Nawgëlsky — Tome 1: La légende de la Cinq Espéry
1L'homme
Walsckhum ne s'en était pas aperçu. Même l
nt, sursautant à chaque brindille qu'il faisait
épart avait dû subir un sort plus grave que celui de la chemise... Et les pieds nus dans les sabots auraient sans doute avancé plus vite s'ils n'étaient pas ralentis par ce
oid que Walsckhum avait f
beaucoup pour ébranler
endroit à cet instant, auraient pétillé de détermination comme on en retrouve rarement. Un nez légèrement pointu accompagnait en un pa
é et regardait d
urité, on aurait distingué des crocs acérés qui auraient brillé au clair de lune
étaient ces créatures dangereuses et inconnues. Cette partie de la
servir à grand-chose, sinon à effrayer son adversaire qui d'ailleurs
n'avait pas assez de force pour une telle chose. Il aligna ses longues jambes en un pas rapide et cadenc
chait deux pas derrière celui q
ssance aussi. Comme pour répondre à l'appel de ses pleurs, la pluie se mit à tomber avec une violence inouïe. On en voyait rarement de telle
ar le mélange de ses pleurs et de la pluie battante, il empoigna son bâton. Si se
par la fureur du ciel lui donnait un air plus effrayant encore. Walsckhum ralentit son allure et se mit à marcher normalement. Il atteignit finalement une minuscule clairière, si petite que
ès un mètre cinquante au garrot et ses crocs
en position de défense. Il n'avait pas besoin de voir que le loup perdait patience, c
acé et se tenait sur un rocher surélevé, pour être plus à l'aise. Il se tenait en position d'attaque, prêt à bondir. Walsckhum n'
le feuillage obscur, portant