La peur...la haine....le dĂ©sespoir c'est la routine de Alba depuis la disparition subite de son pĂšre...elle se voir dans l'obligation de choisir le dĂ©roulement de sa vie, elle savait les risques mais elle l'a fait, mĂȘme si les passĂ© ne s'efface jamais
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~~~~~Alba VelĂĄzquez
Depuis deux semaines que mon pÚre a été enterré et le calvaire devient de plus en plus dure a supporter. J'ai plusieurs fois pensé a me suicider pour ne plus jamais a vivre sa mais, je n'arrive pas.
Au milieu de ses adolescents comme moi mais pas gros comme je suis, l'une d'entre elle me pousse et je me retrouve au sol, mes fesses me font tellement mal mais je ne veux pas pleurer, pas aujourd'hui.
Tout le monde me juge pour quelques chose que je n'avais jamais fait. Quel genre d'homme accepterait de me toucher de toute façon ?
Je suis parfaite pour ce rÎle, fais les corvée des autres, le genre de fille qui fait a chaque fois les devoirs pour les populaires pour avoir des insultes en retour
L'annĂ©e passĂ©e, j'avait oubliĂ© de faire les devoirs de Tyler, un homme que tout les femmes rĂȘve de sortir avec, le sportif, le populaire, il s'est fait humilier par le professeur de Math juste aprĂšs alors il a choisi de me pourrit la vie durant toute l'annĂ©e
Il m'a d'abord amadouer, me faisant croire que quelqu'un pouvait S'intĂ©ressĂ© a moi , durant quelques semaines, j'avais cru ĂȘtre a la hauteur, mais c'Ă©tait juste un piĂšge, on s'est juste embrasser rien de plus mais il a inventĂ© plus que ça
- Oups désolé microbe dit la fille en rigolant avec ses amis.
- Tu croyais quoi ? Que tu vas séduire mon mec sans conséquence ?
- Mais j'ai rien fait je te le promet.
- Ferme ta crapette, elle sens la merde
Je me retient de toute mes forces en essayant de rester forte devant mes ennemis.
- Tu sais que la grosse vache a tuer son pĂšre ?
Les larmes finissent pas couler au long de mes joue, je n'en peu vraiment plus de supporter une chose aussi horrible, juste ses paroles mon donner cette douleur en plein cĆur, j'ai l'impression qu'on vient de me poignarder.
- C'est faux mon pĂšre...
- On s'en fou de toute façon
- Oh oui....tu es....tellement...fort imite Tyler en rigolant avec ses amis.
Il a fait croire a tout le monde qu'on a coucher ensemble, mĂȘme s'ils le savent que rien ne sert rĂ©ellement passĂ©, il continuerons a m'harceler encore et encore, de toute façon je suis leur souffrent douleur unique
- Qu'est ce qui ce passe ? Dit cette voix que je connais trĂšs bien.
- On se verra plus tard salle garce dit la princesses du lycée en partant avec son ridicule copain et leur bande d'amis.
Professeur Diaz s'approche de moi avec se regard rassurant, il le faire tout le temps pour que je ne m'inquiĂšte pas.
Il ramasse les livre que j'ai prĂȘtĂ© a la bibliothĂšque et m'aide a me relever..
- Tout vas bien ? Dit-il en m'aidant a m'asseoir sur le petit banc a cÎté.
- Oui je crois bien dis-je en affichant un petit sourire a mon tour pour dissimuler cette chose qui me bouffe de l'intérieur
Deux ans que je connais monsieur Diaz qui m'avait garder en philosophie en seconde . il était trÚs différent des autres professeurs que j'ai eu.
Il était toujours présent contrairement a ma mÚre qui n'a rien a faire de moi, grùce a lui, j'ai pu retrouver la paix a chaque fois car il occupe un rÎle trÚs important dans le lycée.
En plus de sa, ce qui nous a rapproché comme pÚre et fille, c'est qu'il est non seulement gentil mais aussi, il vient de Mexique comme moi.
- Avec le temps, ils oublions
Sauf que Tyler n'oublie jamais rien
- Je l'espĂšre.
- J'ai appris pour ton pÚre et je suis vraiment désolé, je sais ce que sa fait.
Je tourne mon regard dans sa direction.
- Vous aviez déjà perdu quelqu'un ? Dis-je en essuyant les larmes qui s'échappent de mes yeux.
- Oui....ma femme..
- Qu'est ce qui s'est passé ?
- Elle est morte d'un tumeur de cerveau
- Oh....je suis vraiment dĂ©solĂ©, sa a dĂ» ĂȘtre trĂšs dur pour vous.
- Oui mais a prĂ©sent tout va bien mĂȘme si je pense de temps en temps a elle donc la douleur partira un jour mais pas tout
- Je n'arrive pas
- Tu y arrivera
- Je...il faut que je te parle de quelque chose dit-il en attirant mon attention.
- Je vous Ă©coute
- J'ai été affecté en Australie.
La seule personne qui tient a moi dans ce pays Ă devoir me laisser et je vais me retrouver seule a nouveau
- C'est une bonne idée dis-je en souriant de toute façon, je vais aller chez la tante l'été prochain
J'ai l'impression que cet été fait semblant de prendre énormément du temps.
- Je suis trĂšs heureux que tu puisse sortir , mais rassure toi, je part en Australie le jour ou tu trouvera la paix
- Tu n'est pas obligé
- Ăvidemment
- Je ne sais pas quoi dire pour te remercier pour tout ce temps a me protéger.
- Ne dit rien.
Je regarde cet homme qui me traite comme son propre enfant depuis quelques mois dĂ©jĂ et mon cĆur se serre
Pourquoi ma mĂšre ne m'aime pas autant que lui il m'aime ? Pourquoi ? Je suis maudit ?
N'ai-je pas droit a l'amour maternelle comme les autres fille de mon Ăąge ?
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