Genre: viole, drogue, meurtre, torture, sexe Je pleure encore et encore, comment j'ai fais pour en arrive lĂ . J'Ă©tait une fille normale comme les autres sans problĂšmes. J'Ă©vitais a tout prix d'ĂȘtre au centre d'attention. Ma vie se rĂ©sumait a parti au lycĂ©e et rentrer chez-moi dans notre petite appartement. J'adorai voir mon voisin Nathan chaque matin faire ses exercice de muscle. D'ailleurs, je passait la plupart de mon temps en bas de notre immeuble pour espionner les bosseur dans la salle de gym. C'Ă©tait tellement excitant. Les voir torse nu entrain de se battre toute en sueur me donnait l'impression d'ĂȘtre dans les bras de Nathan. Il Ă©tait tout le temps le vainqueur, il battait tellement super bien. J'aimais regardez mon pĂšre prĂ©parer le diner toute les soir mais tout sa , c'Ă©tait qu'un souvenir. Maintenant je suis dans l'ombre pas pour jouer au hĂ©roĂŻne mais pour souffrir. Ma vie est parti en vrille, je rĂȘvait d'ĂȘtre une enseignante ou mĂȘme une ingĂ©nieuse. Mais ces rĂȘve ne seront jamais rĂ©alisĂ©. Mon pĂšre a Ă©tĂ© tuĂ© devant mes yeux ,par cette homme , ma mĂšre est morte du cancer de seins dĂ» a notre pauvretĂ©. C'Ă©tait un soir et tout s'est transformer en cauchemar. J'ai Ă©tĂ© kidnappĂ© par la mafia italienne. D'aprĂšs les informations que j'avais retenu dans la salle de bain miteux. Nous sommes nombreuses a ĂȘtre enfermĂ© dans les cages, les autres ont le droit de sortie mais pas moi. Je suis dans cette cage depuis longtemps, je ne sais pas depuis combien de temps , la seule chose que je sais c'est que j'avais 16ans quand j'avais Ă©tĂ© enfermer dans cette cage. A chaud fois qu'il vient, c'est pour me forcer a faire des chose ignoble, ma derniĂšre tentative d'Ă©vasion date de quelques jour si je peut dire sa vue que jamais , je ne vois la lumiĂšre du jour. J'ai Ă©tĂ© sĂ©vĂšrement punir par mon maĂźtre qui porte tout le temps un masque. Il ma fessĂ© durant des heures et violer par tout les trou possible, je prend un bain si seulement il veut profiter de moi. Je suis tout le temps nuit , rĂ©concilier sur moi-mĂȘme. J'ai plusieurs fois essayer de corrompre le garde devant ma cage mais , ils sont comme des statue. Il n'obĂ©ir qu'au ordre de Leur patron. La derniĂšre fois que j'avais bouffĂ© quelques chose, sa date d'hier. Je l'avais sucĂ© de mon plein grĂ© pour avoir a manger. Je sais que jamais, je ne sortira d'ici , je ne me reconnait plus, salle de la tĂȘte au pied souiller comme une malpropre. - Diego dis-je en appelant le garde. S'il te plait je peux avoir un peu d'eau ? - Ferme la et reste tranquille. - S'il te plait - LA FERME Crit-il en sortant sont arme. Le patron avait insister sur le faite que tu es punir tu n'as droit a rien. Mon nom c'est Alesia Williams ĂągĂ© de 16 ans kidnappĂ©e par un homme sans cĆur dont j'ignore le nom.
1
*** Alesia
J'ai essayer de fermer les yeux ce soir Mais j'ai peur qu'il revient encore une fois. J'ai compris qu'il est en voyage depuis quelques jours.
Je vais profiter pour me reposer avant sont retour.
Je ferme les yeux en repensant a ma vie d'avant Nathan remarquera t-il mon absence ? Es que les autoritĂ©s ferons tout ce qui est en leur pouvoir pour me retrouver ? Je perd confiance , personne ne se souciait de moi peut ĂȘtre sauf les pompon girl du lycĂ©e qui me ridiculisait tout le temps.
Je rĂȘvait d'une conte de fĂ©e avec un mari parfait mais tout sa, c'est du passĂ© maintenant.
Les claquement de talon au sol me faire ouvrir les yeux sur les filles qui sort de temps en temps. Elle, sont habiller vulgairement. Sting et soutif.
- HĂ© m'appelle une d'entre elle en me regardant Cynthia et toi ?
- Alesia dis-je la bouche toute pĂąteuse.
Elle sourit juste et continue son chemin et moi je la regarde, elle a droit a la liberté mais pas moi, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter sa.
La porte menant à je ne sais ou s'ouvre et un homme entre a l'intérieur et s'approche de Diego pour oui murmurer quelques chose a l'oreille que je meurt d'envie de savoir. Leur regard se dirige vers moi et je les regardes a mon tour mais trÚs vite, je baisse le regard quand il ouvre légÚrement sont t-shirt pour me montrer son arme.
L'homme ressort de la piÚce et Diego se dirige vers moi , presque 1m60, il est roux les cheveux couper les yeux amande , le visage presque parfait. Mais , les horreurs qu'ils commet devant moi, me dégoute.. Une fois devant ma cage, il sort la clé de sa poche et m'ouvre. Je le regarde en fronçant les sourcils, il me laisse sortir si seulement, mon cauchemar a besoin de moi.
- Qu'est ce qui se passe dis-je toute tremblante.
- Vas prendre un bain dit-il en me tirant vers la salle de bain horrible qui me donne envi de vomir.
- Il est du retour ?
- Oui
- Je peux te poser une question ? Demanda je en le regardant.
- Vas y
- Je suis ici depuis quand ?
- 2 ans dit-il en me poussant la piĂšce et ferme la porte derriĂšre moi. Tu as 5 minutes.
Quoi ? Jai 18 ans maintenant Je fronçant les sourcils je suis ici depuis tout ce temps et j'ai pas le droit de sorti, manger et boire mais les nouvelles bĂ©nĂ©ficie mĂȘme du salaire. Il s'achĂšte mĂȘme des robes de luxe. Et moi alors ? Je suis quoi une petite pute facile a pĂ©nĂ©trĂ© ?
J'ouvre l'eau du robinet gratte mon corps de toute mes forces. Il faut que je fasse quelque chose, je ne peu pas coucher avec lui aujourd'hui ni demain , j'ai encore les séquelles de la derniÚre fois qu'il ma trainer dans chaque recoin de la cage sous le regard des autres filles.
J'ai les muscle encore frĂȘle , la fatigue sous les paumes. L'intimitĂ© en feu .
- Putain murmura-je en voyant le gel de douche vide , sans sa , j'ai toujours la peau toute salle et collant du a tout ses sperme qu'il laisse sur moi, et je déteste tellement sa que sa devient impossible pour moi de vivre avec sa....
AprÚs quelques minutes, je finir pas me libérer un peu de ses saleté et sort de la piÚce avec une serviette autour de mon corps bleuté. Diego regarde chaque parti de mon corps en fronçant les Sourcils.
- J'espĂšre pour toi que tu es propre
- Oui...oui bien sur
Il ouvre un petit sac juste a coté de lui et sort un string vraiment, vraiment minuscule et un soutien gorge.
C'est impossibles que mes seins puisse bien se tenir dedans et c'est la premiÚre fois depuis mon arrivé dans ce taudis que j'ai quelques chose a mettre. Et je sais en moi que si jamais, je met sa, sa serai une souffrance pour moi.
- Je ne veux pas me prostituées dis-je en reculant.
- C'est le patron qui veut que tu met sa et si j'était a ta place, Je n'hésiterai pas deux fois avant de le mettre.
- S'il te plait dit lui que je suis malade, je ne peut pas porter sa.
Il sort son talkie walkie et me regarde d'un Ćil qui n'exprime pas du tout l'amour.
- Capo dit-il dans le talkie-walkie.
- Attend je vais le mettre dis-je en me précipitant pour prendre de ses mains cette chose.
Je m'habille devant lui comme il l'avait exiger et me regarde dans le miroir qu'on viens de nous installer. Il pose son arme sur la petite table a cotĂ© et commence a dĂ©mĂȘlĂ© mes cheveux comme un pro.
- Tu as apprit sa oĂč dis-je en le regardant a travers le miroir.
- Ma mĂšre Ă©tait coiffeuse.
- Elle était méchante ou gentille
- Gentille mais n'essaye pas de me manipuler ou tu risque de le regretter.
- Je....je...ne voulais pas de manipuler
- Oui c'est sa dit-il en déposant la peigne sur la table. C'est bon on y vas
- S'il te plait j'ai pas la force de subit tout sa dis-je en le suppliant.
- Avance
Ont sort tout les deux de la salle et j'Ă©tait sur le point de retourner dans ma cage mais il m'attrape par le bras et ouvre la porte principale et me pousse a sorti.
- On vas ou ? Demanda je avec la peur au ventre.
- Nouveau habit , nouvelle chambre
C'est la premiĂšre fois depuis 2ans que je suis dans cette maison, jamais j'ai pas eu le droit de sorti, je ne connais mĂȘme pas si ont n'est dans une cabane, une sous sol ou je ne sais ou.
Prolonger dans un silence radio, il marche au long du couloir qui est vraiment pas rose. Je regarde par chaque recoin en retenant de vomir mes tripes.
Il ouvre encore une porte sur les escaliers et ont monte quelques minutes de marche qui me semble une éternité, on atterri dans un couloir un peu mieux et il sort une carte de sa porche et passe sur la petite lumiÚre rouge sur la porte et la porte s'ouvre.
Il entre a l'intérieur et me traine directement sur le lit.
- Essaye de t'en fuir, et tu va vivre en cauchemar.
AprĂšs ses parole qui ma faire frissonner de peur, il sort de la piĂšce et ferme la porte. Je regarde chaque recoin de la salle et sourire c'est tellement propre et toute blanche. J'ai tellement peur de le tacher, le lit est confortable peut-ĂȘtre que j'ai bĂ©nĂ©ficier de leur gratitude.
Je fronce les sourcils en voyant une menotte sur le lit , je commence a trembler de plus belle.
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