À sa merci
pure obscurité. Le fait que je ne sois pas seul dans cette grande pièce sombre ne me fait pas peur. C'est plutôt le contraire, car si je suis seul, c
lieu de la fille à côté de moi. La pensée est terrible puisque je ne sais pas ce qu'il y a derrière cette porte. Est-ce qu'ils nous tuent ? Nous aident-ils ? Nous nourrissen
petit verre. Le fait que je ne me sois pas encore évanoui me dépasse. Une bonne chose est que l'air de cette pièce continue d'entrer par
ouveau, entortillant la laisse de cuir autour de sa main. Il nous scrute toutes les filles alors que les lumières s'allument. Son vis
Ses yeux de biche sont d'un bleu glacial et ses longs cheveux noirs tombent sur ses épaules, couvrant sa poitrine. El
roche d'elle. Elle glapit de douleur alors qu'il attrape son poignet, étroitement, des gémissements aigus quittant sa bouche
toi si je le fais, mais je pourrais juste leur dire comment tu étais sur moi . Qu'est-ce que tu en dis ? Hein, Chérie ? Il dit e
lève la main, prêt à la gifler. Personne ne dit rien, tout le monde regarde avec de grands yeux, la b
issant tomber sur le sol froid. Ses mains essaient presque de se cramponner au sol alors qu'il att
s. Il frappe son estomac avec une grande force, la faisant crier fort. Il laisse échapper un
bles. Ils étaient complètement opposés, mais vous savez ce qu'ils
re que... les mots se sont échappés de ma bouche avant même que je puisse y réfléchir. Toutes les têtes dans la pièce se to
pour voir la fille ramper vers les filles à côté d'elle. Tous les yeux sur moi maintenant. "As-tu dit quelque chose, espèce de salope !" Il me crache au visage, un épais filet
grognement sort de la bouche de l'homme alors qu'il attrape le bout de la laisse. Est-ce qu'il
de ma colonne vertébrale. Un autre cri s'échappe alors qu'il me frappe à nouveau, juste en face du premier. Des larmes s'échappent de mes yeux alors que je fixe l
yeux se tournent rapidement vers la fille que ma stupide bouche a sauvée. Ses joues sont encore rouges d'avoir pleuré, elle me re
arde à nouveau. Il a toujours ce froncement de sourcils dégoûtant sur le visage alors qu'
moi soupire et laisse lentement tomber sa main. Il se tourne vers elle d'un air agacé, ce qui durcit un peu son regard. "Tu as eu une chance de plus de
ds, presque comme s'il avait honte. Est-elle s
qu'elle marche dans le long couloir gris. Lorsque sa silhouette est hors de vue, je regarde à nouveau l'homme, Is
n et attache la laisse au grand collier que je porte. Avant que je puisse me préparer à marcher, il tire sur la laisse,
pièce à côté de la pièce pleine de filles, son visage fatigué n'osant pas me regarder. Il court jusqu'à la lourde port
chromes, jusqu'à ce que nous atteignions une grande porte blanche. Il y a 3 portes identiques
grande pièce toute blanche. Il est rem
oirs. Il existe plusieurs types de savons pour le corps et de gommages dans tous les parfums différents sur une étagè
à friser et des fers à lisser sont suspendus à un crochet au mur. Au-dessus se trouve u
dessous. Mes yeux parcourent tous les outils pour les ongles et se dirigent directement vers le dressing giga
e voix et vois la grande dame qui se tient là. Ses cheveux roux ondulés reposent magnifiqueme
porte. La belle dame me regarde à nouveau et commence à se diriger vers moi. Je recule d'un pas à contrec
aucoup. J'ouvre la bouche pour répondre, mais pour une raison quelconque, j'ai du mal à me souvenir de mon nom. Elle me regarde, attendant,
rae
où ça me déconcerte. Elle n'est pas bonne, elle nous aurait aidés les filles là-dedans si elle l'
ttrapant légèrement ma main. Je me force à lui sourire et j'acquiesce, la faisant sourire en retour et tendant la mai
se à m'asseoir, je le fais. Je regarde à nouveau
is pas censé demander. Elle se détourne du bureau tout maquillé et me sourit. Elle s'appuie contre le bureau al
nt. Acheteurs ? Attends, veut-elle dire qu'ils vont me vendre ? Non! Certa
-ce qui vous fait sourire ! Ce n'est pas drôle ! Tu me vends à un au
je le pense ? Oh non parce que tu n'es certainement pas en train de me vendre à une personne au hasard. "J'ai moi-même été vendu. Mon maître m'a mal traité au début. Mais une fois que v
ête dans mes mains tremblantes et tente de calmer ma respiration. Je veux rent
table de massage, totalement exposé pour elle, ou j'ai encore mes sous-vêtements. Mon dos me pique lorsque je m'appuie contre le
ôle. Mon cœur se serre tandis que mes yeux s'écarquillent. MAI
ne veux pas les revivre... du tout. Les cheveux se dressent sur tout mon corps alors que j'ai des images dans ma tête... du sang, telle
rêt." Elle déclare et commence soudainement à rouler la table dans une grande pièce sombre avec des tonnes de machines effrayantes. Cela ressemble à une chamb
ssaierais de m'enfuir. Je ne le ferai pas, vu que je ne connais pas cet endroit. Je courrais très probablement dans une pièce remplie de gens en colère, ce qui entraînera
mpatissant en déplaçant la tête de la machine vers mes jambes, laissant le gros laser claquer contre ma peau. Bon ç
erse par vagues. Je pense que je vais m'évanouir. Les choses se brouillent devant moi,
fois... l'o