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Red temptation

Red temptation

LENEY

5.0
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226
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30
Chapitres

Il Ă©tait l'amour 💕 de ma vie. On s'Ă©tait promis bonheur et malheur. Il Ă©tait tout pour moi. Red temptation

Chapitre 1 01

Red Temptation

Chapitre 1 : L'élément perturbateur

*Nicanor *

« Mesdames, Messieurs, en vue de notre proche atterrissage nous vous invitons à regagner vos siÚges et à attacher votre ceinture. Assurer vous que vos bagages à mains sont situés sous le siÚge devant vous ou dans les coffres à bagages.... »

Annonçait l'hÎtesse.

Et merdeeee, j'étais tellement occupée à dormir que j'ai complÚtement oublié que je me trouvais dans un putain d'avion direction Cotonou.

Peut-ĂȘtre que le confort de la premiĂšre classe y est pour quelque chose ? Pensai-je en me servant une nouvelle coupe de champagne sous le regard interrogateur de l'homme assis Ă  quelques mĂštres de moi.

Bah quoi ? Je bosse comme une dingue et je n'ai pas le droit de profiter de mon fric ? Pensai-je en le toisant

J'ai envie de lui dire haut et fort ce que je pense mais j'ai plus important Ă  penser comme ma probable rencontre avec sa majestĂ© mon pĂšre et mes chĂšres sƓurs.

Je ferme les yeux, soupire bruyamment puis inonde mon esprit d'images plus intéressantes comme les soirées de folies que j'organiserai.

Je repense à ma derniÚre soirée dans ce bled, il y a deux ans

Perles, champagnes hors de prix et toute la jetset ouest-africaine juste pour MA soirée...

Ouais, je suis une putain de bonne organisatrice de soirée. Non, mieux, JE suis la meilleure.

Quand je me décide enfin à ouvrir les yeux, c'est pour constater qu'on est déjà à CadjÚhoun ce qui signifie atterrissage imminent.

Pendant que l'avion amorce sa descente, une idée de folie germe dans mon esprit : organiser une soirée de dingue ce soir.

C'est décidé, je le ferai.

***

-Ouloulouuu la plus belle femme du Bénin est de retour. Entendis-je une fois dans la cour de l'aéroport international Cardinal Bernardin Gantin.

Je souris avant de me déhancher à la façon d'une reine de beauté en disant :

-Et comment !

-Le teint qui tue. Dit-elle en me dĂ©taillant de la tĂȘte au pied

Je tourne sur moi-mĂȘme Ă  cette affirmation :

-Yeaah.

-Les boobinous qui les rendent fous. Ajouta-t-elle en touchant sa poitrine

Je l'imite tandis qu'elle se donne une petite tape sur les fesses en disant :

-La boule qui fait rĂȘver.

-Yeaaah.

-Et la classe qu'il faut : Nicanor Adjibi ! Conclut-elle

-Elle-mĂȘme. Dis-je en relevant fiĂšrement la tĂȘte

Nous rions ensemble avant de nous Ă©treindre nous foutant royalement des regards autour de nous.

-S'il y a bien une chose qui m'a manqué dans cette ville, c'est toi ma belle. Comment va ma Mélissa ?

-Pas aussi bien que toi !

Je fronce les sourcils et elle se dĂ©pĂȘche de prĂ©ciser :

-Je vais bien ma belle. Ne t'inquiĂšte pas.

-Le mari ? Le travail ? Les mÎmes ? Demandai-je en masquant tout signe de dégoût

Elle soupire avant de répondre en haussant les épaules :

-Comme d'hab'.

Ah, c'est si triste tout ça. Heureusement, que je suis libre comme l'air et que ma vie se rĂ©sume Ă  voyager, m'amuser, faire la fĂȘte et profiter de l'argent que je me fais en organisant des soirĂ©es et en vendant mes services dans les boĂźtes de nuit et l'Ă©vĂšnementiel.

-Je sais ce qui va te sortir de ta putain de routine. Dis-je, un sourire malicieux sur les lĂšvres

-Nicanor, ne me dis pas que tu planifies encore de m'entrainer sur un routeur jusqu'à Lomé ! Ou de m'inviter à une séance de boxe ! Dit-elle en reculant de trois pas et en écarquillant les yeux, la respiration hachée

Oui, je suis le genre de connasse qui aime vivre Ă  cent Ă  l'heure et qui ADORE les sensations fortes et tout ce qui n'entre pas dans le moule social.

Je fixe longuement la petite femme claire, mince, sagement enveloppé d'un tailleur strict qui s'accorde avec ses petits talons noirs, sa perruque nattée et ses grandes lunettes qui se tient en face de moi avant de mentalement me mirer : noire, des putains de grosses cuisses bien dévoilées dans ma tenue ultra courte qui met également en valeur les autres parties XXL de mon corps à savoir mes fesses et mes seins, des talons haut, vraiment hauts et mon inséparable coupe courte. A nous voir, on dirait vraiment deux mondes à part...

-Nica ? Nicanor tu es lĂ  ? Dit MĂ©lissa

-Oh oui. Que disais-je déjà ? Demandai-je en coupant court à mes pensées

-Ta nouvelle idée de malade. Dit-elle, limite effrayée

-Ah oui ! Figure-toi que pendant que l'avion atterrissait, j'ai eu l'idée d'organiser une soirée pour aujourd'hui et tu vas m'aider. Tu es d'ailleurs la premiÚre invitée.

-Nicanor, ça va ? Dit-elle en prenant l'unique valise que j'avais ramené de Cape Town.

En marchant, je réponds :

-Oui, pourquoi ?

-Primo, pour rappel, je suis mariĂ©e et j'ai deux enfants. Je doute fort que Xavier Ouorou me laisse aller Ă  une soirĂ©e avec plein, plein, plein d'alcool et de personnes Ă  peine vĂȘtues quand nos enfants ont Ă©cole demain et que je dois « remplir » mon devoir conjugal. Deusio, Mlle aprĂšs un tel voyage, vous devriez penser Ă  vous reposer, Ă  vous dĂ©tendre plutĂŽt qu'Ă  faire la fĂȘte. Tercio et le plus important, je crois que tu dois voir ton pĂšre ainsi que Sandra, Valentina et Nolwenn, tes beaux-frĂšres et ta demi-douzaine de neveux.

Je soupire avant de dire :

-Ouuuuuuuu j'appelle un ami, je réserve une suite et toi, tu m'aides à préparer ma soirée. Tu n'es pas obligée d'y assister Mel. Ouais, on va faire ça.

-Mais Nicanor...

-Allez, bouge tes fesses ma petite. Ce sera fun en plus Dis-je en sortant mon portable et en cherchant le numéro du directeur adjoint d'Azalai HÎtel

Elle protestait encore mais je l'entrainai Ă  ma suite l'obligeant Ă  me devancer pour me conduire Ă  sa voiture.

RÚgle n°2 : Le Non n'existe pas dans mon dictionnaire. J'obtiens toujours ce que je veux.

***

*16h plus tard, Route d'Erevan*

-Mlle Adjibi, les invités commencent par arriver. Me dit l'une des hÎtesses engagées spécialement pour cette soirée

-Vous pouvez commencer Ă  distribuer les paquets cadeaux. Les bloggeuses et web-magasines sont-ils lĂ  ? Mes escortes sont prĂȘtes ?

-Oui Mlle. RĂ©pondit-elle avant de s'Ă©clipser

J'inspire un bon coup avant de me diriger vers la vaste salle de bains de la chambre dans laquelle je me trouve.

Je retire rapidement mon peignoir et m'installe dans le bain spécialement concocté pour moi.

Les masseuses commencent par me masser la tĂȘte dĂ©liant progressivement tous les nƓuds qui me donnaient la migraine ces derniers jours. Je me vois dĂ©jĂ  Ă  Bali quand l'une des filles qui me massent les pieds me ramĂšne ici, dans cette villa cotonoise :

-Mlle, vous avez un appel. Dit-elle comme si elle avait trouvé le moyen d'aller sur la lune sans fusée

-Et ? Dis-je ennuyée

-ça m'a l'air d'ĂȘtre important. C'est le troisiĂšme. Insista-t-elle

-Et ? JE suis la seule à définir ce qui est important cocotte.

-C'est marqué : « Sa Majesté Papa »

DĂšs qu'elle sort ces mots, je me redresse

, prise de panique avant de me rallonger : Non, ce n'est rien. Comme toujours.

***

Il est 3 heures du matin : l'heure de mettre du piment dans la sauce. Je rajoute une couche de rouge sur mes lĂšvres et c'est parti.

Les hommes engagĂ©s pour l'occasion, vĂȘtus de draps et le visage Ă  moitiĂ© couvert de masques argentĂ©s se disposent en deux rangĂ©es. Ils sont 6 au total. Six hommes forts et virils.

-Allons-y messieurs. Ordonnai-je

Ils me portent Ă  la façon d'une reine jusqu'Ă  la piscine oĂč la fĂȘte bat son plein : C'est comme je l'ai planifiĂ©.

Pas une seconde de loupĂ©e : juste au moment oĂč le DJ dit « Nicanor Adjibi », je dĂ©file devant ce beau monde dans ma petite robe blanche aux cĂŽtĂ©s de deux de mes escortes. Le premier chanteur de la soirĂ©e entame une chanson dĂ©diĂ©e aux belles femmes africaines puis vient prendre ma main pour quelques pas de danses sous les cris du public.

La chanson achevée, je lance officiellement la cérémonie en allant saluer les invités.

Tout est parfait : le jacuzzi de champagne, les plumes blanches, les invités minutieusement choisis, les chanteurs, les danseuses, la barre de lap dance, la musique, les mets concoctés par les meilleurs chefs de la ville...

-Nicanor !

Je fais volte-face pour tomber sur un homme clair, élancé, musclé à souhait, tatoué et qui me sourit de toutes ses dents sous les regards envieux des femmes célibataires et en couple :

-Mario. RĂ©pondis-je platement en relevant bien la tĂȘte

-Tu te bonifie au fil du temps. Dit-il en me lançant un regard aguicheur

De la mĂȘme façon mais sur un ton suffisant, je rĂ©plique :

-Comme le bon vin. Je suis un excellent vin. Le meilleur en fait.

-Bien sûr. Le genre de vin que seul un expert peut déguster. Dit-il en me reluquant

-Tout Ă  fait.

-On danse ? Dit-il en me proposant sa main

Je fixe sa main pendant cinq bonnes minutes, consciente des regards avant de répondre :

-Non.

Il se rapproche de moi et me susurre Ă  l'oreille en entourant ma taille de ses longs bras :

-Je ne mords pas Nicanor. Danse avec moi.

Retirant délicatement ses mains, je me rapproche de ses lÚvres et réitÚre mon « Non ».

-Danse avec moi Nicanor. Je t'ai vu danser avec moins de tissu que la maintenant et dans des positions tout sauf innocentes ma belle. De quoi as-tu peur ?

-De rien. Je n'ai jamais eu peur de rien et tu le sais Mario. Mais ma réponse est et reste non : Je ne fais plus dans les petites bi*** qui se baladent partout ne respectant guÚre leurs petites copines. Lùchai-je avant de le regretter

-EspÚce de sal***. Dit-il en exerçant une forte pression sur mon poignet

Un homme sortit de nulle part, vint se mettre entre nous et appuya :

-Hey, toi ça suffit. Tu n'as pas entendu la demoiselle ? Elle ne fait plus dans les tailles XXS.

-Ouloulouuu. Mario, tu fais une taille XXS toi ? Dit quelqu'un dans le groupe qui s'était formé autour de nous

-Heureusement que je me suis désistée à temps. Dit une autre fille en se touchant les cheveux

-T'imagine comment ça doit chatouiller. Dit sa voisine

Les rires et les railleries allaient de partout tandis que les veines de Mario se dessinaient de plus en plus sur son visage.

Et merdeeee. Cet imbĂ©cile va gĂącher ma soirĂ©e et me faire perdre par la mĂȘme occasion un hypothĂ©tique demi-million.

Je me dĂ©pĂȘche d'appeler la sĂ©curitĂ© du regard.

1, 2,3. Trop tard : il vient de frapper l'autre type.

Ce dernier s'essuie d'un revers de la main la lÚvre avant de répliquer.

Si Mario, avait réussi à lui arracher quelques gouttes de sang de la lÚvre inférieure, lui en revanche, deux fois plus musclé et fort que Mario, a réussi à le faire tomber par terre, le nez sans doute dans un coma profond.

Je fixe un long moment, le corps de boxeur devant moi avant de chercher à nouveau la sécurité qui vient de se pointer :

-Messieurs, veuillez, vous en allez d'ici sans faire d'histoires. Dit l'agent sur un ton menaçant

Se relevant avec difficulté, le nez en main, Mario me toisa avec haine avant de disparaßtre rapidement.

L'autre, lui, comme si c'était la chose la plus normale, répondit aux deux hommes venus mettre fin à cette pagaille :

-Parce que vous me faĂźtes peur tous les deux ? Un petit conseil : allez-vous servir des coupes de champagne ou prendre des sucettes glacĂ©es. Il vaudrait mieux pour vous que vous ne m'embĂȘtiez pas.

-A ce que je vois, il y a du progrÚs Nicanor. Tu invites des hommes des cavernes maintenant ? Lùche Andréa, une ex-camarade du collÚge et petite capricieuse gùtée et envieuse.

Je veux intervenir lorsque mon téléphone sonne : Mélissa.

Moi : Mel ? Ton petit mari t'a donné la permission de venir ?

Mel (chuchotant) : Mais non, ne soit pas bĂȘte. Il vient de s'endormir aprĂšs avoir eu sa dose. Je suis Ă  la cuisine. Je voulais voir comment ça se passe.

Moi (jetant un regard au trouble-fĂȘte) : Je suis sur le point de faire un AVC lĂ .

Mel : Il y a eu quoi ? Ton pĂšre ?

Moi : Pff. Bien pire. J'ai eu droit Ă  une scĂšne de Mario Da Cruz suivi d'une bagarre avec un inconnu qui se trouve ĂȘtre un homme de nĂ©anderthale en jean Polo.

Mel : Oulala ma pauvre chĂ©rie. Que fais-tu maintenant ? Tu vois ? J'avais raison, c'Ă©tait une mauvaise idĂ©e Nicanor. Tu aurais dĂ» prendre cette journĂ©e pour voir ton pĂšre et tes sƓurs.

Moi : MĂ©lissa, ne me fait pas pĂ©ter un cĂąble lĂ . J'en peux dĂ©jĂ  plus. En plus, c'est bien plus qu'une fĂȘte, ça fait partir de mon job.

Mel: Ok, ok. Mes exc...

Moi : Non, t'es la meilleure. Donne-moi une minute.

Mel : Mais enfin Nicanor, qu'est-ce qui se passe dans ta tĂȘte cette fois ?

La colÚre s'amplifiant en moi, je marche aussi vite que me permettent mes talons jusqu'à l'inconnu qui est discrÚtement installé prÚs du bar, avalant une coupe de champagne, me fixant en ignorant les avances des filles à ses cÎtés qui faisaient tout pour attirer son attention.

-Bon, mesdemoiselles, allez nager dans la piscine. J'aimerais avoir de l'intimitĂ© pour... Discuter avec mon petit ami, si ça ne vous gĂȘne pas. Dis-je en leur offrant mon sourire le plus faux

Elles s'Ă©loignent, le rouge aux joues mais je n'en ait cure.

-Petit-ami ? Ah bon ? Dit l'homme, en me fixant avec un sourire au coin des lĂšvres

-A moins que vous préfériez les termes comme espion, infiltré, tricheur, fauteur de trouble ou connard.

-Je préfÚre petit-ami en effet.

-Bien sûr Tarzan. Vous savez quoi ? Une fois dehors, n'oubliez pas de dire à mon paternel de trouver mieux qu'un gros tas de muscles sur pattes. Dis-je en croisant les bras sous ma poitrine

-Je ne comprends pas.

Je me rapproche de lui, de sorte Ă  me coller Ă  lui.

J'écoute sa respiration qui s'accélÚre rapidement pendant une minute interminable avant de lùcher :

-Garde du corps. Vous ĂȘtes le garde du corps engagĂ© par mon pĂšre il y a probablement une heure pour me surveiller. Allez, envoyez lui plein de bisous de ma part...nounou.

Il soude son regard au mien et nous nous défions silencieusement du regard pendant un temps interminable.

Un satané garde du corps.

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