Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
JEUX DE COUPLE AU LYCÉE 01

JEUX DE COUPLE AU LYCÉE 01

Naomi.

5.0
avis
3.2K
Vues
42
Chapitres

Mélissa, jeune étudiante n'est jamais tombée amoureuse du haut de ses vingt ans et elle croit encore naïvement au grand amour mais elle est loin de se douter qu'elle va s'embarquer dans une relation très tumultueuse qui ne plaira pas à tout le monde. Comment va-t-elle gérer cette nouveauté et ces nouvelles émotions ???????? La tome 1...

Chapitre 1 01

« Fais attention à Joséphine surtout. »

« Ne t'inquiète pas. »

Je sors ensuite mon téléphone pour prévenir ma mère que je rentre.

Elle me répond presque dans la minute et me prévient que Théo vient me chercher.

Je lâche un soupir de soulagement et je pars récupérer mon manteau avant de l'attendre dehors.

Je croise quelques copines qui me disent que je devrai rester mais elles sont beaucoup trop alcoolisées pour attendre ma réponse et reparte danser.

J'aperçois ensuite la voiture de mon frère et je cours légèrement pour rentrer à l'intérieur.

« Dieu merci tu as mis le chauffage. » Je dis avant de claquer la porte.

« Tu aurais dû m'attendre à l'intérieur. »

« Oui mais je n'en pouvais plus de cette musique. »

« Ah, ça n'a donc pas changé ? » Il sourit avant de démarrer.

« Non et crois moi tu ne loupes rien. »

« Ce sont les meilleures soirées Mélissa. »

« Je te rappelle qu'on ne vit pas notre vie étudiante de la même manière. Tu as adoré ça et moi je déteste. »

« Tu ne sais pas ce que tu rates. »

« Je ne rate rien. »

Il rit doucement et je frotte mes mains entre elles pour me réchauffer.

« Tu as passé une bonne soirée sinon ? » Je demande.

« Ouais, on devait aller à cette soirée normalement puis on a décidé de rester chez un ami et franchement c'était bien. »

« Tant mieux. »

« Mais je ne suis définitivement pas prêt à retourner à l'école, ça me fait chier, tu ne peux pas savoir. »

« Oui je comprends. »

« Et je t'en pris, ne viens pas me voir toute la journée pour montrer aux autres qu'on est frère et sœur. »

Je me tourne vers lui pour savoir s'il est sérieux.

« Tu rigoles, j'espère ? »

« Non pas du tout. »

Je lâche un petit rire, vexée par ses propos.

« Tu as peur que je te fasse honte c'est ça ? Parce que personne ne me connait. »

« Non pas du tout. »

« Si c'est pour ça. Mais tu sais Théo soit rassuré, personne n'est au courant que nous avons un lien de parenté donc ce n'est pas maintenant que j'irai te voir pour le montrer. »

« Un lien de parenté ? Mélissa ne soit pas vexée, je disais juste ça comme ça. »

Je ne réponds pas et j'augmente le son de la radio.

Connard.

Nous arrivons ensuite à la maison et je rentre à l'intérieur sans adresser un mot à Théo.

« La prochaine fois tu rentreras seule. » Il lâche après avoir fermé la porte. « Parce que honnêtement si c'est pour me faire la gueule tout le trajet en plein milieu de la nuit, ce n'est pas la peine. »

« Je ne t'ai pas demandé de venir me chercher. »

« Oui mais tu étais bien contente que je sois là. »

Je serre les dents pour éviter de l'insulter. Il est tard, je suis fatiguée et il réussit quand même à me mettre hors de moi.

« Les enfants, qu'est-ce qu'il se passe encore ? » Ma mère arrive en chuchotant.

« Rien, ton fils m'énerve. » Je lâche.

« Ta fille est insupportable maman. »

« Bon, je ne sais pas ce qu'il s'est encore passé mais allez-vous coucher. Votre père dort et Louis aussi alors évitez de les réveiller. »

Je roule des yeux et me dirige vers elle pour lui faire un bisou sur la joue.

« Merci mon chéri d'avoir été la chercher. » Elle dit avant de faire un bisou sur le front à Théo.

« De rien maman. »

Fayot.

Je monte dans ma chambre et je me dépêche de me mettre en pyjama afin de commencer une bonne nuit de sommeil.

Mon réveil me sort brusquement de mon sommeil mais je décide de me rajouter quelques minutes en plus.

Je me blottis de nouveau dans ma couette jusqu'à ce que quelqu'un ouvre ma porte.

« Aller Mél, lève-toi. » J'entends mon père.

« J'ai pas envie. » Je rouspète en gardant les yeux fermés.

« Il ne fallait pas sortir en semaine ma fille, maintenant tu vas devoir assumer. »

« Mais qu'est-ce que ça peut te faire que je reste au lit un peu plus ? » J'hallucine.

« Qu'est-ce que ça peut me faire ? Tu rigoles j'espère là Mél ? C'est qui, qui paye ton école de commerce chaque année ? »

J'ouvre finalement les yeux et je me redresse.

« Je vais me préparer. »

« Je préfère oui. »

Il ferme la porte et je pars dans la salle de bain pour me mettre un peu d'eau sur le visage.

Je descends ensuite dans la cuisine et je remarque que tout le monde est à table.

Je pars mettre mes tranches de pain dans le grille-pain et je m'assois sur ma chaise en attendant qu'elles chauffent.

« Alors, cette soirée ? » Demande Louis.

« Nulle et archi nulle. » Je réponds.

« Pourquoi tu es y allée alors ? »

Je le fixe.

« Parce que toutes mes amies y allaient. »

« Donc tu es une suiveuse ? » Il demande sérieusement avant de prendre une bouchée de sa tartine au Nutella.

« Absolument pas. » Je riposte.

« Si un peu. » Ajoute mon père avant de prendre une gorgée de son café.

Je le fixe à son tour.

« Alors, je suis désolée mais je ne rentrerai pas dans votre petit jeu, il est sept heures du matin, je suis fatiguée alors laissez-moi juste le temps de me réveiller. » Je souffle avant d'aller chercher mes tartines.

« Théo, chéri, tu veux bien accompagner Mélissa à l'école ce matin ? » Demande ma mère.

« Non. » Je réponds en même temps que Théo.

« Bon qu'est-ce qu'il s'est passé entre vous deux hier soir ? » Elle soupire.

« Théo a honte de moi. » Je lâche.

« Non absolument pas. » Il répond.

« Tu as honte de ta sœur ? » Demande ma mère en fixant Théo. « Dis-moi que tu rigoles ? Regarde-la, elle est toute mignonne. »

Merci maman.

« Je n'ai pas honte d'elle, c'est juste que personne ne sait que nous sommes frères et sœurs et je n'ai pas envie que ça se sache plus que ça, c'est tout. » Il dit.

Mon père éclate de rire.

« Théo, excuse-moi mais tu te prends pour qui ? » Il demande avec un sourire au coin.

« Pour personne. » Théo répond vexé.

Je le regarde avec un petit sourire.

Louis éclate à son tour de rire.

« Théo tu me fais rire, tu te prends pour quelqu'un d'exceptionnel alors que tu as failli de faire virer de ton école de commerce à la noix. » Ajoute Louis.

Pour le coup je suis plutôt d'accord avec lui-même si ce genre de remarques m'agacent un peu. Il faut dire que depuis qu'il a été diagnostiqué surdoué, Louis a un peu prit la grosse tête.

Théo le foudroie du regard pendant que mes parents hochent la tête.

« Si c'est pour dire des choses pareilles Louis, c'est mieux que tu la fermes. » S'agace Théo.

« Théo, accompagne ta sœur et ça s'arrête là. » Dit durement ma mère avant d'aller déposer sa tasse dans le lave-vaisselle.

« Moi je ne suis pas spécialement d'accord. » J'interviens. « Je suis assez grande pour y aller seule. Mais merci. » Je souris.

Je finis ensuite mon petit-déjeuner et je pars me préparer.

« Je pars dans cinq minutes. » Me balance mon frère depuis le couloir.

« Tant mieux pour toi. »

« Mél, je suis désolé d'accord ? Laisse-moi t'emmener. » Il s'avance vers moi.

« Non mais tout va très bien Théo, tu n'es pas obligé, vraiment. »

« S'il te plait sinon papa et maman vont encore dire quelque chose et ça va m'énerver. »

« Ah je me disais aussi. » Je réponds sans surprise. « Laisse-moi encore cinq minutes et on est bon. »

Il quitte ma chambre et se dirige vers l'entrée.

Je ne tarde pas à le rejoindre.

« Bon ma chérie, bon courage et surtout passe une bonne journée. » Me sourit ma mère avant de m'embrasser sur la joue.

« Merci à toi aussi. »

« Et toi Théo soit gentil avec ta sœur. »

« Oui. Je n'ai plus cinq ans maman. »

« Malheureusement. » Elle soupire. « Tu étais tellement plus facile à gérer à cette époque mais bon passe une bonne première journée. »

Elle essaye de l'embrasser mais il esquive rapidement. Ma mère lâche un petit rire et quitte la maison.

« Bisou papa. » Je lance.

« À ce soir. » Il répond.

Nous quittons la maison et j'entre dans la voiture de Théo.

« Je n'ai pas honte de toi Mél. » Il lâche. « C'est juste que ça fait un moment que nous n'avons pas été dans la même école et ça me fait tout drôle de me dire que je vais te croiser pratiquement tous les jours. »

« Ne t'inquiète pas, ça me fait drôle aussi. »

« Je suis désolé si je t'ai vexé. »

Je souris.

« C'est oublié. » Je réponds.

Même si nous sommes très différents, nous sommes quand même très proches l'un de l'autre et très protecteurs.

Continuer

Autres livres par Naomi.

Voir plus
MON PETIT COMPAGNON

MON PETIT COMPAGNON

Loup-garou

5.0

Je rigole en regardant James échouer dans son entraînement. "Tu vas faire un grand Alpha en faisant ça ! Je le taquine James roule des yeux. "Comme si tu pouvais faire mieux !" Je souris et je descends de ma chaise. Je me dirige vers la partie du parcours où il est coincé et je le fais avec facilité. "Et c'est pour ça que je vais être le meilleur Bêta ! Je me vante. James me tire la langue et je ris. Je le regarde terminer le cours avant qu'il ne s'approche de moi. "Alors, ma petite Bêta, ça te dirait un peu de désert ?" James sourit. Je ris et nous retournons en courant à la maison de la meute où l'on servait des gâteaux en guise de dessert. James et moi avons sauté le dîner. "Quand je serai Alpha, on aura du gâteau au dessert tous les soirs. James me chuchote en prenant sa part. Je ris en prenant ma propre part. "Quel genre de gâteau ?" "Des différents chaque jour !" dit James en s'approchant de la table. Je monte sur la chaise à côté de lui. "Ils sont inséparables. J'entends ma mère dire à l'autre bout de la table. "Ne serait-ce pas merveilleux s'ils étaient ensemble ? dit la mère de James, la Luna. "Oh, c'est vrai." dit ma mère. "C'est quoi un compagnon ?" Je demande innocemment. "Oui, maman, c'est quoi un compagnon ? demande James. "Un compagnon, c'est..." Luna commence, mais elle est interrompue par un cri. "Des voyous !" Ma mère siffle après le cri. Tout se passe ensuite dans le flou. James me prend la main et court avec moi jusqu'à sa chambre, en me serrant contre lui. C'est alors que quelqu'un entre. Il est grand, il est nu et ses yeux sont d'un noir pur. Il commence à s'approcher quand la mère de James sort de nulle part. L'homme est rapide, et d'un seul geste, il tue la mère de James. James et moi crions. Nous nous serrons l'un contre l'autre. Puis l'Alpha entre dans la pièce. "Tu es responsable de sa mort !" Il hurle vers James, voyant la mère de Jame à terre. "C'est toi qui as fait ça ! Si elle n'avait pas essayé de te protéger, elle serait encore en vie !" L'Alpha est sans pitié, il tue le voyou puis s'approche de James et l'arrache à mon emprise. "JAMES ! Je hurle en tendant les bras. L'Alpha secoue James, le frappe, le tabasse avant que James ne soit tout mou. Puis quelque chose le fait sortir de ses gonds. "Non... James... Qu'est-ce que j'ai fait, James ?" L'Alpha murmure. "James ? Je m'approche de lui. "James, tu peux te réveiller maintenant". Je murmure, les larmes aux yeux. "Blaire... Il ne se réveille pas." L'alpha dit doucement. "Qu'est-ce que tu veux dire ? Qu'est-ce que tu veux dire ?" Je demande, terrifiée par lui. Terrifiée par ce qu'il a fait à James, et s'il me le fait à moi ? "Blaire, écoute-moi. Je veux que tu coures. Je veux que tu cours aussi vite que tu le peux. Dès que tu peux te transformer, transforme-toi. Je veux que tu t'éloignes le plus possible d'ici. J'ai besoin que tu partes et que tu ne reviennes jamais. Oublie-moi, James, tes parents et les voyous. Quitte Blaire. Maintenant." dit l'Alpha. Je n'ai aucun problème à courir. Ce faisant, je passe devant des cadavres. Des membres de la meute, tous morts. Un voyou ici et là. Mais ma famille... Je passe devant ma mère et mon père, tous deux étendus sur le sol. La seule chose qui m'empêche de m'arrêter et d'aller les voir est une voix dans ma tête qui me dit de courir. Je continue à avancer. Je passe devant un groupe d'hommes. L'un d'entre eux rit et me dit de me laisser partir, affirmant que je serai amusant à traquer quand je serai plus vieux. Je continue à courir et à courir. Sans jamais me retourner vers mon sac. Mon sac mort.

Inspirés de vos vus

La reine libérée

La reine libérée

Romance

5.0

Il suffit d'une seconde pour que le monde d'une personne s'écroule. Ce fut le cas pour Hannah. Pendant quatre ans, elle a donné tout son amour à son mari, mais un jour, il lui dit froidement : « Divorçons. » Hannah réalisa que tous ses efforts des années passées étaient inutiles. Son mari ne s'était jamais réellement soucié d'elle. Alors qu'elle assimilait encore le choc, sa voix indifférente continua : « Arrête de faire semblant d'être surprise. Je n'ai jamais dit que je t'aimais. Mon cœur a toujours appartenu à Eliana. Je t'ai épousée seulement pour calmer mes parents. Tu étais naïve de croire autrement. » Le cœur d'Hannah se brisa en mille morceaux tandis qu'elle signait les papiers du divorce, marquant ainsi la fin de son règne en tant qu'épouse dévouée. La femme forte qui était en elle se manifesta alors rapidement. À ce moment-là, elle jura de ne plus jamais dépendre d'un homme. Son aura était extraordinaire lorsqu'elle entreprit un voyage pour se retrouver et maîtriser son propre destin. À son retour, elle avait tellement mûri et était complètement différente de l'épouse docile que tout le monde connaissait autrefois. « Que fais-tu ici, Hannah ? Est-ce ta ruse pour attirer mon attention ? », demanda son arrogant ex-mari. Avant même qu'elle puisse répliquer, un PDG autoritaire apparu de nulle part et la prit dans ses bras. Il lui sourit et dit avec audace : « Juste pour te prévenir, Monsieur. C'est ma femme bien-aimée. Éloigne-toi d'elle ! »

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre