ă  ce qu'il se lĂšve et fasse un pas vers moi. Je lui ai jetĂ© un coup d'Ɠil et je me suis Ă©loignĂ© sans bouger de l'endroit oĂč je me tenais.

« Hé, je peux te parler ? »le gars a demandé, attrapant mon bras. Sa main était étrangement chaude, d'une maniÚre étrange, et ça m'a fait peur. J'ai arraché mon bras avant d'entendre un klaxon de la rue.

J'ai levé les yeux et j'ai vu Owen faire un signe de la main depuis le siÚge du conducteur et j'ai couru vers la voiture, jetant mon sac par la vitre arriÚre avant de glisser sur le siÚge passager.

« Qui était ce type ? »Owen a demandé aprÚs que nous ayons commencé à conduire.

J'ai jetĂ© un coup d'Ɠil dans le rĂ©troviseur latĂ©ral, voyant l'homme se glisser dans une voiture avec deux autres personnes tout en parlant avec animation : « Je ne sais vraiment pas. Il s'est juste assis Ă  cĂŽtĂ© de moi et me regardait d'un air effrayant. »

Owen a commencĂ© Ă  rire, me faisant le regarder fixement, « J'aurais pu ĂȘtre violĂ©e ! »

« Je vous connais, vous auriez juste crié au feu et amené tout le monde à vous regarder les gars, le faisant s'enfuir. »

J'ai roulé des yeux, mais il avait raison, j'aurais crié au feu aussi fort que possible, « Tu me connais si bien. »

« Je sais, » dit – il alors que nous nous arrĂȘtions au club, « Je t'aime et je te verrai aprĂšs le travail ! »

Je lui ai souri : « Ouais, je te retrouverai à l'appartement, je t'aime aussi ! »Il s'est éloigné, est parti travailler chez Red Lobster, oui, il était serveur.

Je me suis retourné et suis entré dans le club. On avait encore une heure avant l'ouverture donc ça ne sentait pas trop l'alcool.

J'ai fait signe au DJ : « Hé Kev ! »

« Hé Chérie ! Comment ça pend ? »

J'ai juste roulé des yeux vers lui, il aimait essayer d'agir cool mais vraiment il était juste super ringard.

Je suis allé à l'arriÚre dans le salon/vestiaire des employés. J'ai ouvert mon casier et j'ai sorti mon uniforme qui se composait d'un short noir court (pas d'un short booty un peu plus long que ça) et d'un débardeur blanc surdimensionné avec des lÚvres dessus.

Je me suis rapidement changé dans la seule salle de bain des employés, puis j'ai tressé mes cheveux en queue de poisson sur le cÎté. Je suis entré dans le club en souriant alors que je glissais derriÚre le bar.

J'adorais ce travail parce que je recevais toujours beaucoup de conseils, que les gens aient l'intention de me donner un supplément et de partir ou non.

Une demi-heure plus tard, la musique battait son plein et le club a ouvert, nous avons eu un flux constant de personnes jusqu'Ă  ce que ce soit un tas bruyant de fous.

C'était un travail facile une fois que vous saviez comment comprendre les gens ivres et que vous saviez quelle boisson était quoi. Je recevais déjà un tas de conseils et ce n'était que 45 minutes aprÚs le début de mon quart de travail.

J'ai rapidement donnĂ© ses coups Ă  une fille bavarde et je me suis tournĂ© vers la personne suivante, qui se trouvait ĂȘtre le fluage du banc.

« Qu'est-ce que je peux t'avoir ? »Je lui ai demandé comme je l'ai fait pour tout le monde.

« Toi », m'a-t-il dit d'un air effrayant.

J'ai roulé des yeux, j'avais changé le nom d'une boisson en « Vous » spécialement pour cette raison.

« Un » Vous « qui arrive tout de suite ! »Je me suis dĂ©tournĂ© de lui et j'ai mĂ©langĂ© les bons liquides ensemble, en le glissant vers lui, « Ça fera cinq dollars. »

Il m'a donné un cinq et je l'ai mis dans la caisse enregistreuse.

Je me suis tourné vers la personne suivante qui a commandé un plateau de boissons et je me suis mis au travail pour les mélanger pour lui.

Je me suis retourné et je mixais quand j'ai entendu un halÚtement collectif de la foule, ce qui signifiait que quelqu'un venait de frapper quelqu'un d'autre.

Je me suis retourné et j'ai vu l'homme étrange aussi sur celui qui avait commandé les boissons, le frappant encore et encore.

J'ai glissé par-dessus le comptoir, l'ai tiré en arriÚre et l'ai traßné jusqu'à la porte. Je l'ai poussé vers l'un des gardes et je me suis précipité vers l'autre personne.

Deux gars m'ont dĂ©passĂ©, se prĂ©cipitant du cĂŽtĂ© du mec Ă©trange et je me suis agenouillĂ© Ă  cĂŽtĂ© du gars par terre. Le DJ m'a jetĂ© la trousse de premiers soins et je lui ai donnĂ© le chiffon propre pour arrĂȘter son nez qui saignait. J'ai nettoyĂ© les coupures sur son visage, probablement Ă  partir d'un anneau, et j'ai mis des pansements dessus.

Au moment oĂč j'ai eu fini, son nez avait cessĂ© de saigner, alors nous l'avons envoyĂ© aux toilettes pour qu'il se nettoie et je suis retournĂ© au travail, offrant rapidement Ă  tout le monde les boissons qu'ils voulaient.

Le reste de la nuit s'est passĂ© rapidement et avant que je m'en rende compte, c'Ă©tait l'heure de la fermeture et j'enfilais mes vĂȘtements normaux, une paire de leggings gris, un dĂ©bardeur ample bleu marine et un sweat-shirt rouge gĂ©ant.

J'ai mis mon sac messager sur mon épaule et j'ai commencé à rentrer chez moi. J'ai envoyé un texto à Owen, disant que je venais de partir, et je suis sorti par la porte, disant au revoir au propriétaire qui comptait l'argent.

J'ai commencĂ© Ă  marcher, c'Ă©tait la nuit mais les lumiĂšres de la ville l'ont rendue sombre au lieu d'ĂȘtre sombres. Je me sentais toujours calme Ă  ce moment-lĂ , il y avait encore des gens dehors, mais pas trop et c'Ă©tait paisible.

Les taxis jonchaient encore les rues et les touristes Ă©taient dans les restaurants, laissant les trottoirs un peu vides mais il y avait encore du monde ici et lĂ .

Je me suis arrĂȘtĂ© Ă  un passage pour piĂ©tons, attendant que le panneau de signalisation s'allume et je me suis appuyĂ© contre le poteau en tenant le feu de circulation.

La petite personne est devenue blanche à Je suis allé traverser la route quand j'ai enroulé ma main autour de ma taille et de ma bouche. Une voix me chuchota à l'oreille : « Ne fais pas de mouvements brusques et je ne te ferai pas de mal. »

Marque

« Ne fais pas de mouvements brusques et je ne te ferai pas de mal », lui ai-je chuchoté à l'oreille. Je n'essaierais évidemment pas de lui faire du mal de toute façon, mais elle ne le savait pas.

Elle s'est raidie dans mes bras et j'ai commencé à la traßner jusqu'à la voiture quand elle a commencé à se tortiller.

Elle lutta et enroula ses jambes autour du poteau sur lequel elle s'Ă©tait appuyĂ©e. Je devais l'admettre, elle Ă©tait petite mais extrĂȘmement forte. Je ne voulais pas lui faire de mal alors j'ai appelĂ© Jason.

« Jason, sors d'ici et aide-moi ! »

J'ai entendu la porte s'ouvrir et j'ai vu Jason courir vers ses jambes, lui prenant les chevilles et les lançant vers moi. Je me suis rapidement Ă©loignĂ© du poteau et l'ai poussĂ©e dans le coffre de la voiture oĂč je savais qu'elle ne pouvait pas sortir.

Je l'avais complÚtement vidé et je m'étais assuré qu'il y avait beaucoup de place pour elle, ce qui n'était pas difficile étant donné qu'elle faisait la moitié de ma taille et que je pouvais y entrer facilement.

J'ai emporté son sac messager et son téléphone avant de fermer le coffre.

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