À sa merci
. Je vais tell
rapé l'ordinateur de mon père et j'ai essayé de télécharg
ur son visage, montrant ses dents tout aussi parfaites. Je déglutis et le regarde, le faisant hausser un sourcil s
e caresser la joue. J'ouvre un peu la bouche mais réalise que ma langue ne bouge pa
e et plus hystériquement que j'aurais probablement dû. Il se contente de me fixer, essayant probablement de dire si je mens ou non. Quelque chose vaci
le. J'ouvre la bouche pour parler, mais je la referme bientôt. Il
Je laisse échapper un souffle très calme et regarde le sol. Une fois qu'il est de l'autre côté de la pièce, je lè
i profond avant de sourire un peu, pourquoi je ne sais pas... il m'a littéralement dit qu'il pourrait vouloir que j'aie des ennuis. Il me fait un cli
en ils en veulent, alors j'ai simplement mis la boîte entière là-bas, en l'inclinant dans une position agréable. Mon estomac grogne très fort lorsque j
x verres, il ne reste que le vin lui-même. Je me retourne et inspecte la cuisine jusqu'à ce que mes yeux trouvent le pannea
a me fait vraiment peur. La lumière est très faible et les murs sont en pierre brute, cela ressemble littéralement
redresse et cherche une sorte de chariot ou quelque chose comme ça, car je ne pourrai pas le porter sur 3 étages. Mes bras m'aban
ignées d'un des chariots argentés et je commence à le repousser dans la cuisine. Une fois qu'il est assez proch
surface, créant un bruit fort. Mes yeux balayent rapidement la pièce pour s'assurer qu'il n'y a personne ici. Quand aucun son ni visage n'apparaissent, je laisse échappe
hance, il y a un monte-charge sur le côté droit de la pièce, c'est assez grand aussi. Lorsque j'essaie de calculer où il a
nte-charge vers le bas autant que je peux et, à mon grand plaisir, il descend jusqu'au sol, ce qui me permet d'y mettre tout le chariot. Je souris un
l'escalier, seulement pour tomber sur une grande dame. Avant que je
di
ose ma main sur ma joue et la frotte un peu, ignorant la douleur. Elle me regarde avec ses yeux couleur miel. Ils me crient presque
mber ma main. Rappelez-vous vos règles Brae. Essayez d
devant moi, alors seulement je remarque les trois jeunes filles qui courent après elle. Des ecchymoses couvrent tout
ut-être que les filles se défendent... quelque chose que j'aimerais pouvoir faire. Je soupire et continue mon chemin. Alors que j'arrive au d
e chariot et le pousse jusqu'à la porte, en frappant dessus plusieurs fois. Un husky noir "ouvert" me donne passage dans la
000e fois ce jour. Cette fois, il n'a pas un sourire narquois ni une expression de confusion sur son v
ommence en regardant son visage et le sol encore et encore. Dès que mes yeux croisent les siens, ils s'éloignent par intimid
l me faut du temps avant de comprendre de quoi il parle. La douleur a disparu alors je l'ai carrément oublié. La peur d
rs son regard. Il lâche mon menton et soupire en se frottant le front. Je bai
mber ses doigts et se redresse, soufflant avant d'acquiescer. "Vous devez lui faire co
spectant sa mâchoire. Je pense que je pourrais me couper la nageoire- Braelyn, arrête ! Il tourne son visage vers
m'arracher la vie." dis-je en le regardant dans les yeux, cette fois c'est lui qui rompt le contact visu
'elle ne m'ait pas tapé sur la joue avec le rouge à lèvres, j'en aurais sur tout le visage maintenant. "Si jamais elle te gifle encore, je t'
r de moi et me pousse contre sa poitrine. Résultant en mon visage se faire écraser. J'inhale son profond parfum viril, mes yeux s'écarquillent sous le choc. Pour une ra
us que de l'ar
t le regarde discrètement. Cet homme est bipolaire. « Tu n'as pas répondu, n'est-ce pas
je doucement et je m'approche de lui, le poussant pour qu'il soit entre eux. Je pousse doucement l'un de
pe dessus et m'assieds, redressant mon dos autant que je peux. Pour me distraire de leurs bavardages et grignotages, je joue avec mes doigts. Ce n'est que lors
du pain blanc moelleux avec un morceau de brie dessus. J'avale la salive qui
tourner vers moi. J'entends seulement quelques chuchotements et sifflements jusqu'à ce que
s yeux sur le truc dans ses mains. Il les pousse vers moi sans dire un mot. Je ne les touche toujours pas, inqu
us mangé pour l
nnez pas
ne fois de plus. Il retrousse les lèvres et inspecte mon corps. U
rotéinée.". Il hoche la tête et regarde Quinn, qui le f
acun ce jour-là. C'était bien." Je réponds en souriant au s
de-t-il avec un sourire. Il ne comprend vraiment pas ce que c'est que d'avoir faim, beaucoup de
nconsidération. Il serre la mâchoire et m'avertit du regard. J'arrête de froncer les sourcils, atténuant s
brie de l'autre. Je lève rapidement les yeux vers lui, rayonnant comme si j'étais la personne la plus heureuse du monde. Mon s
une bouchée du côté avec du fromage de chèvre, me faisant presq
, je n'ai jamais aimé ça, ou ce que les gens ont fait sous l'influence de ça... en parlant d'expériences. « Vous ne le voulez pas ? me
eu dans ma main. Quand Sir revient vers Quinn, je l'entends dire quelque chose comm
mes mains. Je m'époussette les mains avant de les regarder, réalisant qu'ils sont tous les deux assis dans les fauteuils dans la partie gauche de la pièce. Une
de comprendre si je le suis ou non. C'est le plus de nourriture que j'ai eu depuis un moment...
ers le chariot. Je sors du lit, regardant Sir juste pour m'assurer que j'ai le droit de le faire. Il hoche la tête en me voyant reg
rapidement la main pour la serrer dans mes bras. Elle trébuche en arrière avec moi pendant qu'elle rigole, me serrant dans ses bras. Alors que nous rompons no
le. Je suis si heureux en ce moment, je pourrais faire tout ce qu'ils me demandent...
, je la serre dans ses bras en regardant Monsieur comme je le fais. Son sourcil est haussé et il regarde de moi à Quinn encore et encore. Quelque part au fond de moi, je veux supplier Quinn de m'emmener avec ell
Une fois qu'elle est sortie, il ferme la porte et la verrouille, se tournant immédiat
. Il lève un sourcil, ne
le plus sexy ?
qu'il a le droit aussi, il me possède après tout. Ne serait-ce pas hilarant s'il m'achetait seulement pour découvrir que je ne su
pondez-lui tou
urit et hoche lentement la tê
ue chose derrière moi. "Il se fait tar
demande nerveusement. En espérant juste qu'il ne dise pas au sous-sol,
s qu'il me tire vers le placard. "Enlevez vos vêtements, pas vos sous-vêtements." Dit-il en lâchant ma mai
le plus petit et le plus impassible que j'aie jamais vu. Je déglutis et acquiesce, commençant à retirer
onner mon pantalon et à le pousser le long de mes jambes, me sentant incroyablement mal à l'aise. Alors qu'il est sur le po
e mes yeux s'écarquillent et que mon rythme cardiaque s'accélère. Oh non. Oh non. Il va me tuer. Je regarde frénétiquement a
grogne, me faisant sursauter. Je
j'ouvre lentement les yeux. Son visage est à quelques centimètres du mien, me faisant baisser les yeux, seulement pour voir la chemise en boule dans
demande, plus calme maintenant. Je déglutis et secou
s'ouvrent lentement à nouveau, la colère maintenant disparue. Il recule d'un pas et inspecte mon corps, me
ent retomber, faisant ce que je pense être un faible gémissement, lui échappant. Il le protège comme un soupir, tendant à n
te, j'ouvre les yeux, le regardant. Son visage est toujours le même sans émotion, me faisant soupirer. Heureuse
de d'aller dans son lit et d'y entrer. Je fais ce qu'il dit, retirant la douce couette du lit. Je grimpe dedans, le tissu glissant contre
oncé et les étoiles scintillent dans le ciel. J'essaie de repérer toutes les constellations que je connais, mais c'est juste trop loin. Je me retourne et tro
on torse nu. Sa poitrine musclée est couverte de quelques petits poils, sa taille se rétrécit au fur et à mesure que vous descendez. Les muscles définis au milieu de so
et me pousse de l'autre côté du lit, m'allongeant à nouveau. Ce
. Je me redresse à mi-chemin et l'at
es humides à la main. Il en prend un et m'essuie rapidement les yeux, les sourcils, les lèvres et la joue avec un. J'essaie
nde, j'acquiesce et rougis. Il soupire et émiette la lingette humide en boule, la jetant p
bras, saisissant les sangles et les retirant de mes bras. Ses mains atteignent le devant de ma chemise, la soulevant comme il le fait, lui permettant de voir ma culotte. Il me
sistant toujours. Je hochai juste la tête lentement et me rallongeai, fixant le plafon
son bras s'enroule autour de ma t
si tu appuies ton cul sur mon entrejambe, je te baiserai, alors reste tranquille." Dit-il simplement a
Je choisis de ne rien dire d'autre alors que nous nous endormons lentement tous les deux. Moi rêva
fille innocente, injust