À sa merci
se tournent à nouveau brusquement vers moi, répandant un frisson froid dans tout
ttant à nouveau. J'acquiesce lentement. Cela ne devrait pas être trop difficile. Peut-être même agréable. Quinn est ma personne préférée ici jusqu'à présent, après tout. Elle a été la première à me
elle, seulement pour que la main de Monsieur se referme sur la mienne. Mon so
d je vois sa mâchoire se serrer je la referme rapidement. Je lâche l'assiette et glisse ma main sous la sienne. Avec un petit hochement de tête, je me
fus des femmes de chambre au passage. Je choisis de les ignorer et je continue à me dépêcher de
'arrêter net. Mes pieds crissent contre le sol ciré, me faisant grincer des den
voyer un petit sourire en retour. Sa gentillesse fait qu'il est difficile de ne pas montrer au moins un tout petit peu de b
avoir l'air trop geignard. Il hoche lentement la tête et met ses mains dans ses poches, lui donnant un air très enfa
it sourire narquois persistant sur son visage alors qu'il passe devant moi. Il disparaît bientôt par l'une des portes. Je soupire, soulagée, et monte les escaliers. Ce mec est si
rrive en haut des escaliers que je me demande pourquoi je me dépêche. Monsieur est toujours dans la sal
s ce que j
ns les co
o
gravées qui brillent si joliment au soleil. Je fais des pas prudents vers la porte, détournant les yeux vers le bel extérieur. Il n'y a personne dans les parages, ce qui semble assez bi
ssurer de ne pas faire de bruit. La porte s'ouvre et je la tire vers moi, faisant souffler de l'air chaud
yablement propre et seuls de grands parasols blancs fantaisie sont placés dans le sable. Il n'y a personne pour me voir. Personne autour pour m'arrêter. Je me demande ce qu
s Coveney." Je marmonne et fais
me tiens. Je regarde en bas du balcon et vois la piscine géante à quelques mètres de là. Si je me tiens sur le b
. Allez, tu vas mourir là-bas ou ici, autan
point. La force de mon corps fr
insensées qui me traversent l'esprit. Juste au moment où je suis sur le point de lancer mon autre jambe, un cri aigu retentit. Je grimac
ve les yeux et vois une femme blonde aux cheveux bouclés qui me tient. Derrière elle se tient une femme aux yeux écarquillés nommée Annie, tenant
! Tu essaies de te suicider ! s'exclame Qui
u
our trouver les mots justes pour essayer de me jeter du hau
nn me gronde un peu avec colère maintenant. Je m'étouffe presque à ses mots.
lui dire ! dit Annie derrière elle, posant une main sur l'épaule d
me serrait à nouveau dans ses bras, m'expulsant de l'air. Oh oui, elle pense définitivement à ce à quoi j
n surpris. Ses yeux me regardent avec assurance, cette dame a vraiment de sérieuses sautes d'humeur. C'est p
sieur. "Mais pour l'instant. Allons organiser un bal, nous discuterons de votre... prise d'air plus tard." r
it entrer à l'intérieur et me pousse légèrement, lâchant mon bras. Je trébuche en avant, luttant pour retrouver ma posture. Mes mains se posent sur le cadre de son lit à baldaquin, m'app
habi
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