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Le gouffre des innocentes: Ou que le diable l'emporte

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 807    |    Mis à jour : 08/09/2022

ch

les anges qui chantent. Ils ne peuvent tro

Alla

essionnaient, telles des Géants sortis des mers. De ces plages de galets, qui nous faisaient mal aux pieds, quelque part en baie de Somme. Des cerfs-volants habillaient le ciel bleu azur, de mille couleurs. Libres dans

e lettre, reçue en commun,

L'anéan

te de l'équilibre... céphalées... migraines... p

oncertation ; sans aucune parole ; sans aucun échange. Si, peut-être juste un regard, humide, échangé dans le vague, dans le vide. Une totale sid

ette qui piquait un peu. Puis mes cheveux, que tu aimais à ébouriffer. Les rires communicatifs résonnaient autour de la glacière orange, du parasol vert à grosses fleurs et du transistor à piles. Le p

quelque part, dans la banlieue de Genève, où tu as décidé d'aller ; de t'en aller. Tu l'as choisie, il y a quelques années. Le départ de pap

graviers blanc immaculé. C'est le milieu de la journée. Le soleil nous a fait l'honneur de sa présence, en ce jour solennel. En ce mois de

détresse. Les verres fumés font écran à l'impensable ; à l'insupportable qu'on a décidé de supporter en ce jour, à trois. En ce mois de novembre, beau mais impitoyable, nous serions trois

ous sourit. Le Docteur Semnaz n'a rien du médecin ordinaire. Point de blouse blanche, de peti

médecin austère. Il est vêtu, en effet, d'un complet bleu ; ses cheveux poivre et

onjour les enfants, vot

armante. Pas de fioritures. Pas de « gros

aphies, en noir et blanc, d'une nature simple ou bien d'objets du quotidien en gros plan

ous, comme si elle nous attendait. Ses cheveux blancs ondoient

rs elle, elle prononce alors ces mo

s plus que vous

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