Obsessions
itter que l'on mesure son attachement
Can
iv
rrant comme la mémoire peut nous jouer des tours. Dans mon dernier souvenir, elle paraissait petite, étriquée et sombre. Ce chemin, si souvent emprunté, me sembl
nais plus personne ici. Alors, je baisse la tête et avance, plongée dans mes pensées, m'imaginant mes retrouvailles avec ma mère. Grand-père m'a dit que maman
de ! dit le chauff
la portière côté
a ? C'e
tourner dans tous les sens. Suivi de Max. Que c'est bon de les revoir ! Ils n'ont p
! Putain c'est cool ! Com
fficace. Il n'a plus rien d'un ado. Mon visage souriant est baigné de larmes, je suis tétanisée par sa présence. Je tremble. J'ai imaginé cette scène tellement de fois. Mais rien ne se passe comme prévu : il ne bouge pas, il ne vient pas vers moi. S
en me foutre ? Allez les g
par terre et se briser en mille morceaux. Waouh, brutal retour sur terre. Une fille s
i ? Victoire, c'
e ou plutôt me dévisage de la tête aux pieds. Elle me
en merci, daigne-
it présente ce soir-là, mais elle sait ce qu'il s'est passé ! Alors pourquoi ce comportement ? Quelle douche froide ! L'humiliation de ces retrouvailles gâchées laisse peu à peu place à
briel et de Victoire, m'embrassent chacun le
nde gentiment Max avant de remo
et me sourit de toutes ses dents blanches. Je lève timidement la main et leur dis au revoir. La voiture redémarre et je reste là les bras ballants quelques instants. Qu'est-ce qu'il vient de se passer ? Il y en a au moins deux contents de me
iqué. J'entends un bip venant de mon sac à main. Je p
drais, tu nous as trop manqué. On s'appelle très vi
ce numéro ! Tu sais, il y en
faire sourire. Sourire que je perds immédiat
s'ouvre et ma mère a
a, ma c