Nawgëlsky — Tome 1: La légende de la Cinq Espéry
Fl
que j'ai t
e ce livre pou
ol
inq
terre était sèche et craquelée. Des flaques d'eau trouble ondulaient ici et là, sans ordre apparent. Les seuls volatiles qu'on parvenait à apercevoir de temps en temp
t noir et l'on distinguait sur ses côtés de grandes ailes repliées contre ses flancs. Ses yeux étaient jaune d'or. L'étrange monture portait un
re de sa tête qui lui donnaient un air effrayant. On devinait ses crocs pointus so
ns s'arrêter. La bave écumante coulait entre les babines du destrier. Soudain, il dépl
*
ours en pierre grise défiaient de leur hauteur le ciel voilé. Le temps avait noirci les murs. Des douves phénoménales constituaient une solide
quelques paroles inaudibles. Le pont-levis s'abaissa alors en grinçant et se posa dans un bruit sourd de l'autre côté des douves, devant le coursier. Le cavalier pénétra en trombe sur le pont-levis et dans le château. Après avoir passé une multitude de grilles qu'on avai
ître t'
rre gris terne. La couleur semblait avoir été bannie de cet univers. Après avoir traversé maints couloirs, escaliers, salles, tours, ils arrivèrent devant une imposante porte e
té invisibles si personne ne s'était tenu derrière eux ; une multitude d'êtres étranges se tenaient dans la foule semblablement. Un long tapis brun entouré de soldats armés jusqu
ble. Juste du brouillard opaque recouvert p
tête baissée longtemps, dans un silence de mort. Puis une voix inhumaine, émise par l'être ter
evez-
ssèrent de concert. La
Zorbag. Tu es revenu
té peut compter sur moi,
les recouvrit, lui et son interlocuteur. À l'extérieu
vais t'envoyer en mission de
te mission à tout prix ou il n'en avait plus pour long
ï l'histoire de
gende qui n'existe pas. Vous
DEMANDÉ TON AVIS
loin. Aussitôt, son interlocuteur se détendit, ses épaules,
s déjà e
Ou
e est-e
soupir exaspéré
ci, vous condamnant à une vie de misère, sachant pourtant bien que vous reprendriez des forces pour attaquer de nouveau :
deux cornes sur ta tête, stupide Zorbag. Vous avez beau être effrayants avec vos cornes et votre peau verte, la force de ton peuple a beau être sans égale, vous ne suf
vous seront to
le seraie
ils obtiendraient après leur victoire. Pourquoi le roi remettait-il en question cet accord ? Pourrait-il les trahir ? Malheureusement, c'était possible et si c'était le cas, ils ne pouvaient pas renoncer à leur fidélité jurée : le roi les anéantirait. Il était beaucoup
cinq descendants de ces généraux se lèveront contre moi. Je veux que vous les accueilliez. Ils seron
i, Votre S
t audibles aux personnages qui
son trône et éclata
monde et sa Terre