Obsessions
éparation disparaissent à l
Abb
a
us belle que jamais ! Ell
ama
as tellement manqué
ure de
an moi aussi !
ché
ir grandir à distance. Elle a tout de l'ange que j'ai laissé. Un ange devenu femme. Son regard est toujours aussi profond, empli de tendresse, de gentillesse. Ses magnifiques cheveux ont poussé et
er de traces. Puis l'alcool aidant, il en voulait davantage. Olivia ne supportait pas sa façon de me traiter et tentait de s'interposer. Elle voulait prendre les coups à ma place pour m
t digne, elle ne pleurait pas devant lui car si elle se plaignait, il redoublait ses coups sur moi. Elle tenait grâce à Gabriel, j'en suis sûre. Après
uand il a passé le portillon. Il a remonté l'allée tant bien que mal. Au moment de saisir la poignée de la porte d'entrée, Gab l'a saisi par le col, l'a décollé de terre et l'a plaqué contre le mur. Gabriel ne criait pas. Pas besoin. Sa voix était basse, menaçante, autoritaire. Il était déjà bien musclé pour son âge et il d
e avec son immunité. Jamais elle n'a pris de nos nouvelles ou nous a soignées après un passage à tabac. Jamais. À présent, je le reconnais en elle. Je le vois dans son regard et ça m'effraie. Elle a depuis toujours choi
qu'il rentrait pour « dépuceler sa petite dernière ». J'avais envie de vomir. J'ai pris peur. Tremblante, j'ai appelé ma sœur, M
ôt dans sa chambre, l'air tristounet. J'espérais qu'elle soit endormie pour ne rien entendre de la tempête à v
a ». Il empestait l'alcool, le vomi et l'urine. Il me répugnait. Je ne retrouvais plus l
heras pas. Prends-moi plutôt, je fe
tions. Il était abject.
vieille, c'est elle que je veux ! E
ver. Je l'ai entendu défoncer sa porte et Olivia crier. Quand je suis arrivée en haut de l'escalier devant sa chambre, il avait déjà arraché sa couette et son pyjama. La pauvre petite. Il riait d'un rire que je n'oublierais jamais.
aisser son pantal
dre un grand service. Je vais t'apprendre à faire plaisir à un homme. Tu vas voir ma pe
, il s'est énervé et l'a
oi ça comme
r devant elle. Alors j'ai vu rouge, je l'ai poignardé dans le dos du plus fort que je po
te buter
Il a ramassé mon couteau et a commencé à me poignarder... partout... et à plusieurs reprises. Ses yeux étaient injectés de sang. Sa rage était impressionnante. Je ne me souviens que peu de la suite. Sou
i. Elle l'a prise dans ses bras, m'a rassurée et j'ai murmuré à Olivia que je l
là dans mes bras, en pleurs. Mais de joie aujour
t que cela est