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Le gouffre des innocentes: Ou que le diable l'emporte

Le gouffre des innocentes: Ou que le diable l'emporte

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1411    |    Mis à jour : 08/09/2022

s pa

com

science de mille choses qui échappen

Alla

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loin qu

elà du ca

ippe

.. série de bi

norme qui tient la mienne. Mon sourire, mes yeux, encore fermés. Jesuis posé sur

réveil, aussi : ses 4:35 rougeoyantes semblent vous narguer, enfoncer le clou. Heureusement que cette bonne odeur du café qui finit de s'écouler de la cafetière programmée la veille,

e un insipide café soluble et d'enfourner un de ces gâteaux fourrés plein d'additifs qui vous feront choper « une de ces sa

Vous avancez à tâtons et vous vous apercevez que vous venez de poser le pied sur quelque chose de mou. Votre vieux réflexe de bipède terrien est de frotter votre chaussure et de trouver un vieux journal abando

oche. Mes clés ? Si, elles sont bien là, au milieu de tout un fatras de pièces, de tickets de caisse, de vieux chewing-gums et des clés de l'appartement accrochées à un gros bouddha en plastique tout défraîchi. Vous enfoncez la clé dans la serr

acle. Les essuie-glaces ne sont pas d'une grande efficacité, plus de première jeunesse. Et mes coups de chiffon, à la propreté douteuse, sur le pare-brise intérieur ne sont pas la panacée non plus. D'une main,

sont : tiens ! rouges également ! Vert. Je jette le chiffon encore enroulé autour de ma main aux pieds de mon passager imaginaire. Et je reprends

mes parents légèrement inquiets. J'allais, il faut dire, sur ma vingt-neuvième année ! Tanguy n'avait qu'à bien s'tenir. Il est vrai que le logé-nourri-blanchi me co

t dire qu'on est tous de la même génération ; que cette start-up est une vraie réussite et qu'à nous quatre, on se complète parfaitement. L'intellectuelle, le manuel, le secrétaire, la comptable. On ne pouvait pas rêver mieux. C'est aussi un peu pour

Des lumières rouges, jaunes, blanches tourbillonnent, défilent. Des odeurs d'essence, d'alcool, fortes, de différents fluides-moteurs, entêtantes, empoisonnent l'atmosphère. L'humidité. Le froid. L'obscurité. Je ne vois plus. Je suis comme pétrifié. Des sons arrivent à moi. Au

.. série de bi

n vit des rêves agités. Un drap bleu pâle est descendu jusqu'à mon bas-ventre. De nombreux appareils médicaux m'entourent. Des électrodes poursuivies de fils partent de mon abdomen et de mon thorax pour se brancher sur l'une de ces machines. Un masque qui doit « me » délivrer de l'oxygène reco

bip,

paules. Elle est assise sur l'une de ces chaises-fauteuils anonymes de ces chambres d'hôpital, désuète et inconfortable. Sa tête est enfouie contre cette minerve et tout ce plâtre, corps froids couvrant tout mon corps. Ell

tte peau et cette chair noircies. Cette main. Main devenue un espoir vain. Elle ne le sait pas encore. Elle veut y croire. Dans ses pens

Biiiiiiiiiiiiiiii

t ; désespérément, et définitivement plat. Je quitte ce monde des vivants pour un autre qui

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