- Vous n'accĂšderez jamais Ă la chambre des Lords, votre couleur de peau Ă©tant la principale raison, mais je vous offre la possibilitĂ© de le faire, en Ă©pousant la fille d'un noble. Ma belle-fille Amanda. Alister n'hĂ©sita que quelques minutes avant d'accepter l'offre de Lady Horsborn. Son objectif est simple, il l'Ă©pouse la jeune fille toutefois il va lui faire vivre un enfer, parce qu'elle s'est faite acheter, les femmes comme elles n'ont aucune valeur. Mais il Ă©tait loin de se douter que ses rĂ©solutions se retourneraient contre lui-mĂȘme et qu'elle le fera fondre complĂštement.
Aussi loin qu'il s'en souvienne, rien n'Ă©tait aussi bon que dĂ©vorer la moiteur d'une femme Ă la source, cette chaleur qui s'en dĂ©gage, cette moiteur toute prĂȘte Ă vous accueillir lorsque votre queue coulisse Ă l'intĂ©rieur certains pourraient dire que cela Ă©tait totalement dĂ©gradant, mais Alister faisait partie de ces rares lĂ qui trouve ça totalement jouissif. Sans compter les cris qui s'Ă©chappaient de la gorge de ces femmes lorsqu'il leur donnait du plaisir avec sa langue.
Lady Harrington était sans doute celle qui le rendait complÚtement fou, elle est passionnée et ne cache pas ses désirs sous de fausses apparences, pas comme toutes ces femmes qui font semblant de paraßtre ce qu'elles ne sont pas.
Il dĂ©testait toutes ces femmes, qui font semblant d'ĂȘtre ce qu'elles ne sont pas, elles lui font horreur, lui donnent la nausĂ©e. Elles regardent les gens d'un air supĂ©rieur comme si le simple fait de les regarder ainsi Ă©tait dĂ©jĂ pour nous une grande bĂ©nĂ©diction. Oui Alister les avait en horreur, le simple fait de penser Ă ces femmes faisait redescendre tout son dĂ©sir. Alors il secoua la tĂȘte et chassa ces mauvaises pensĂ©es de son esprit. Lady Harrington pris son geste pour une flambĂ©e de dĂ©sir et se mit Ă gĂ©mir encore plus fort.
- Oh Alister, il n'y a pas de doutes, tu sais comment me faire perdre la tĂȘte.
Il sourit orgueilleux, oui il savait comment faire perdre la tĂȘte Ă une femme, c'Ă©tait lĂ l'une de ses nombreuses qualitĂ©s. Il maĂźtrisait l'anatomie fĂ©minin sur le bout des doigts et connaissait chaque partie, chaque zone successible de rendre une femme folle de dĂ©sir. Alors pas Ă©tonnant que Nadia Harrington se torde en ce moment de plaisir sous sa langue experte. Alister introduisit un doigt dans sa fente mouillĂ©e, celle-ci recroquevilla ses pieds et s'accrocha aux draps. Il leva les yeux vers elle et vit ses yeux voilĂ©s de dĂ©sirs. C'Ă©tait ce qu'il prĂ©fĂ©rait, dans les yeux, surtout ceux d'une femme, on pouvait lire. Son doigt se mit Ă bouger d'avant en arriĂšre, tandis que sa langue taquinait cette petite masse de chair qui Ă©tait la source mĂȘme du plaisir fĂ©minin. Un deuxiĂšme doigt rejoint bientĂŽt le premier et Nadia Harrington s'arc bouta en hurlant presque. Parfois Alister se demandait si elle Ă©tait aussi dĂ©monstrative avec son mari, paix Ă son Ăąme.
Lorsqu'il la sentit suffisamment prĂȘte pour la suite de leur petit jeu, il ouvrit les cordes de son pantalon, laissant ainsi paraĂźtre son long sexe, rose et gorgĂ© de dĂ©sir. Il ne se souvenait pas d'avoir jamais Ă©tĂ© aussi impatient de prendre une femme. Ăa faisait quand mĂȘme deux mois qu'il n'avait pas eu le plaisir de coulisser dans les moiteurs du sexe chaud de Lady Harrington. Il se mit Ă genoux sur le lit et passant les jambes de Lady Harrington autour de ses hanches. La tĂȘte de son gland vint s'humidifier sur ses lĂšvres vaginales inondĂ©es de cyprine, il le prit entre ses mains et frappa quelques petits coups sur cette jolie chatte mouillĂ©e.
- Je t'en prie Alister, ne me torture pas plus, prends-moi.
Encore ce sourire arrogant et Alister fit entrer son sexe dans celui de Nadia. Un son rauque s'Ă©chappa de sa gorge.
- Hmm.
Nadia Ă©tait tout simplement exquise, elle Ă©tait tellement serrĂ©e que Alister se demandait comment c'Ă©tait possible Ă©tant donnĂ© la multitude d'amants qui sont passĂ©s dans son lit. Sans plus attendre, il commença Ă bouger ses hanches d'avant en arriĂšre, d'abord doucement, puis de plus en plus vite. Il ralentit pour faire un huit avec ses hanches car il savait qu'elle adorait ça. Puis il recommença de plus en plus vite. Il se coucha sur elle pour glisser sa tĂȘte dans son cou et Lady Harrington essaya de l'embrasser, mais Alister Ă©chappa de justesse Ă ses griffes acĂ©rĂ©es. Il dĂ©testa cela, jamais encore Alister n'avait goĂ»ter aux lĂšvres d'une femme, pour lui ce geste Ă©tait beaucoup trop intime qu'autre chose. Cela traduisait un amour infini, un amour qu'il Ă©tait loin de ressentir. Il a beau ĂȘtre un Don Juan, mais c'est aussi et avant tout un amoureux du romantisme, tout simplement parce que sa mĂšre aussi l'Ă©tait, il ne le montrait pas, mais pour lieu l'amour Ă©tait prĂ©cieux. MĂȘme pas Nadia, qu'il aimait pourtant Ă sa maniĂšre. Il baisa l'Ă©paule de Nadia, ses coups de reins continuant Ă lui marteler le corps. Quand enfin il se sentit atteindre le point de non retour, le prĂ©cipice sans fin qu'il ne peut Ă©viter, il se retira d'elle et jouit sur son ventre, avec un cri guttural. Il resta silencieux quelques minutes le temps de retrouver une respiration normale.
- Oh mon Dieu Alister, il n'y a vraiment rien à dire, tu m'as vraiment beaucoup manqué.
- Moi ou ma façon incomparable de te faire l'amour ?
- Les deux dit-elle en Ă©clatant de rire.
Tout d'un coup, le bruit de la fĂȘte qui se dĂ©roulait en bas devint plus fort, Alister organisait les meilleures fĂȘtes jamais vu, tout le monde sans exception pouvait y participer, parce que le slogan de ces fĂȘtes Ă©tait toujours
VENEZ COMME VOUS ĂTES.
Il avait choisit cela plutÎt que de faire les soirées trs sélectives des gens de la haute société. Tous ces gens convenables. On frappa à la porte, personne n'aurait osé le dérangé si ça n'avait pas été important.
Il porta une main Ă ses boucles en bataille et parti ouvrir la porte, sans mĂȘme se donner la peine de s'habiller. Devant lui se tenait son meilleur ami Tony Delacroix.
- Oh juste ciel Alister, tu pourrais au moins enfiler un pantalon avant d'ouvrir dit-il en se couvrant les yeux.
- Quoi ? Tu vas jouer aux vierges effarouchées maintenant ? Ou alors, c'est le fait de voir que je suis braucoup plus membré que toi qui te met dans cet état ? Demande Alister avant de se tourner pour s'habiller.
Tony se contenta de lever les yeux au ciel, il était bien sûr conscient de la grosseur imposante du membre d'Alister à cause des nombreuses orgies qu'ils ont eu à faire ensemble. Mais comme le dit le dicton, la taille ne fait pas tout.
- Tu ferais mieux de descendre au lieu de dire des bĂȘtises, tu as de la visite.
- Ă cette heure ?
- J'ai été aussi surpris que toi, encore plus quand j'ai vu de qui il s'agissait.
- Qui est-ce ?
- Oh non, ce ne serait plus drĂŽle. Il faudrait que tu descendes toi-mĂȘme la voir.
- Alors il s'agit d'une femme. Attirante ?
Tony plissa les yeux et gloussa sans plus rien dire et il descendit en direction du salon. Alister fit un effort pour paraßtre présente, mais nul ne pouvait se leurrer sur les véritables occupations qu'il avait dans la chambre. Il puait le sexe !
- Je ne serais pas long dit-il en guise d'au revoir Ă Lady Harrington.
- Je l'espĂšre bien.
Il sourit et ouvrit la porte pour en sortir et partir en direction du salon. En bas, on pouvait entendre les couples s'adonner à des activités purement sexuelles à travers les gémissements des femmes, ici en bas puait encore plus le sexe que dans sa chambre. Dans des coins de chaque piÚce, on pouvait voir des couples s'adonner à des activités plus qu'explicites. Alister arrive au pied des escaliers et se tourne vers Tony, il hausse un sourcil en guise d'interrogation muette.
- Je l'ai faite entrer dans ton bureau pour qu'elle ne nous fasse pas une crise cardiaque.
Alister pousse un soupir et se dirige vers son bureau. Il ouvre la porte et fait un pas Ă l'intĂ©rieur avant de s'arrĂȘter surpris lorsqu'il voit le visage de son invitĂ©. Son ami Tony Delacroix Ă©clata de rire derriĂšre lui et Alister se retourna pour le fusiller du regard, celui-ci leva les mains en l'air et s'en alla sans demander son reste. Il retourna la tĂȘte vers son invitĂ©, un invitĂ© qu'il n'avait pas forcĂ©ment demander Ă voir. Sa prĂ©sence ici Ă©tait aussi Ă©trange que celle d'un prĂȘtre dans une maison close. Il s'avança dans la piĂšce et referma la porte derriĂšre lui. Il avança vers elle et s'assit, il m'essaya mĂȘme pas de cacher son aversion pour elle, de toute maniĂšre elle non plus n'avait jamais cacher qu'elle le haĂŻssait. D'ailleurs en ce moment elle secouait son Ă©ventail devant lui sans usucjbf gĂȘne.
- Lady Rosemary Horsborn que puis-je pour vous ?
Elle cessa de se ventiler et leva la tĂȘte vers lui.
- Ce qui se passe ici est totalement scandaleux ! S'offusquĂąt t'elle. Comment un duc peut-il se comporter de la sorte ? Vous ĂȘtes absolument rĂ©pugnant !
Alister leva les yeux au ciel.
- Est-ce pour me dire cela que vous avez fait tout ce chemin ? Parce que comme vous pouvez le constater j'ai des invités, à moins que vous ne souhaitiez vous joindre à nous.
- Quoi ! Comment osez-vous me demandez ça ? Dit-elle en bondissant presque de son siÚge. Je ne suis pas une de ces femmes sans morale.
Alister ne repondit pas et la fixa. Lady Horsborn tout comme son ami Tony étaient tous les deux des français, elle a épousé ici à Londres un riche Lord, du moins qui l'était, parce que ce Lord en question lui devait énormément de livres sterling, un accro au jeu comme tous les autres. Si sa mémoire était encore bonne et Alister savait qu'elle l'était, le délais c'est aujourd'hui.
- Ătes-vous venue me rendre ce que vous me devez ?
Elle baisse la tĂȘte honteuse avant de la lever fiĂšrement.
- Non je...
Parfait alors toutes vos propriétés sont à moi dis-je en me levant.
- Non ! Hurle t'elle presque, asseyez-vous et Ă©coutez moi, ensuite vous choisirez quoi faire.
Une femme lui donnant un ordre, Alister dĂ©testait cela, mais pour une raison que lui-mĂȘme ne comprenait pas, il s'assit et regarda la femme en face de lui.
- Je sais que vous voulez accéder à la chambre des Lords.
- Ce n'est un secret pour personne.
- Vous savez bien que jamais vous ne pourrez, pas avec la réputation que vous avez et surtout pas avec votre couleur de peau. Je vous offre la possibilité d'entrer dans la chambre des Lords.
Alister plissa les sourcils pour l'inviter Ă continuer, son idĂ©e lui plaisait de plus en plus. Comme il venait de lui dire, tout le monde savait qu'il voulait siĂ©ger Ă la chambre des Lords, cette idĂ©e lui tenait Ă cĆur plus que tout au monde, pour une raison trĂšs importante.
- Si vous épousez une femme respectable, qui rétablira votre réputation, vous pourrez sans aucun doute accéder à la chambre des Lords comme n'importe quelle personne de votre rang.
- Ăpouser une femme respectable, qui rĂ©tablira ma rĂ©putation, je suis certain que vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ chargĂ©e de me la trouver.
- Bien-sûr que oui, vous épouserez Amanda, la fille de mon mari, c'est une jeune fille tout à fait acceptable et en échange vous nous laisserez nos biens.
- Vous serez prĂȘte Ă vendre votre belle-fille pour des propriĂ©tĂ©s ? Ă un homme trĂšs peu respectable?
- Ce n'est jamais que des affaires, Amanda est d'accord avec ça, donc je ne vois pas oĂč se situe le problĂšme. Mais si en revanche vous refusez, croyez-moi qu'avec ce que j'ai vu aujourd'hui, je peux vous dĂ©truire pour toujours et plus aucune porte je vous sera ouverte.
- J'ai déjà quelqu'un en vu pour le mariage.
- Vous parlez de Lady Harrington? Ne dite pas de sottises, si elle avait voulu vous épouser elle l'aurait fait il y'a des années, mais elle a peur que votre réputation ne lui éclabousse à la figure, alors elle continue de se cacher, elle est veuve et sans attache.
Lady Horsborn se leva et arrangea les plis sur sa robe.
- Je vous laisse y rĂ©flĂ©chir qu'AVC vous serez prĂȘts, revenez me voir.
Elle sortit de mon bureau et me laissa là plonger dans mes réflexions. La porte du bureau s'ouvrßt plus tard sur Tony et Nadia.
- Que voulait elle ?
- Me proposer un mariage !
- Un mariage ? S'Ă©tonna Nadia.
- Oui !
- Et vous avez refusé j'espÚre ? Cette femme est une vrai sorciÚre.
- Et pourquoi devrais-je refuser ?
- Mais voyons vous ne pouvez pas vous marier Ă n'importe qui ! S'offusque Nadia.
- Alors Ă©pousez moi.
Son visage pĂąlit aussitĂŽt et elle resta silencieuse sans plus rien dire.
- C'est bien ce que je pensais.
- Et que vous a t'elle proposé ? Demande Tony.
- Sa belle-fille.
- Elle l'a vendu ?
- Non ! La gamine est d'accord, dis-je furieux. Elle a acceptĂ© d'ĂȘtre vendue et rien que pour ça, je la mĂ©prise dĂ©jĂ .
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