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Captive de Hans

Captive de Hans

Cherifath

5.0
avis
52
Vues
5
Chapitres

Deux ans que Jennifer Lawrence à quitter la France pour s'aventurer dans la nature loin de ce passée qui la hante de jour en jour mais elle ne s'étend pas à être là captive d'un criminel haut placé

Chapitre 1 Chapitre 1

Jennifer Lawrence

Les mains tendues vers

Reflet le bonheur de si bon matin, je regarde le paysage qui est étrangement magnifique ce soir , ce soleil de l'après midi l'impression d'être de retour à Los Angeles mais non, j'ai quitté cette ville il y a très longtemps pour revenir ici , là où j'ai passé toute ma vie, la ou démons sont enterré pour pouvoir rester très près de moi.

Si seulement je pouvais fuir Loin de tout ses peur et de toute ses regards de jugement faire maintenant 5 ans que personne n'a vraiment changé la manière de me regarder chaque jours

Mais je me suis habitué avec le temps, j'ai appris à subir les mêmes regards au fur des années.

Je finis par tiré les voiles et je me retrouve à nouveau au milieu de cette grande chambre qui me rappelle tant de souvenirs . Mais je vais y traverser.

Je finis par

Tomber sur mon lit le cœur battant, je sais que bientôt il demandera que je descends comme chaque coucher de soleil.

Ce cœur qui est désormais en miettes me faire toujours très mal physiquement a l'idée que le seul à qui j'avais confiance n'est jamais Cru juste parce-que je suis cette fille coincé qui reste toujours dans son coin ou juste parce-que j' ai toujours la grande gueule.

Comme chaque soir, la porte s'ouvrent mais cette fois, sur une domestiques différents des autres. Elle était nouvelle , sa façon de me regarder me montre clairement qu'elle me juge déjà a son tour.

Elle me regarde longuement d'un part hésitant, elle se dirige vers moi.

- Votre Oncle demande à ce que vous descendez maintenant rétorqua a-t-elle en rendant compte que je la regarde.

- vous savez que personne n'a le droit d'entrée dans ma chambre ? Murmure-je en me levant

- je n'étais pas au courant dit-elle simplement en quittant la pièce après m'avoir jetter un regard qui en dit long.

Après sont départ, je la fixe comme toujours, je fixe cette photo posé sûr ma table a chevets. C'était celles que j'étais .

Celles que j'aurai aimé rester pour toutes

Cette Petite fille de 12 ans, un chignon serré avec ses cheveux blonds , les yeux bleu c'était ce que j'étais avant. Une gamin innocent qui est à présent détruire par le passé.

Je ramasse mon appareil photo et mon sac au dos accompagné de mon téléphone que j'enfouis dans ma poche.

Je finis par quitter la pièce , en marchant dans les comme la zombies que je suis depuis toujours, je descends les escaliers et Ils Sont tous assit dans le salon.

Je me dirige vers l'extérieur mais la voix aigris de cet homme me faire ralentir dans ma courses

- Tu vas ou ? Demanda t-il alors que je suis de dos a lui.

- me prendre de quoi manger.

- tu deviens insolente de jour en jour

- oui sa c'est sur, elle joue toujours à la fille mystérieuse alors que c'est une traînée.

Oui Ce nom qui était devenu la mienne depuis 5 ans jusqu'à aujourd'hui

Je sais que ce nom est la mienne même si aujourd'hui j'ai 21 ans , ce nom que j'avais 16 ans est restée gravé sur ma peau et tout le monde le voit..

- Je croyais t'avoir appelé dit-il a nouveau

Je me tourne enfin dans sa direction. Cette fille qui était ma sœur, ma meilleure amie me lance un regard remplir de dégoût

- je reviendrai dans quelques instants

- c'est Quoi tout ce sac ?

Il quitte le sofa et s'approche de moi

J'ai grandi murmure je a moi même

Je ne suis plus là petite Jennifer.

Il me fixe une fois a ma hauteur , il espère que je deviens faible comme toujours mais en restant Forte, devants lui, c'est quelque chose qui n'as durée que avant que mes mains commence à trembler comme pas possible.

- Tu reviens ici toutes suites où tu auras ce que tu as toujours mérité.

Mes yeux se pose enfin sur cette femme assit , elle m'a mise au Monde mais, je ne l'ai jamais considéré comme mère, car elle ne mérite pas ce nom. Elle ne mérite pas de m'avoir comme enfants.

- évite de me regarder dans les yeux de cette façon.

Je serre mon sac contre moi avant d'ouvrir la porte et sort de la maison

Sous le regard de ses hommes dehors, je presse mes pars pour quitter la propriété le cœur en mil morceau. J'ai arrêté de parler il y a longtemps.

Mais ce soir, j'ai l'impression que mon cœur allait explosée a force de revivre les regards de jugement.

En marchant dans les rues , je sort mon appareil photo et comment a photographier ses belles maisons qui me donne autant le sourire.

Je finis par arrêter à la station services assit derrière le comptoir , je fixe Madame Collins qui me donne les directives et l'heure que je devrais fermée la supérette.

Il y a deux mois quand j'ai décidé de tout abandonner pour retrouner a los Angeles

Mais il fallait que je trouve le moyen alors je dégote tout les petits boulots.

- je pourrais avoir une avance ce soir ? Même si c'était dans un murmure, elle m'avait entendu et ses yeux verts m'ont fixé comme si je venais de dire une chose horrible.

- tu n'as pas passer hier

- je devrais travailler à la villa

- ma pauvres, tu devrais trouver de Quoi te sortie de cette misère.

Si seulement tu sais tout ce que je fais tout les jours pour gagnée de Quoi quitté cette ville.

Je la fixe a mon tour le regard triste, ce que je déteste faire de toutes ma Vie.

- c'est bon, tient dit-elle en sortant quelques billets de sont sac et me le tend. Voilà avec ses 100 € tu peux t'en sortir ce soir ma Petite et ne tarde pas à fermer juste 8 h du soir, il y a trop de voyous dans les environs faire attention.

- bonne nuit madame Collins

Elle sourit gentiment avant de sortir de la supérette

Assit dans cette supérette, je sort mon téléphone et comment a regarder les actualités.

Quelques heures après, je sort du comptoirs et commence a regarder la date de perimation de ses produits.

Mais aujourd'hui Rien n'est a mangé gratuitement alors, je prends juste un Chips et dépose un billets de 2€ dans la caisse

Continuer

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Romance

5.0

Prologue : Dans la pénombre de la vieille demeure Smith, le silence pesant semblait s'étendre, presque palpable. La grande table du dîner brillait encore des éclats des couverts en argent et des verres de cristal, témoins d'une soirée ponctuée de murmures et de regards en coin. Au centre de ce tableau familial, Edward Smith, patriarche et chef de la lignée, trônait en silence, le regard sombre fixé sur les visages de ses fils et petits-enfants. L'annonce de la visite inattendue de la famille Anthony avait laissé un goût amer dans l'air. Cette famille déchue, autrefois proche alliée, venait réclamer l'application d'un accord de mariage ancien, comme une dette oubliée, qu'Edward espérait ne jamais voir resurgir. En observant ses petites-filles, Stellah et Stacey, qui tentaient de défendre leur avenir, il ne pouvait s'empêcher de ressentir un mélange de frustration et de désarroi. Leur révolte était prévisible, légitime même, mais l'accord ancestral était inéluctable. C'est alors que la tension monta d'un cran, lorsque Richard, son fils cadet, désigna froidement Sandra, la plus jeune petite-fille, pour honorer ce mariage imposé. Sandra, la fille d'Andrew, celle que tous avaient dénigrée en silence, celle dont l'existence dans la famille n'était que tolérée. Son retour après dix-huit ans d'absence n'avait fait qu'amplifier le mépris à son égard, comme si elle représentait à elle seule les erreurs et les hontes de la lignée. Les regards se tournèrent vers Sandra. Cette dernière, d'un calme glacial, écouta les injures et le mépris qui fusaient de toute part. Les reproches, les mots cruels de ses grands-parents et oncles pleuvaient, tentant de la réduire à l'ombre qu'ils s'étaient évertués à voir en elle. Mais au milieu de cette tempête, elle se leva, silencieuse, et marcha lentement vers eux. Son visage impassible cachait une détermination que nul n'avait anticipée. - Je vais épouser Levy Anthony, déclara-t-elle d'une voix implacable, coupant court à toutes les protestations. L'effet fut immédiat : la pièce entière plongea dans un silence choqué. Et dans ce calme soudain, Sandra posa ses conditions, son regard défiant la famille entière. Elle avait accepté, oui, mais elle n'était pas sans armes. Les mots froids de Sandra firent frémir l'assemblée, rappelant à chacun l'ultimatum inscrit dans l'accord ancestral : si une des petites-filles refusait de s'unir aux Anthony, la fortune des Smith s'évanouirait dans des œuvres de charité, anéantissant la vie de privilèges à laquelle ils étaient accrochés. Ce soir-là, la maison des Smith fut témoin d'une scène qui changerait le cours de son héritage, où un simple accord allait sceller les destins et révéler l'inflexible volonté d'une jeune femme longtemps rejetée, mais qui allait, contre toute attente, renverser les règles de cette famille.

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