Obsessions
arlotte
ine, Sébas
es Vi
t précieux qui veillen
ol
mais en enfance, j'y
an Be
iv
tour chez moi
revenue se poser sur mes épaules. Lentement, insidieusement, la boule a repris sa place
ouvelle vie en Italie, mes études en art et ma meilleure a
ai connu l'enfer... Là d'où
ment de souvenirs m'assaillent, les pires prenant le dessus. Mais la v
vec ma valise, de
... ferme les yeux,
sur mes
sont le revers
ce Ch
iv
d'un beau bleu foncé et le soleil nous réchauffe timidement de cette brise fraîche et iodée. Du plus loin que je me souvienne, j'a
mière normande, avec un toit de chaume et des colombages, pleine de charme et de caractère. Au rez-de-chaussée, une cuisine ouverte sur le salon avec une belle cheminée. Un escalier en bois entre
intimité. D'énormes haies séparaient les deux familles. Une petite porte sur le côté nous permettait d'accéder au terrain des propriétaires. Mais j'avais pris l'habitude de franchir la h
ame du monde, le vrai cliché. Mais je l'adorais, son parfum, ses sourires me réchauffaient le cœur. Richard était souvent absent. Je n'ai jamais compris son métier, mais il travaillait beaucoup. Quand il rentrait de voyage d'affaires, il ne faisait pas de différence entre ses enfants et nous, les filles
à fumer, boire et regarder la télé. Il avait eu un travail. Mais trop de retards, trop d'ivresse et de dérapage, l'usine l'a licencié. À partir de ce jour, mon enfer a commencé. J'avais six ans, je rentrais au CP. Ma sœur, Vict
ma vie s'est écrite à deux jusqu'à mes 14 ans. Il avait quatre ans de plus que moi. Il était mon mentor, mon protecteur, celui vers qui je me tournais... En toutes circonstances.
e retrouver pour reprendre notre
se, je dois retrouve
e qui s'arrête pour un jour qui commence, c'est peut-être une chance. »1Les paroles de la chanson de Br
éphone, je retire mes écouteurs